Impossible de ne pas vendre sur Amazon – Interview Benjamin Leplat Marketplacepulse

Comment réussir sur Amazon ? Conseils d'un Expert en Marketplace Interview de Benjamin Leplat

Mis à jour le 6 juin 2024

Article écrit par Jérôme SCAT

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Présentation de l'interview de Benjamin Leplat, fondateur de Marketplace Pulse, expert sur Amazon FBA.

Benjamin Leplat est un expert renommé dans le domaine du commerce électronique, notamment sur les marketplaces telles qu’Amazon. En tant que fondateur de Marketplace Pulse, il possède une vaste expérience dans l’aide aux marques pour réussir sur Amazon et d’autres plateformes de commerce en ligne.

Ce que tu vas apprendre en écoutant ou regardant l’interview de Benjamin Leplat : 

  1. Les principaux défis rencontrés par les vendeurs sur Amazon et les stratégies pour les surmonter.
  2. Les différences entre Amazon FBA et FBM et comment choisir le modèle de vente le plus adapté.
  3. L’importance d’une stratégie de vente solide pour réussir sur Amazon.
  4. Les meilleures pratiques pour gérer efficacement les stocks et éviter les ruptures de stock.
  5. Comment établir une tarification compétitive tout en préservant ses marges bénéficiaires.
  6. L’impact du service client sur la réputation d’un vendeur et sur ses ventes.
  7. Les conseils pour optimiser les fiches produits et attirer davantage de clients.
  8. L’importance du référencement (SEO) sur Amazon et comment l’améliorer.
  9. Les services proposés par Marketplace Pulse pour aider les vendeurs à réussir sur Amazon.
  10. Des témoignages de clients satisfaits et des exemples de succès obtenus grâce à l’accompagnement de l’agence.

Conseils pour ceux qui cherchent à optimiser leur présence sur Amazon et les autres marketplaces

Les conseils de Benjamin Leplat sont précieux pour les vendeurs cherchant à maximiser leur succès sur Amazon et à tirer parti de toutes les opportunités offertes par cette plateforme de vente en ligne de premier plan.

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Les clés du succès sur Amazon FBA

Les conseils de Benjamin Leplat sont précieux pour les vendeurs cherchant à maximiser leur succès sur Amazon et à tirer parti de toutes les opportunités offertes par cette plateforme de vente en ligne de premier plan.

Résumé des principaux conseils de Benjamin Leplat

Stratégie de vente solide

Dans cet entretien, Benjamin Leplat met en lumière plusieurs points clés pour réussir sur Amazon. Il insiste sur l’importance d’avoir une stratégie de vente solide, une gestion efficace des stocks, une tarification compétitive et un service client de qualité. Ces éléments sont essentiels pour répondre aux attentes des clients et se démarquer dans un environnement concurrentiel.

Gestion efficace des stocks

Tarification compétitive

La gestion efficace des stocks est un aspect crucial du succès sur Amazon. Les vendeurs doivent anticiper la demande, éviter les ruptures de stock et minimiser les coûts de stockage. En utilisant des outils d’analyse et de prévision, ils peuvent optimiser leurs niveaux de stock et garantir une disponibilité constante des produits pour les clients.

Service client de qualité

Optimisation des fiches produits et stratégies de vente

Un service client de qualité est un élément clé de la réussite sur Amazon. Les vendeurs doivent répondre rapidement aux questions et aux préoccupations des clients, traiter les retours et les remboursements de manière efficace et offrir une expérience d’achat positive à chaque étape du processus. En offrant un service client exceptionnel, ils peuvent fidéliser les clients et encourager les recommandations positives.

Conseils pour optimiser les fiches produits

Utilisation de mots-clés pertinents

Pour optimiser les fiches produits, Benjamin Leplat met en avant plusieurs conseils essentiels. Tout d’abord, il insiste sur l’importance d’utiliser des mots-clés pertinents dans les titres, les descriptions et les bullet points afin d’améliorer la visibilité des produits sur Amazon. Ensuite, il recommande de fournir des descriptions détaillées qui mettent en valeur les caractéristiques et les avantages du produit, aidant ainsi les clients à prendre une décision d’achat éclairée. De plus, il souligne l’importance des images de qualité, car celles-ci constituent souvent le premier point de contact visuel avec le produit pour les acheteurs potentiels. En suivant ces conseils, les vendeurs peuvent augmenter leurs chances de conversion et d’améliorer leur performance sur la plateforme d’Amazon.

Descriptions détaillées

Images de qualité

Des descriptions détaillées jouent un rôle crucial dans l’optimisation des fiches produits sur Amazon, selon les conseils de Benjamin Leplat. Il souligne l’importance de fournir des informations complètes et précises sur chaque produit afin d’aider les clients à comprendre ses caractéristiques, ses avantages et son utilisation potentielle. En décrivant de manière exhaustive les spécifications techniques, les dimensions, les matériaux utilisés, ainsi que les usages recommandés, les vendeurs peuvent instaurer un niveau de confiance accru chez les acheteurs. Ces descriptions détaillées permettent également de répondre aux éventuelles questions des clients avant même qu’elles ne soient posées, réduisant ainsi les obstacles à l’achat et favorisant la conversion. En mettant l’accent sur la clarté, la précision et la pertinence des descriptions, les vendeurs peuvent améliorer significativement la qualité de leurs fiches produits et augmenter leurs chances de succès sur la plateforme d’e-commerce d’Amazon.

Stratégies de vente efficaces

Les stratégies de vente efficaces sont au cœur de la réussite des vendeurs sur Amazon, comme le souligne Benjamin Leplat. L’une des décisions cruciales est de choisir entre le modèle de vente Fulfilled by Amazon (FBA) et Fulfilled by Merchant (FBM). Le modèle FBA offre une logistique simplifiée, avec Amazon prenant en charge le stockage, la préparation et l’expédition des produits. Cela peut conduire à une meilleure visibilité grâce à l’éligibilité Prime et à une gestion plus facile des retours. En revanche, le modèle FBM offre plus de contrôle sur l’expérience client et les coûts, mais nécessite une logistique plus complexe. Outre ce choix, l’utilisation de promotions et de publicités sponsorisées est essentielle pour stimuler les ventes. Les promotions telles que les remises temporaires ou les offres groupées peuvent attirer de nouveaux clients et fidéliser les anciens. Les publicités sponsorisées, ciblées en fonction des mots-clés pertinents, peuvent augmenter la visibilité des produits et générer du trafic qualifié. En combinant habilement ces différentes stratégies, les vendeurs peuvent maximiser leurs opportunités de vente sur la plateforme Amazon.

Choix du modèle de vente adapté (FBA vs FBM)

Utilisation des promotions et publicités sponsorisées

Le choix du modèle de vente adapté entre Fulfilled by Amazon (FBA) et Fulfilled by Merchant (FBM) est une décision cruciale pour les vendeurs sur Amazon. Benjamin Leplat souligne que le modèle FBA offre une logistique simplifiée, avec Amazon prenant en charge le stockage, la préparation et l’expédition des produits. Cette approche peut entraîner une meilleure visibilité grâce à l’éligibilité Prime et une gestion plus facile des retours. En revanche, le modèle FBM offre plus de contrôle sur l’expérience client et les coûts, mais nécessite une logistique plus complexe. Les vendeurs doivent donc peser les avantages et les inconvénients de chaque modèle en fonction de leurs besoins spécifiques en matière de stockage, de contrôle des coûts et de satisfaction client pour prendre la décision la plus adaptée à leur entreprise.

L'Importance du SEO Amazon et de la visibilité

Importance du référencement (SEO) sur Amazon

L’importance du référencement (SEO) sur Amazon ne peut être surestimée, comme le souligne Benjamin Leplat. Avec des millions de produits répertoriés sur la plateforme, il est essentiel d’optimiser les titres, les balises et les bullet points pour améliorer la visibilité et augmenter les ventes. En choisissant les bons mots-clés et en structurant les fiches produits de manière à répondre aux besoins des clients potentiels, les vendeurs peuvent augmenter leurs chances d’apparaître en tête des résultats de recherche. De plus, une bonne optimisation SEO contribue à renforcer la crédibilité et la confiance des acheteurs, ce qui peut se traduire par une augmentation du taux de conversion. En investissant du temps et des ressources dans le SEO Amazon, les vendeurs peuvent positionner leurs produits de manière plus compétitive sur le marché et obtenir un avantage concurrentiel significatif.

Optimisation des titres, balises et bullet points

L’optimisation des titres, balises et bullet points est un aspect crucial pour améliorer la visibilité et les performances des produits sur Amazon. Les titres doivent être clairs, concis et inclure des mots-clés pertinents pour aider les clients à trouver facilement les produits lors de leurs recherches. Les balises, quant à elles, sont des mots-clés supplémentaires qui permettent de renforcer la pertinence des produits dans les résultats de recherche. En choisissant judicieusement les balises et en les intégrant naturellement dans la description, les vendeurs peuvent augmenter leurs chances d’apparaître en tête des résultats de recherche. Enfin, les bullet points sont un moyen efficace de mettre en avant les caractéristiques et les avantages des produits de manière concise et attrayante. En utilisant des bullet points clairs et informatifs, les vendeurs peuvent aider les clients à comprendre rapidement ce que leurs produits ont à offrir et à prendre des décisions d’achat éclairées. En combinant une rédaction stratégique avec une utilisation judicieuse des mots-clés, les vendeurs peuvent optimiser leurs titres, balises et bullet points pour maximiser leur visibilité et leurs ventes sur Amazon.

Amélioration de la visibilité et des ventes

L’optimisation des titres, des balises et des bullet points est une stratégie cruciale pour améliorer la visibilité des produits sur Amazon. Benjamin Leplat insiste sur l’importance de ces éléments, qui jouent un rôle majeur dans le référencement sur la plateforme. Les titres doivent être accrocheurs et informatifs, en utilisant des mots-clés pertinents pour attirer l’attention des acheteurs potentiels et les inciter à cliquer. Les balises offrent également une opportunité supplémentaire d’insérer des mots-clés stratégiques et de fournir des informations supplémentaires sur le produit. Quant aux bullet points, ils doivent être concis et mettre en avant les caractéristiques les plus importantes du produit, en mettant l’accent sur ses avantages et ses bénéfices pour le client. En optimisant ces éléments de manière efficace, les vendeurs peuvent améliorer la visibilité de leurs produits, augmenter leur classement dans les résultats de recherche et générer davantage de ventes.

Services Proposés par Marketplace Pulse pour les Vendeurs sur Amazon

Marketplace Pulse propose une gamme complète de services destinés à aider les vendeurs à réussir sur Amazon. Parmi ces services figurent la gestion de compte, la formation, le marketing et le service client. La gestion de compte consiste à fournir une assistance personnalisée pour optimiser les performances des comptes des vendeurs, en mettant en place des stratégies efficaces de gestion des stocks, de tarification et de service client. La formation est également un élément clé, permettant aux vendeurs de développer leurs compétences et leur expertise dans la vente en ligne, notamment en ce qui concerne les meilleures pratiques pour optimiser leurs fiches produits, utiliser les promotions et publicités sponsorisées, et améliorer leur référencement sur Amazon. Le marketing constitue une autre composante essentielle des services proposés par Marketplace Pulse, avec des stratégies visant à accroître la visibilité des produits et à stimuler les ventes grâce à des campagnes publicitaires ciblées et des promotions attractives. Enfin, le service client assure une assistance continue et réactive aux vendeurs, en répondant à leurs questions, en résolvant leurs problèmes et en les aidant à surmonter les défis rencontrés dans leur parcours de vente sur Amazon. Grâce à ces services complets, Marketplace Pulse offre aux vendeurs les outils et le soutien nécessaires pour maximiser leur succès sur la plateforme de commerce en ligne la plus importante au monde.

Gestion de compte

La gestion de compte par Marketplace Pulse, une agence spécialisée dans le domaine de l’Amazon FBA, est une ressource précieuse pour les vendeurs cherchant à optimiser leur présence sur la plateforme de commerce en ligne. En confiant la gestion de leur compte à des experts, les vendeurs peuvent bénéficier d’un suivi personnalisé et d’une expertise approfondie pour maximiser leurs résultats. Cette agence offre une gamme complète de services, comprenant la configuration initiale du compte, l’optimisation des listes de produits, la gestion des stocks, la tarification compétitive, ainsi que la gestion des retours et du service client. Grâce à une gestion de compte proactive et réactive, Marketplace Pulse assure une surveillance constante des performances des produits et une adaptation stratégique aux évolutions du marché. Les vendeurs peuvent ainsi se concentrer sur d’autres aspects de leur entreprise en toute confiance, sachant que leur compte Amazon est entre de bonnes mains. Avec Marketplace Pulse comme partenaire, les vendeurs peuvent tirer pleinement parti des opportunités offertes par Amazon FBA et atteindre leurs objectifs de vente de manière efficace et rentable.

Formation Amazon FBA

La formation Amazon FBA dispensée par Marketplace Pulse et Benjamin Leplat offre une opportunité inestimable aux vendeurs désireux de maîtriser les tenants et aboutissants du commerce en ligne sur la plateforme d’Amazon. Avec une expérience et une expertise solides dans le domaine du commerce électronique, Benjamin Leplat et son équipe fournissent des formations complètes, adaptées aux besoins spécifiques des vendeurs, quel que soit leur niveau de compétence. Ces formations couvrent un large éventail de sujets, allant de la création de comptes et de la configuration initiale à l’optimisation des listes de produits, en passant par la gestion des stocks, le service client et le marketing sur Amazon. Grâce à des sessions interactives, des études de cas concrets et des conseils pratiques, les participants acquièrent les connaissances et les compétences nécessaires pour réussir dans le monde concurrentiel de la vente en ligne. De plus, les formations sont constamment mises à jour pour refléter les dernières tendances et les meilleures pratiques de l’industrie, assurant ainsi aux participants une formation pertinente et de qualité. En investissant dans une formation Amazon FBA avec Marketplace Pulse, les vendeurs peuvent prendre leur activité en ligne au niveau supérieur et maximiser leur potentiel de réussite sur la plateforme d’Amazon.

Stratégies Marketing Amazon FBA

Les stratégies marketing proposées par Marketplace Pulse pour les vendeurs sur Amazon sont conçues pour maximiser la visibilité, l’engagement et les ventes. En tant qu’agence spécialisée dans le marketing sur les marketplaces, Marketplace Pulse offre une gamme complète de services pour aider les vendeurs à promouvoir leurs produits et à atteindre leur public cible de manière efficace. Leurs stratégies marketing Amazon FBA sont basées sur une compréhension approfondie de la plateforme Amazon ainsi que sur les tendances du marché, ce qui leur permet d’élaborer des campagnes marketing ciblées et percutantes. Parmi les services proposés figurent la publicité sponsorisée, qui permet aux vendeurs de placer leurs produits en haut des résultats de recherche pertinents, ainsi que les promotions et les offres spéciales pour attirer l’attention des acheteurs et stimuler les ventes. En outre, Marketplace Pulse propose également des services de marketing par e-mail, de médias sociaux et de contenu, visant à renforcer la notoriété de la marque et à fidéliser la clientèle. Leur approche personnalisée et axée sur les résultats garantit que chaque campagne marketing est adaptée aux besoins spécifiques de chaque vendeur, tout en maximisant le retour sur investissement et en assurant une croissance continue des ventes. En faisant appel aux services de marketing d’Amazon FBA de Marketplace Pulse, les vendeurs peuvent bénéficier d’une stratégie marketing complète et efficace, conçue pour les aider à réussir sur la plateforme Amazon et à se démarquer dans un marché concurrentiel.

Service client

Le service client proposé par Marketplace Pulse constitue un pilier essentiel pour les vendeurs souhaitant offrir une expérience client exceptionnelle sur Amazon. Forts de leur expérience et de leur expertise dans le domaine de la vente en ligne, Benjamin Leplat et son équipe comprennent l’importance cruciale d’un service client réactif et de qualité pour fidéliser les clients et stimuler les ventes. Leur service clientèle va bien au-delà de simples réponses aux questions et aux préoccupations des clients ; il s’agit d’établir des relations solides et durables avec la clientèle, en offrant un soutien personnalisé à chaque étape du processus d’achat. Que ce soit pour répondre à des demandes de renseignements, résoudre des problèmes techniques ou gérer des retours, l’équipe de Marketplace Pulse s’engage à fournir un service client exceptionnel, rapide et efficace. De plus, ils sont constamment à l’écoute des commentaires des clients et des tendances du marché, afin d’adapter et d’améliorer en permanence leurs services pour mieux répondre aux besoins changeants des clients. En optant pour le service client de Marketplace Pulse, les vendeurs peuvent être assurés que leurs clients bénéficieront d’un soutien de premier ordre, renforçant ainsi la réputation de leur marque et favorisant la croissance à long terme de leur activité sur Amazon.

Conclusion

Récapitulatif des principaux points abordés dans l'interview et de leur importance pour réussir sur Amazon.

Le récapitulatif des principaux points abordés dans l’interview avec Benjamin Leplat met en lumière les éléments clés nécessaires pour réussir sur Amazon. Tout d’abord, l’importance d’une stratégie de vente solide est soulignée, mettant en avant la nécessité d’une gestion efficace des stocks, d’une tarification compétitive et d’un service client de qualité. Ensuite, l’optimisation des fiches produits est mise en avant, avec des conseils précis sur l’utilisation de mots-clés pertinents, de descriptions détaillées et d’images de qualité. De plus, les différentes stratégies de vente sont abordées, notamment le choix entre les modèles de vente FBA et FBM, ainsi que l’utilisation des promotions et des publicités sponsorisées. L’importance du SEO sur Amazon est également soulignée, avec des conseils sur l’optimisation des titres, des balises et des bullet points pour améliorer la visibilité et les ventes. Enfin, les services proposés par Marketplace Pulse pour les vendeurs sur Amazon sont présentés, notamment la gestion de compte, la formation, le marketing et le service client. En résumé, l’interview met en avant les aspects essentiels pour réussir sur Amazon, en fournissant des conseils pratiques et des stratégies éprouvées pour optimiser sa présence sur la plateforme et atteindre ses objectifs commerciaux.

Invitation à contacter Marketplace Pulse pour obtenir des conseils personnalisés et profiter de l'expertise de l'équipe dans le domaine de la vente en ligne

En conclusion, l’interview avec Benjamin Leplat offre une invitation chaleureuse à tous ceux qui cherchent à améliorer leur performance sur Amazon et d’autres plateformes de vente en ligne. Marketplace Pulse, avec son expertise reconnue et son équipe expérimentée, se positionne comme un partenaire idéal pour accompagner les vendeurs dans leur parcours vers le succès. En contactant Marketplace Pulse, les vendeurs peuvent bénéficier de conseils personnalisés adaptés à leurs besoins spécifiques et tirer parti de l’expertise approfondie de l’équipe dans le domaine de la vente en ligne. Cette invitation met en avant l’engagement de Marketplace Pulse à soutenir les vendeurs dans leur croissance et à les aider à atteindre leurs objectifs commerciaux sur Amazon et au-delà.

Vous êtes-vous déjà demandé comment transformer une idée ou un produit en un véritable succès sur Amazon et les marketplaces en général ? Dans cet épisode de cockpitLAB, nous plongeons dans l’univers fascinant des ventes en ligne avec un expert qui a su conquérir Amazon et d’autres plateformes. Préparez-vous à découvrir des stratégies concrètes et des conseils avisés pour booster vos ventes en ligne.

Notre invité d’aujourd’hui est Benjamin Leplat, un professionnel aguerri avec plus de 20 ans d’expérience dans le domaine de la grande distribution et du e-commerce. Originaire de la région de Lille, Benjamin a débuté sa carrière chez des géants comme Auchan et Decathlon avant de se spécialiser dans la vente à distance et le e-commerce avec La Redoute. Aujourd’hui, il accompagne des entreprises à réussir sur Amazon et d’autres marketplaces grâce à son agence Marketplace Pulse.

Dans cet épisode, Benjamin nous partage son parcours impressionnant et ses réussites, notamment comment il a aidé des entreprises à atteindre des millions de chiffres d’affaires sur Amazon. Il nous explique l’importance de bien préparer ses fiches produits, d’utiliser des outils comme Helium 10 et ShoppingFeed, et de comprendre les algorithmes d’Amazon pour maximiser ses ventes. Que vous soyez un débutant ou un vendeur expérimenté, ses conseils pratiques et ses anecdotes inspirantes vous donneront les clés pour réussir sur les marketplaces.

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🎙️ Présentation de l’invité : Benjamin Leplat

Benjamin Leplat est un expert en marketplaces, notamment Amazon, avec plus de 20 ans d’expérience dans le secteur. Il a travaillé pour des entreprises de renom comme La Redoute et a lancé plusieurs marques et sites e-commerce.

📊 L’importance des données et du trafic

Benjamin souligne que le nerf de la guerre est le trafic. Sans trafic, même la plus belle boutique ne fera pas de chiffre d’affaires. Il insiste sur l’importance de bien comprendre et utiliser les données pour optimiser les ventes.

🛒 Stratégie de lancement sur Amazon

Pour réussir sur Amazon, il est crucial de préparer minutieusement le lancement de la boutique. Cela inclut la création de fiches produits attractives et l’utilisation de réseaux sociaux, blogs, et influenceurs pour générer du trafic dès le départ.

🌍 Expansion internationale avec Amazon

Benjamin recommande d’étendre ses ventes à l’international via Amazon, en commençant par l’Allemagne, le plus grand marché européen. Le nouveau programme COST d’Amazon simplifie la gestion des stocks et des numéros de TVA pour les vendeurs européens.

💡 L’importance de la différenciation et des marques

Pour se démarquer sur Amazon, il est essentiel de proposer des produits uniques et de travailler sur la valeur ajoutée de la marque. La guerre des prix est à éviter; il vaut mieux se concentrer sur la qualité et l’originalité.

📈 Optimisation des campagnes publicitaires Amazon Ads

Benjamin insiste sur l’importance d’Amazon Ads pour augmenter la visibilité et les ventes. Même avec un petit budget, les campagnes publicitaires peuvent avoir un impact significatif sur les performances de la boutique.

🛠️ Utilisation des gestionnaires de flux

Pour gérer efficacement les ventes sur plusieurs marketplaces, Benjamin recommande l’utilisation de gestionnaires de flux comme ShoppingFeed. Cela permet de centraliser la gestion des produits et de gagner un temps précieux.

📚 Exemple inspirant : le succès d’un livre auto-édité sur Amazon

Benjamin partage l’histoire inspirante d’une auteure qui a réussi à vendre son livre auto-édité sur Amazon grâce à une stratégie de lancement bien pensée. Ce cas illustre la puissance de la plateforme et l’importance d’une bonne préparation.

👥 Recrutement de responsables marketplace

Benjamin explique que pour réussir sur les marketplaces, il est crucial de recruter des responsables marketplace compétents. Ces derniers doivent être des commerçants dans l’âme, capables de gérer les aspects techniques et commerciaux de la vente en ligne.

📞 Comment contacter Benjamin Leplat

Pour bénéficier de l’expertise de Benjamin Leplat, vous pouvez le contacter via LinkedIn, son site internet marketplaceplus.fr, ou son profil sur Malte. Il est ouvert à travailler avec des PME, des gros groupes, et même des inventeurs avec des idées prometteuses.

Ces insights offrent une vue d’ensemble précieuse sur les stratégies et les bonnes pratiques pour réussir sur Amazon et les autres marketplaces.

Découvrez les Secrets d’Amazon FBA avec Benjamin Leplat de MarketplacePulse

Découvrez les Secrets d’Amazon FBA avec Benjamin Leplat

Bienvenue sur notre blog ! Aujourd’hui, nous vous invitons à plonger dans l’univers fascinant d’Amazon FBA et des marketplaces avec notre dernier épisode du podcast cockpitLAB. Dans cet épisode, nous avons eu le plaisir de recevoir Benjamin Leplat, un expert reconnu dans le domaine. Préparez-vous à une heure d’échanges riches en informations et en conseils pratiques.

Présentation de l’épisode

Dans cet épisode, Benjamin Leplat partage son parcours et ses expériences avec Amazon et les marketplaces. Originaire de Lille, Benjamin a évolué dans des entreprises de grande distribution et de vente à distance avant de se lancer dans l’entrepreneuriat. Son expertise couvre des domaines variés allant de la gestion de produit à la data, en passant par le e-commerce.

Les Thèmes Abordés

  • Amazon FBA : Les avantages et les défis de la vente via le programme Fulfillment by Amazon
  • Gestion des marketplaces : Comment optimiser ses ventes sur différentes plateformes comme Amazon, Cdiscount, Rakuten, etc.
  • Stratégies de lancement : Techniques pour lancer efficacement un produit sur Amazon et obtenir des avis clients.
  • Data et Marketing : L’importance de la data dans la stratégie marketing et comment l’utiliser pour améliorer ses ventes.
  • Cas pratiques : Des exemples concrets de réussite et d’échecs pour mieux comprendre les enjeux.

Pourquoi écouter cet épisode ?

Que vous soyez un vendeur débutant ou expérimenté, cet épisode est une mine d’or d’informations. Benjamin vous explique comment il a réussi à faire décoller ses ventes sur Amazon en utilisant des stratégies simples mais efficaces. Vous découvrirez également des astuces pour éviter les erreurs courantes et maximiser votre rentabilité.

Points Forts de l’Interview

  • Le parcours de Benjamin : De la grande distribution à l’entrepreneuriat, découvrez comment il a acquis une expertise unique.
  • Les clés du succès sur Amazon : Apprenez comment optimiser vos fiches produits, obtenir des avis et utiliser les outils de gestion de flux.
  • Stratégies de croissance : Comment passer d’un petit vendeur à un acteur majeur sur les marketplaces.
  • Gestion des avis clients : Techniques pour obtenir rapidement des avis positifs et booster votre visibilité.

Comment écouter l’épisode ?

Pour écouter cet épisode passionnant, il vous suffit de cliquer sur le lien ci-dessous. Vous pouvez également vous abonner à notre podcast pour ne manquer aucun épisode futur.

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En savoir plus sur Benjamin Leplat

Pour en savoir plus sur Benjamin Leclerc et ses services, vous pouvez visiter son site web MarketplacePulse ou le contacter directement sur LinkedIn.

Conclusion

Ne manquez pas cette opportunité d’apprendre des meilleurs. Cet épisode de cockpitLAB avec Benjamin Leplat est un incontournable pour tous ceux qui souhaitent réussir sur Amazon et les marketplaces.

Allez, c’est parti. Bienvenue sur cockpitLAB. Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir un expert d’Amazon et des marketplaces en général. Salut Benjamin, comment ça va ? Ça va très bien, merci. Merci d’avoir accepté mon invitation Benjamin dans cette interview, si tu le permets, si tu le veux. On va essayer de parler Amazon FBA, Amazon en général, marketplace, il y en a plusieurs. Cdiscount, gestionnaire de flux, agence e-commerce. J’ai vu aussi que tu avais un profil sur Malt.fr. Donc voilà, on va essayer un petit peu de dégrossir tout ça. C’est l’occasion aussi de montrer ton expérience, de parler de tes services d’accompagnement. Donc voilà, si tu es chaud, on va passer une demi-heure, trois quarts d’heure, une heure, en fonction de ce que tu as à dire. Mais vu l’expérience que tu as, à mon avis, on va passer quasiment une heure ensemble. Donc voilà. Est-ce que c’est OK pour toi ? Ça marche, super. Avant de commencer l’interview de Benjamin, je t’invite à regarder ma formation amazon fba qui dure à peu près 37 heures et qui va t’apprendre tout sur comment vendre sur Amazon FBA. On parle de Private Label, de Retail, de Online Arbitrage et tout ce que tu dois savoir sur comment vendre sur Amazon. Il suffit de cliquer sur le premier lien dans la description et tu auras accès à la meilleure formation francophone à un prix ultra ridicule. Je ne pourrais pas trouver un meilleur rapport qualité-prix sur une formation aussi poussée et sur le sujet de comment vendre sur Amazon. Je t’invite encore une fois à cliquer sur le premier lien et je te dis bonne écoute. Super. Est-ce que dans un premier temps, tu peux te présenter brièvement et toute ton expérience, ton personnel et aussi l’expérience que tu as dans les marketplaces ? Oui, donc Benjamin Leclerc, je suis ravi de cette interview. Donc, j’ai passé plus de 20 ans Je suis originaire du Nord, de la région de Lille, et il faut savoir que la région de Lille, c’est beaucoup la grande distribution. Il y a beaucoup de groupes qui sont nés, dont la famille Mulliez avec Auchan, par exemple. Donc moi, j’ai fait une formation, une école de commerce, un IAE, dans la grande distribution. Et j’ai démarré ma vie, on va dire, au champ d’Hécatlon, des sociétés comme ça. Très vite, j’ai aimé le contact produit et donc je suis rentré dans une société qui s’appelle Camailleux. J’étais chef de produit. J’ai, à l’époque, passé beaucoup de temps à acheter en Asie et à monter des collections. Et assez rapidement, au bout de quelques années, ce qui me manquait le plus dans le retail, c’était la partie data. la partie chiffre connaissance du client et donc j’ai eu la possibilité de rentrer dans un groupe qui s’appelle La Redoute qui gérait à ce moment là une dizaine de marques et donc je suis rentré là en tant que chef de produit ensuite j’ai évolué chef de groupe et très rapidement j’ai vraiment aimé le contact on va dire client à travers la vente à distance parce que ça s’appelait la VAD à l’époque c’était avant l’internet et le e-commerce et surtout la connaissance du client par la data, on travaillait beaucoup sur les chiffres. Il y avait beaucoup de sondages, il y avait beaucoup d’enquêtes consommateurs, on passait beaucoup de temps en dessus et tout ce contact là et cette data qui m’a permis à mieux intégrer le marketing m’a permis aussi très rapidement quand il y a eu la possibilité au niveau de de La Redoute, par exemple, de développer des marques et des nouveaux concepts. Par exemple, Alpen Nature est une marque que j’ai lancée dans le bien-être et la beauté, qui a pu être vendue dans l’ensemble du groupe Redoute, donc Sommeware, Sirius, Verbaudet, Daxon, La Redoute, par exemple, toutes ces marques-là qui peuvent peut-être être assez connues aujourd’hui. Eh bien, on a pu développer, grâce à cette gestion de la data sur l’ensemble des marques, cette marque là. Et ensuite il y a eu l’évolution, on a commencé à travailler sur le développement internet et donc j’ai fait partie aussi au début des groupes de travail et ça m’a vraiment passionné de pouvoir lancer un site e-commerce, gérer un site e-commerce. Au début c’était géré comme un petit catalogue, c’est devenu ensuite jusqu’à 50% du chiffre d’affaires, ce qui est quand même très important pour un gros groupe. Et donc là, j’ai passé beaucoup de temps dessus, dans le e-commerce, c’était vraiment passionnant, jusqu’en 2010. En 2010, j’ai quitté le groupe pour me lancer dans l’entrepreneurial. J’ai intégré une ruche d’entreprises qui s’appelle Eura Technologies à Lille. qui est la plus grosse ruche de France aujourd’hui, sur lequel j’ai appris un peu comment lancer une entreprise, une marque dans le e-commerce. Donc, j’ai lancé un site dans le e-commerce bébé et ensuite un site dans l’e-commerce senior, donc deux univers et dans la beauté et bien-être. En 2014-2015, pendant environ 4 ans, 4-5 ans, Et puis, dans la gestion de ces sites, j’étais sur un site Magento. Là, les sites que tu parles, c’était tes marques à toi ? Tu as lancé deux marques ? Voilà, j’ai lancé deux marques, tout à fait. Et dans cette gestion de sites, un jour, je me suis dit, pour se développer dans l’e-commerce aujourd’hui, si on veut aller vite, il faut ouvrir un pont sur les marketplaces. Donc, j’ai très vite mis un gestionnaire de flux. qui s’appelle Shopping Feed, et j’ai ouvert le flux sur Amazon, par exemple, qui était la première marketplace que j’ai ouverte. J’ai très vite eu un succès incroyable sur Amazon. J’ai fait Cédiscount, j’ai fait Rakuten, voilà, j’en ai fait plusieurs, mais vraiment, oui. Est-ce que tu me permets de te couper dans ta gestion de marque ? Parce que pour moi, si je me trompe, un gestionnaire de flux, on en reviendra un petit peu plus tard dans l’interview, je pense, Combien de produits tu avais dans tes deux marques différentes ? Combien de REF, combien de SKU tu avais ? J’avais environ 600 SKU. 600 ? Oui. Ah oui, quand même. D’accord. OK. Parce que pour moi, en fait, lancer une marque, c’est avec quelques produits, quelques unités. Mais toi, tu avais… Donc, du coup, ça a un intérêt de prendre un gestionnaire de flux. OK, d’accord. Voilà. Donc, 600 produits, ce qui était quand même lourd à gérer. Donc, le gestionnaire de flux m’a quand même bien aidé pour se lancer. Et donc, à l’époque, sur Amazon, quand je l’ai lancé, je suis vite monté en chiffre d’affaires et j’ai été intégré dans les gros vendeurs de France, les plus gros vendeurs de France. Donc, j’ai été invité à l’ouverture de Long & Planck, par exemple. Et à l’époque, Amazon faisait ça, c’est que pour les gros vendeurs, ils faisaient des journées de formation, des journées d’intégration. On était invité assez régulièrement. ce qui était vraiment sympa parce que j’ai pu connaître, on va dire, l’envers du décor d’Amazon et vraiment comprendre comment ça fonctionnait. On avait un support vendeur dédié aussi qu’on pouvait appeler, quelqu’un qui avait un prénom et pas un robot, donc c’était pas mal. Donc voilà, ça m’a permis vraiment de me lancer, mon chiffre d’affaires a réellement décollé grâce au Marketplace. Et donc un de mes… A partir du moment où tu branches ton magento avec Shoppingfeed et que tes produits sont en stock sur Amazon, tu fais tes premières ventes en combien de temps sur Amazon ? Alors sur Amazon, si le produit est déjà lancé, qu’il a des avis, qu’il est déjà vu, on va dire en un mois ça va assez vite. En un mois, ça va assez vite ? Oui, ça va assez vite. En un mois, c’est lancé, c’est parti. De toute façon, Amazon fonctionne avec un algorithme. Dès qu’il voit que le produit est visité, qu’il y a un nombre d’impressions, ça monte très vite. Ce qu’il faut atteindre, on va dire le graal, c’est d’avoir une quinzaine d’avis sur le produit assez rapidement. Plus il y a d’avis, plus ça va monter au départ. Comment tu fais pour avoir tes premiers avis du coup ? Pour avoir des avis, il y a l’officiel et l’officieuse, comme on dit. Non, mais sans tricher déjà. Ce qui était le cas il y a quelques années, aujourd’hui c’est plus dur, c’est que les gens faisaient des avis plus facilement il y a quelques années. Aujourd’hui, c’est très dur d’avoir des avis, je le cache, c’est vrai. Donc, on n’hésite pas à utiliser son réseau personnel, des amis, de la famille, voilà. Et on leur dit, allez, faites-moi des avis, ce serait sympa. Achetez le produit et puis je vous ferai une remise derrière. On peut faire des coupons avec des remises pour personnaliser. Donc voilà un peu ce qui se faisait. Et alors donc, assez rapidement, un de mes fournisseurs, importateur fournisseur m’a appelé en disant mais je vois les quantités que vous passez. Au début, c’était 30 pièces de commande. Maintenant, vous êtes à 500 pièces de commande. Donc, qu’est-ce qui se passe ? Et donc, je l’ai rencontré et il m’a dit voilà, Moi, ça me paraît passionnant ce que vous faites. Est-ce que vous pouvez le faire pour moi ? Puisque vous n’achetez pas tout de ma collection. Il avait une très large collection et que moi, j’étais quand même ciblé sur un univers bien-être. Lui, il avait d’autres produits, bazar sur la maison, l’équipement maison, choses comme ça. Et donc, il m’a dit, est-ce que vous pouvez le faire pour moi ? Donc, j’ai dit pourquoi pas. Donc, très rapidement, j’ai commencé à travailler pour lui en B2B, on va dire c’est ça, en conseil. Et je lui ai créé un store sur Amazon, j’ai ouvert son compte et on a commencé à mettre tous ses flux. Lui, il avait plus de 5000 références, donc c’était quand même assez impressionnant. Gros catalogue. Et donc, j’ai passé pas mal de temps, je faisais une partie de mon temps sur le e-commerce, mes sites internet et une partie avec lui. Et assez rapidement, j’ai vraiment aimé ce contact, créer une boutique de A à Z, conseils et suivis. Et donc, j’ai, on va dire, mis de côté mon e-commerce pour me consacrer à 100% dans du freelance, on va dire, dans le consulting pour les marques. Voilà. Dans quelle année ? En 2015, en fait. 2015. Donc en 2015, tu arrêtes tes deux marques ? Tu les arrêtes ou tu les laisses vivre en automatique ? Non, non, je les arrête complètement. Ça me prenait quand même beaucoup de temps. On était cinq à gérer ça. C’était de la gestion. Voilà. Concrètement, j’étais à l’équilibre. Je ne gagnais pas hyper bien ma vie. Le e-commerce, c’est très chronophage. Soit je passais un cap pour dire bon là, ça vaut le coup. Maintenant, Je revends mes sites. A l’époque, j’étais avec un associé qui ne voulait pas continuer. Donc, on a pris la décision d’arrêter. D’accord. Claire. Tout à l’heure, tu me parlais de marques que tu as lancées à la redoute. Est-ce que c’était des marques Créé de toute pièce ou c’était vraiment des choses que tu allais sourcer, que tu as rebrandé ? Explique-nous un petit peu les marques que tu as créées à la redoute. Alors si je prends la marque Alpone Nature, c’est une marque qu’on a créée de A à Z. On avait l’objectif de se lancer dans le bien-être et dans la partie phytothérapie. et donc on a contacté un laboratoire dans le sud de la France qui s’appelle Arco Pharma, qui est l’un des plus gros laboratoires de France et d’Europe, dans des produits phytosanitaires et phytothérapie, donc on a fixé une gamme complète avec eux, on a vraiment travaillé sur le produit et on a élaboré cette marque en partant de zéro, donc ça va du dessin, du nom, dépôt de nom, INPI, Comment passer par la Belgique pour une question de normes ? Il a fallu créer une société en Belgique. On a vraiment tout établi. La partie bien nette, il fallait écrire tous les textes, sécurité. On a travaillé avec un pharmacien pour valider toutes les formules avec lesquelles on travaillait et pouvoir travailler sur le marketing d’un homme de la santé qui a validé l’ensemble des documents. Donc voilà, on est parti vraiment de A à Z, une feuille blanche. Incroyable ça. Et les marques, là, elles existent encore ? Alors Alpenature, je ne sais pas. Je n’ai aucune idée. Moi, j’ai quitté le groupe, donc après, je ne sais pas ce qu’ils en ont fait. S’ils ont continué, je suis passé à autre chose, mais je verrai. Tout à l’heure aussi tu m’as parlé de data, c’était quelque chose qui te manquait quand tu étais pas dans le e-commerce et pour toi c’est quoi les datas, les KPIs qu’il faut regarder quand on est dans le digital, aussi bien sur son propre site internet que sur les marketplaces ? Alors, le nerf de la guerre, c’est le trafic quand même, parce que faire du chiffre avec, on va dire, avec un magasin qui est situé dans le Larzac, c’est un peu l’image du Larzac, ça m’amuse toujours, mais quand on va monter une boutique, si on la monte, elle a beau être la plus belle du monde, mais quand elle est au milieu de la forêt ou qu’il n’y a que des moutons, ça ne sert à rien. Si on monte une boutique aujourd’hui, on va où ? La plus belle avenue du monde, là où il y a le plus de monde, le plus de trafic, c’est les Champs-Élysées quelque part aujourd’hui. Alors c’est peut-être la plus chère, mais c’est là où il y a le plus de trafic. C’est exactement ce que je dis à tout le monde qui veut vendre sur Amazon en fait, c’est que je leur dis pour 39 euros par mois, vous vous payez une boutique sur les Champs-Élysées. Voilà. C’est exactement ce que je dis. C’est exactement ça. Donc, quand on fait de la data, on va d’abord regarder le trafic. C’est la première des choses. Est-ce qu’il y a un volume suffisant de gens qui vont passer, qui peuvent être intéressés ? C’est la première chose. Après, si on a le trafic, c’est bien, mais il faut attirer le chaland quand même quelque part. Donc, on a beau avoir une belle boutique sur les Champs-Elysées, si la vitrine n’attire pas, si la marque quelque part n’est pas connue, ce n’est pas trop grave, mais au moins, il faut une belle vitrine. Si la marque est connue, c’est encore mieux. D’ailleurs, si vous allez sur les Champs-Élysées, vous ne verrez pas une boutique, on va dire, inconnue. Il n’y a que des marques connues. Déjà, il faut avoir les moyens pour se le payer. Ça, c’est la première des choses. Donc, il faut attirer le chaland. Et là, il faut mettre en place, on va dire, un marketing, un marketing produit. Il faut une fiche produit qui attire. Un concept qui va faire que quand on va mettre la fiche produit, eh bien, il faut qu’il y ait beaucoup de gens qui cliquent dessus. Il y a des stratégies marketing à mettre en place pour avoir du lead et ça il faut déjà le prévoir. C’est ce que je fais avec les marques avec lesquelles je travaille. Quand on lance une boutique sur Amazon par exemple, on a un travail de 3 à 4 mois avant pour tout préparer. avant la sortie et l’ouverture de la boutique. C’est vraiment important pour que l’on ait tout prévu et que quand on va lancer la boutique, le trafic étant là, tout de suite on va mettre en avant un facing qui va être attirant et qui va bien fonctionner si on a mis en place toutes les stratégies qu’on a développées. On va par exemple utiliser tous les réseaux que ce soit les réseaux sociaux, que ce soit les blogs, que ce soit les influenceurs ou autres, qui vont, on va dire, pousser en arrière. Et le jour où le produit est mis en avant, eh bien, il va y avoir beaucoup d’impression. Et s’il y a des impressions et qu’on a fait une belle boutique, une belle fiche produit, à ce moment-là, on va avoir du lead et on va faire du commerce. Alors là, tu mentionnes quelque chose sur laquelle, en fait, pas mal de discussions avec des vendeurs sur Amazon ou des e-commerçants en général. Pourquoi ? Parce que moi, je prône l’envoi de trafic externe vers mes fiches produits Amazon. Envoyer du trafic, c’est un petit peu du SEO, on envoie du trafic et ensuite voilà, que ce soit des backlinks, etc. Et beaucoup de e-commerçants préfèrent envoyer du trafic vers leur propre site Internet, WooCommerce, Prestashop, Magento, etc. C’est quoi ton avis là-dessus justement ? Alors ça c’est une bonne question parce que c’est vrai que très souvent quand je rencontre des marques qui me disent mais attendez moi je vais sur Amazon et ils vont me prendre 15-20 points de ma marge donc moi je préfère vendre directement sur mon site. C’est vrai, je le conçois, mais l’un ne va pas sans l’autre. C’est-à-dire qu’on peut très bien faire une bonne boutique sur Amazon, même si vous avez une marque importante, connue. Ça sera du plus sur Amazon, vous aurez une petite partie qui va être cannibalisée, ça c’est vrai. que vous perdrez sur votre site, parce qu’il y a des gens qui seront plus rassurés aujourd’hui sur Amazon avec le paiement sécurisé, avec un clic. Donc vous allez avoir une petite partie qui va être cannibalisée, mais sinon vous allez quand même faire plus 20, plus 30% grâce à Amazon. Donc à partir du moment où ils l’ont intégré, pourquoi pas avoir une gamme distincte entre Amazon et votre propre site si vous pouvez. Il y en a qui créent des références spéciales sur Amazon pour éviter de se cannibaliser. Après c’est le gros problème de souvent j’ai des clients aussi qui ont des propres réseaux B2B où ils ont des réseaux parallèles et ils disent mais attendez si je vends sur Amazon qu’est ce que va dire mon réseau B2B. Il. Faut qu’on discute beaucoup, qu’on échange là-dessus pour éviter de cannibaliser l’ensemble du réseau. Sinon, là c’est vrai que ça peut être gênant. J’ai des vendeurs qui ont dû arrêter leur store sur Amazon parce que l’ensemble de leurs clients historiques leur ont dit, attendez, arrêtez, là c’est plus possible. Si c’est sur Amazon, moi j’achète plus chez vous. Donc voilà, soit on crée une deuxième marque, soit on crée une gamme de produits spécifiques qui ne sera pas en concurrence. Par exemple, si on prend les fabricants de téléviseurs, qu’est-ce qu’ils font ? Ils font des gammes spécifiques pour Boulanger, pour Darty. Ce ne sont pas obligatoirement les mêmes produits, même si on sait qu’évidemment derrière c’est le même, mais ce n’est pas la même référence. Donc quelque part, le commun des mortels, lui, il a l’impression que ce sont deux produits différents. Mais là, tu cites un problème aussi que j’ai entendu pas mal de fois, c’est la partie revendeur. En fait, les revendeurs n’aiment pas que la marque aille directement sur Amazon ou sur les différentes marketplaces. Mais pourtant, les revendeurs, eux, sont sur Amazon et sur les marketplaces. Oui, c’est vrai. Quand on est en concurrence directe entre le fabricant et le revendeur, là aussi, j’ai travaillé pour une marque allemande qui s’appelle Blaupunt, qui fait des produits, des enceintes, des choses comme ça. Et là, la licence France, on se mettait à chaque fois en pleine tête les revendeurs qui revendaient derrière. Qu’est-ce qu’on fait ? J’ai dit, il va falloir que vous tranchiez. Oui, mais je ne peux pas interdire aux revendeurs de revendre. L’intérêt pour vous, c’est de travailler sur la notoriété, pas sur le chiffre d’affaires. c’est que vous allez faire une boutique, vous êtes propriétaire de la marque, vous allez faire une boutique avec vos prix, qui ne seront pas des prix dégressifs, qui seront des prix, voilà, vos prix. Après, s’il y a d’autres vendeurs qui se mettent en dessous, quelque part, tant mieux, c’est vous qui fabriquez, c’est vous qui gagnez rien. Donc toi, tu conseilles de quand même venir sur les marketplaces avec un prix fixe et de laisser les revendeurs jouer à la buy box. Voilà, exactement. Pour la marque qui est la marque leader, elle a une belle boutique. Elle fait vivre sa boutique. Elle est là pour travailler la notoriété et pas obligatoirement pour travailler son chiffre d’affaires. C’est souvent les deux axes que je travaille avec les marques, c’est de dire qu’est ce qu’elle est l’intérêt pour vous d’aller sur Amazon? Est ce que c’est faire du chiffre? ou est-ce que c’est travailler votre image ? Et souvent ils disent on veut les deux. Je dis non, à un moment il faut peut-être un peu choisir. Oui vous prêtez du chiffre mais bon peut-être que la notoriété est plus importante. Donc on arrive à avancer et souvent je me rends compte qu’il y a des marques par exemple qui ont des revendeurs ou autres. Je dis attendez là on va arrêter de travailler sur le chiffre, on va plutôt travailler sur la notoriété, sur l’image de votre marque. Vous ne voulez absolument pas dégrader. Travailler sur un beau store, quelque chose vraiment de mettre une belle gamme de produits. Et puis après, vous laissez les autres se battre pour la buy box. Très clair. Est-ce que du coup, toi, tu accompagnes que des marques ou tu peux aussi accompagner des revendeurs, des resellers, des… Je travaille à 90% avec des marques. De toute façon, sur Amazon, je l’ai vu puisque j’ai démarré avec un importateur qui avait plein de marques, des petites marques inconnues. Très vite, on s’est bagarré sur des produits. La guerre de la buy box, il est perdant et à la fin, parce que lui, il achète, il prend sa marge. Ce n’est pas le fabricant. Et je pense que l’avenir des marketplace, c’est de travailler avec les fabricants en direct parce qu’on pourra travailler sur la valeur ajoutée de la marque. On pourra travailler sur une différenciation et pas sur j’achète, je revends, j’achète, je revends. Ça, c’est… On va en frontal en plus avec des TNU, on va en frontal avec des AliExpress. Ça ne sert à rien. Apportons de la valeur ajoutée, travaillons sur une qualité produit, travaillons sur des choses qui vont apporter quelque chose à l’édifice sur lequel on pourra se battre. Quand on a une marque, on peut se battre sur Amazon. Quand on n’a pas de marque, on ne se bat pas. Et donc, il y a vite 20 vendeurs qui viennent sur votre fiche produit et qui vont démolir. Si c’est une guerre de prix, ça ne sert à rien. Vous allez perdre du temps. Voilà. Je pousse les entreprises qui, quand elles viennent me voir, c’est de dire, attendez, vous avez une marque, vous avez une différenciation. Est-ce que vous avez une valeur ajoutée ? Est-ce que vous avez de la marge aussi ? Cela n’a aucun intérêt d’aller sur Amazon si vous n’avez pas de marge sur votre produit. payer un pourcentage la fise, la commission, plus la com, parce que je vais vous aider aussi à créer du Amazon Ads, on va acheter du mot-clé. Bref, si vous n’avez rien comme marge, ça ne sert à rien. On va dire presque 30% des gens qui me contactent, je ne finalise pas avec eux. Moi, je passe du temps et de temps en temps, j’en perds de l’argent, mais à un moment, je dis, il faut arrêter, ça ne sert à rien. Vous allez être mécontent dans un an. Vous aurez dépensé 20 000 euros et vous n’aurez rien gagné. Et moi, je ne serais pas content parce que je vous aurais accompagné pour vous lancer dans un échec. Voilà. C’est clair. Du coup, j’avais une autre question qui arriverait un petit peu plus tard dans l’interview, mais je vais te la poser maintenant. Tu la entends peut-être tous les jours, peut-être toutes les semaines. que c’est encore intéressant d’être présent sur Amazon ? Est-ce qu’il y a encore de la place pour les vendeurs sur Amazon ? Est-ce qu’il faut tout simplement continuer d’essayer de vendre sur Amazon ou alors est-ce que ça sert à rien de se battre contre des TMU, contre des AliExpress, contre des Wish, contre ce genre de low coster, de discounter ? Oui, tout à fait, je l’entends et justement, je mets bien en garde en disant attention, ce qui existe aujourd’hui par Tému, AliExpress et autres, on ne se bagarre pas là-dessus, on laisse tomber, ne perdons pas de temps pour gagner 3 centimes, vous allez passer un temps fou. Donc, je dis, on arrête tout de suite. Qu’est-ce que, on va travailler beaucoup plus sur le produit, moi avec les, alors je suis un ancien du produit aussi, j’ai été acheteur, chef de produit, donc je sais bien, je connais bien la difficulté, mais qu’est-ce que vous allez apporter sur le marché ? Très souvent, j’ai une marque ou quelqu’un qui vient me voir, je commence déjà, je dis attendez, on va sur Amazon, en navigation privée, et on va taper les mots clés de vos produits et on va voir ce qu’il y a. Et puis, je vais faire une crème. C’était il y a un mois, un client sur la Bretagne, un laboratoire qui a développé des produits à base d’algues. Je trouve ça très intéressant. Donc, je l’ai conseillé, on a avancé dessus. Voilà, on va commencer à regarder ce qui existe aujourd’hui comme produit sur Amazon avant de commencer. Et on a vu qu’il n’y avait pas énormément de produits à base d’algues. Il y en avait quelques-uns, mais pas beaucoup. Donc, je dis est-ce que On voit qu’il y a un potentiel. Combien évidemment de mots clés sont tapés ? Pour ceux qui ont Helium 10 ou Jungle Scoot par exemple, c’est très bien parce que là vous allez pouvoir avoir… Je vous parlais tout à l’heure du trafic. Justement, est-ce qu’il y a du trafic sur la crème à base d’algues par exemple ? S’il y a 20 recherches par mois, est-ce que ça vaut vraiment le coup ? Donc on va regarder tout ça et puis s’il n’y a pas trop de concurrence, s’il y en a un petit peu, c’est normal, mais pas trop non plus. Où on est situé ? Est-ce que c’est une niche ? Est-ce que cette niche a un potentiel d’avenir ? On va travailler sur tout ça. on va dire les indicateurs sont au vert, on avance. Si c’est déjà orange, je dis si c’est orange, on va continuer à travailler pour aller vraiment voir si ça vaut vraiment le coup. Et de temps en temps, on passe des semaines avant de démarrer parce que ce n’est pas sûr et qu’il y a trop de risques derrière. Aller vendre un iPhone 15 aujourd’hui sur Amazon, ça n’a aucun intérêt. Sauf si vous appelez Apple, mais sinon, ça n’a pas vraiment d’intérêt. Donc là où il y a trop de concurrence aujourd’hui, moi je dis toujours n’y allez pas, vous allez passer un temps fou pour rien, ça sert à rien. Aujourd’hui il y a 350 millions de produits sur Amazon, donc un de plus ça changera rien. Je pense qu’une société qui vendent des compléments alimentaires, mais qui n’est pas encore présente. Alors, une société veut dire pas un private label qui vient de se lancer, qui vient d’acheter une formation à 1000 balles chez un formateur connu de YouTube, mais une vraie marque pharmaceutique qui existe, mais qui n’est pas encore présente sur Amazon, qui brasse déjà quelques centaines de milliers, voire des millions sur leur site Internet. Est-ce que tu penses que malgré la concurrence sur les compléments alimentaires qu’on peut trouver sur Amazon, est-ce que tu la conseillerais quand même d’aller sur Amazon ou pas du tout par rapport à ce que tu viens de dire ? Alors, c’est une bonne question que tu poses là et ça m’est arrivé il n’y a pas longtemps. Donc, à ce moment-là, je vais faire une étude de notoriété de la marque. J’ai besoin d’une étude de notoriété de la marque. Si la marque est une marque, on va dire, assez régulièrement citée par les consommateurs, eh bien oui, je conseillerais d’aller sur Amazon parce que là, ça vaudra le coup. Si c’est une marque inconnue, et que sur le même complément alimentaire il y a déjà 50 concurrents, qu’est-ce qui fera la différence ? Est-ce que c’est le prix ? Est-ce qu’ils sont moins chers que les autres ? Et pourquoi pas à ce moment-là, parce que souvent il y a des gens, ils tapent, je sais pas, complément alimentaire pour X, voilà, X mots, X mâles. À ce moment-là, on verra ce qui va se passer et ce qui va apparaître. Qu’est-ce qu’ils vont apporter en fait ? Parce que leur marque n’est pas hyper puissante, qu’est-ce qu’ils vont apporter ? Un prix ? Pourquoi pas un conditionnement différent ? ce qu’on appelle la galénique, pourquoi pas, mais il faut qu’ils ramènent quelque chose. Si c’est un banan, je vais vendre la même chose que les autres et je suis 2 euros plus cher, on arrête, ça ne vous mène pas la peine d’y aller. Ça ne sert à rien. Pour toi Amazon, moi j’ai une théorie, dis-moi ce que tu en penses. Je pense qu’Amazon donne un manger à tout le monde, même si tu es à la cinquantième place dans les recherches d’Amazon sur Tomoclay, par exemple complément alimentaire, il va donner 80% aux meilleurs vendeurs, on est d’accord, mais les 20% ou 10% il va les dispatcher un petit peu sur plein de petits vendeurs pour voir comment ça mange, pour voir comment ça mord, pour amorcer le truc et pour voir si au lieu de, je ne sais pas, peut-être une vente, il va lui en donner deux, trois, quatre, cinq, six. Mais pour moi, il y a vraiment un intérêt à Amazon de donner quelques ventes, même aux tout petits vendeurs qui sont dans les abysses en termes de recherche, en termes de conversion. Dis-moi ton avis là-dessus. Oui, oui, je suis d’accord. Je suis d’accord que la première page sur Amazon va réaliser 60-70% du chiffre et que celui qui est en cinquième page, il va avoir un peu les miettes. Maintenant, Quel est l’objectif du vendeur ? Est-ce que c’est prendre ces miettes-là et ça lui suffit ? Pourquoi pas ? Si par contre son objectif c’est d’être en première page, il va falloir développer une certaine stratégie pour être en première page. Je les accompagne, on va travailler sur Amazon Ads, on va acheter des mots-clés. Est-ce qu’ils sont d’accord d’investir un peu pour gagner derrière ? Amazon ads c’est bien aussi mais là s’il y a trop de concurrence c’est pareil là aussi je fais une petite étude je veux dire ben voilà le mot clé est à 4 euros on va peut-être se calmer quoi parce que là c’est ouf est-ce que vous êtes prêts vous vendez votre petit pot à 15 euros et on va mettre 4 euros pour l’achat du mot clé là vous avez intérêt à avoir une méga marge pour vivre parce que sinon il. Reste plus rien Oui, c’est sûr. Je suis d’accord avec toi. Du coup, tu me fais penser à une question que je n’avais pas notée. Est-ce qu’il y a un prix minimum pour commencer à vendre sur Amazon ? Est-ce que les produits à 10 balles, à 10 euros, c’est intéressant de les vendre sur Amazon ? Moi, je dis toujours qu’il ne faut jamais vendre un produit en dessous de 20 euros sur Amazon. Le treatment moyen d’Amazon est à 27 ou 28 euros, je pense. Le panier moyen, donc, il est assez bas. Si on prend par rapport au e-commerce, on est plutôt à 70-80, le panier moyen. Donc, Amazon est beaucoup plus bas. Prime a aidé aussi à, on va dire, démocratiser et vendre des produits à petit prix, donc ça s’aide. Alors, moi, là-dessus, j’ai beaucoup travaillé avec une société et on s’est rendu compte qu’en fait, plus le conditionnement est petit, on va dire, qui rentre dans une enveloppe quelque part. Là, on peut le vendre à 10 balles, il n’y a pas de problème. Si vous avez de la marge, de toute façon, le transport, même si c’est du FBA, il ne va pas vous coûter grand chose parce que maintenant, des produits moins de 10 euros, Amazon a mis en place le FBA pas cher. Donc ça, ça peut aider aussi. Maintenant, si vous avez un gros conditionnement pour chaque client, je vais travailler sur le conditionnement parce que là, ça peut vite coûter cher le transport. Là, j’ai travaillé pour un fabricant de litterie il n’y a pas longtemps. Là, je ne vous raconte pas le prix d’envoyer un matelas. Ce n’est plus la même chose. Donc voilà, il faut bien regarder quels sont les conditionnements. Un marchand de litterie en FBA ? Il fait quelques produits en FBA, oui. Le gros conditionnement, je ne le conseille pas sur Amazon. Ils sont très mal structurés. Ils perdent beaucoup de livrets. Ils ne sont pas aussi bons que dans l’azote. Ok d’accord. Est-ce que du coup toi tu as des conseils sur quand partir en FBA, quand partir en FBM ? Alors souvent je conseille à mes clients de faire les deux. S’ils peuvent, s’ils ont une logistique interne ou déportée, de faire les deux parce qu’on se rend compte, il y a des clients. J’ai un de mes clients qui fait des jeux, des boîtes de jeux, des jeux de cartes ou des jeux comme ça. On s’est rendu compte, à un moment, il est tombé en rupture en FBA. Donc, on a créé le produit en FBA évidemment. pour pas qu’il loupe et puis il a refait une livraison et puis il s’est rendu compte en gardant le FBM qu’il garde quand même on va dire 10% des ventes en FBM. Donc d’abord l’avantage c’est que l’algorithme quand on n’a plus de stock d’Amazon on peut vite se dégringoler dans les ventes et en ranking on devient beaucoup moins bon. Donc si on a du FBM on reste un peu dans le ranking, ça évite de dégringoler d’un coup. Donc je conseille souvent, si vous avez la possibilité, sauf pour ceux qui ont 5000 références évidemment, mais si vous avez la possibilité de faire FBA et MFBA ensemble, et puis comme ça vous allez y gagner des deux côtés. Après le FBA, alors il faut bien regarder la taille du conditionnement du produit parce qu’il y a des moments c’est pas du tout rentable, Amazon a quand même très bien travaillé, ce qui fait qu’il faut les faire en FBA parce qu’en FBA, c’est pour avoir aussi la buy box, il ne faut pas se le cacher. Et puis Amazon, c’est une machine de gars extraordinaire. La logistique d’Amazon, moi je viens de la redoute et je n’ai pas connu, c’était mes parents à l’époque, mes grands-parents, le 48 heures chrono que tout le monde dans l’historique connaît. Mais Amazon fait du 24 heures chrono régulièrement. C’est une machine qui fonctionne parfaitement. Pour le consommateur que je suis, en tant que consommateur aujourd’hui, l’éjecter entre deux, je passe une commande sur Amazon, je suis sûr d’être livré. Je ne suis pas le seul, je fais des enquêtes de consommateurs assez régulièrement, les gens sont ravis d’Amazon. C’est un petit peu paradoxal parce que quand tu écoutes un petit peu le journal télé ou des émissions comme quotidien comme Hanouna ou ce genre d’autres bêtises, t’as l’impression quand même qu’il y a beaucoup, beaucoup d’anti Amazon en fait. Alors que ce n’est pas du tout, c’est juste une petite pourcentage qui passe à la télé, mais qui reflète en fait beaucoup de… Alors que dès que je demande moi à des gens autour de moi, encore hier j’étais à la kermesse de mon fils, on a discuté un petit peu de boulot et forcément le métier arrive et je leur demande où est-ce que vous commandez sur Internet ? 90% du temps c’est Amazon ou c’est Discount ou une Marketplace en tout cas. Donc voilà. C’est pour ça que quand on me demande est-ce que vendre sur Amazon c’est mort, je leur dis pas ma façon de penser parce que c’est un petit peu biaisé, je suis dedans donc forcément c’est pas objectif. Je leur dis posez la question autour de vous et demandez où est-ce que les gens achètent. Et où est-ce que les gens achètent, il faut être vendeur tout simplement. Donc voilà. Est-ce que toi tu penses que Amazon FBE est souvent, en tout cas c’est moins cher, que de gérer la logistique tout seul en interne ? Alors c’est aussi une bonne question parce que je l’ai travaillé avec un fabricant de café avec lequel j’ai travaillé. Je travaille toujours un peu avec eux, un peu moins aujourd’hui. Je les ai vraiment aidés, un très gros fabricant de café en France. Et on a travaillé sur est-ce que ça vaut le coup le FBA par rapport à leur entrepôt. Donc ce sont des gens qui vendent ou trouvent leurs produits dans tous les hypermarchés de France et de Navarre. Donc, ils voulaient un peu savoir à ce que ça vaut le coup. Donc, ils ont fait un conditionnement un peu particulier parce qu’au début, la petite boîte de café avec les 10 dosettes Nespresso, par exemple, ce n’était pas du tout rentable, c’est clair, les coûts de transport. Donc, ils ont retravaillé en faisant des packs de 200, par exemple, dosettes. par rapport à leur logistique et voilà quand ils ont trouvé le bon le bon mixte entre le poids et le volume en retravaillant leur pacte et bien ils ont trouvé que c’était très intéressant l’FBI parce que le coût d’Amazon reste assez raisonnable sur ce type de conditionnement je parle pas des gros cartons mais voilà sur ce type de donc par rapport à leur propre logistique ils m’ont dit bah on n’est pas perdant sur Amazon Voilà, par rapport aux services qu’apporte Amazon, on n’est pas perdant. Et ils ont leur propre logistique, donc ils savent très bien livrer des milliers de clients tous les jours. Ce n’est pas un problème pour eux. Après, ce qui peut être un peu gênant pour certains, c’est avoir le double stock. Mais c’est une gestion informatique souvent. Oui, je vais avoir du stock chez Amazon France et puis en même temps, je vais attaquer l’Allemagne parce que c’est quand même le plus gros marché européen. Donc, hop, je vais mettre du stock chez Amazon. En Allemagne, il faut juste gérer tous ces stocks. Ce n’est pas très grave, mais il faut savoir comment le gérer. Et puis après, c’est vrai qu’Amazon, de temps en temps, avec certains de mes clients, perd des marchandises. C’est normal, ils ont des millions de références et de stocks qui sont un peu partout. Donc, ce n’est pas une machine infaillible. Il y a de temps en temps des erreurs. En général, ils le reconnaissent, on demande, ça traîne un peu et puis on rembourse après. Oui, il y a des systèmes pour se faire rembourser la casse, la perte, etc. Il faut juste le faire, ce n’est pas automatique, donc c’est sûr. Pour toi, c’est quoi les erreurs communes que tu vois le plus souvent chez des vendeurs que tu accompagnes ou sur des boutiques que tu audites tout simplement ? Oui. Souvent, c’est de la précipitation. Il y en a qui vont très vite. Ils pensent que c’est la conquête de l’Ouest. Donc ça y est, il y a de l’or. On va gagner énormément d’argent sur Amazon. On met une fiche de produit. Alors vite fait, tiens, je vais demander à ma secrétaire de le faire parce que je n’ai pas le temps. Donc on met trois photos qui ne sont pas terribles, mais ce n’est pas grave. On va vite vendre le produit de toute façon. Et puis, au bout de deux mois, on a vendu un. Oui, Amazon, c’est nul, ça ne marche pas. Donc, précipitation, pas de réflexion dans le fond. On a les produits, on les met, on ne réfléchit pas. On ne va pas regarder la concurrence. On ne va pas faire une petite analyse. On ne va pas regarder les prix aussi. Donc, on a un peu souvent, c’est trop cher. Oui, mais moi, je ne peux pas baisser. Oui, mais pourquoi on a fait tout ça ? Fiche produit qui est mal faite parce qu’il y a quand même des mots-clés. Ça s’appelle le SEO. Donc, voilà, il y a tout ça à faire. Les belles photos, moi j’ai quand même travaillé aussi beaucoup dans l’image et donc c’est hyper important d’avoir une fiche produit A+, aujourd’hui. Pour ceux qui ne connaissent pas la fiche produit A+, c’est la totalité de la fiche produit. Quand on croule, on descend et on va voir l’image de la marque, on va voir les photos des produits détourés, on va voir les produits mis en situation aussi. Ça, il faut le faire beaucoup. C’est très important d’avoir un produit, on voit un produit de cuisine, qu’il soit mis dans une cuisine pour voir un peu à quoi il ressemble au milieu de la cuisine. L’objectif, c’est que les gens ne soient pas déçus, qu’il n’y ait pas de retour. J’ai commandé un produit, il est arrivé tout petit comme ça, je ne m’y attendais pas du tout. Oui, c’est normal, il a été détouré, on ne le voyait pas du tout. Donc souvent, moi je dis, rajoutez, mettez-le en situation. Et même Amazon, j’ai eu mon conseiller la semaine dernière, pour un de mes clients, il m’a dit mais il faut faire que des produits détourés. J’ai dit mais vous êtes quand même gentil parce que vous nous dites qu’à chaque fois, il faut faire que des produits détourés. Et maintenant, vous me dites, pardon, qu’il faut faire des produits mis en situation. Elle dit oui, mais la première image doit être détourée, mais le reste, vous pouvez mettre tout en mise en situation. Donc voilà, ça, j’essaie vraiment de le faire avec mes clients. Faire une belle fiche de produits à plus, c’est vraiment important pour que le produit ressorte. qui rassure avec beaucoup de rassurance, donc des termes qui vont rassurer le client parce que les gens achètent à distance, ils ne voient pas la couleur, ils ne voient pas le produit, donc il faut que tout soit bien détaillé. Et comme ça, le client, il pourra cliquer sur ajouter au panier et finaliser sa commande. Voilà, ça, c’est vraiment ce que je vais conseiller. Souvent, quand je vois mes vendeurs, je passe beaucoup de temps là dessus. On va retravailler sur la gamme produit en disant pourquoi vous avez mis ça? Il y a trop de concurrence. On va retirer celui là. On va plutôt mettre celui là en avant. On va plutôt le mettre en lot de deux parce que voilà, à l’unité, vous ne gagnez pas d’argent, mais en lot de deux, vous allez gagner de l’argent. Et puis en conditionnement, ce sera impeccable et ce n’est pas gênant pour le consommateur parce que ça peut s’appliquer en lot de deux. Il y a vraiment tout ça à mettre en place. Ça, c’est la première des choses. Et puis après, quand on a fait tout ce boulot là, Donc il y a un gros travail. On va travailler sur la publicité parce qu’Amazon Ads est quand même très important aujourd’hui. Plus il y a de concurrence, plus il faut mettre en place des campagnes publicitaires. Donc ça, c’est une deuxième étape. Alors je sais que j’ai des clients qui ne veulent pas y passer, mais ceux qui y passent en tout cas, en général, sont très contents. On ne peut pas se passer de publicité, de PPC, d’Ads sur Amazon ? Pour moi, non. Dès qu’on veut croître, si on travaille la notoriété, ce n’est pas obligatoire. J’ai travaillé avec le groupe Nestlé, je peux en parler. Là, il a fallu mettre des budgets pubs qui étaient assez conséquents parce qu’eux voulaient inonder le marché à un moment sur Amazon et qu’il a fallu mettre le tapis rouge et qu’on a fait du display. Voilà, tout le monde n’a pas les moyens de faire du display. Mais sinon, une petite marque, j’ai des petits budgets, une marque Julien Normal, j’ai des budgets. Il y en a où je dépense 100 euros par mois. Ce n’est pas énorme quand on fait du chiffre et ces 100 euros peuvent dégager Un complément, on fait du 10, on fait du 15, on fait du 20 fois les 100 euros. Donc, si je mets 100 euros, j’ai 2 000 euros de chiffre d’affaires additionnels, ça vaut quand même le coup. Donc, si je mets 200 euros, je vais avoir 4 000. Vous voyez, c’est ça. À un moment, le client dit oui, ma boutique fait 10 000 euros par mois. Donc, si je mets 1 000 euros, vous pouvez Et c’est ça où on va vraiment travailler et tout compte fait ça fait une augmentation de chiffre et je passe devant mes concurrents alors que d’habitude j’y arrivais pas, c’est pas parce que j’ai la buy box que je vais vendre mon produit. Après il faut quand même regarder la partie rentabilité comme tu l’as mentionné tout à l’heure dans l’interview. Toujours savoir si malgré les fils d’Amazon, malgré les coûts de production du produit et le PPC en plus, il faut quand même toujours garder une notion de rentabilité. A long terme, j’ai envie de dire. On peut être perdant sur quelques semaines, quelques mois, mais au final, il ne faut pas oublier cette notion. Du coup, comment tu fais toi pour gérer un petit peu ton PPC ? Tu as des outils que tu utilises ? Tu fais tout à la mano ? Je ne te cache pas, je suis abonné chez Helium 10, donc là, ça m’aide quand même beaucoup. Il y a énormément de données dessus. On récupère quand même beaucoup d’infos. Et puis après, j’ai mes outils perso que j’ai développés qui me permettent juste de vérifier chaque campagne avec chaque client. Et puis ça, je le fais un peu à l’amano, mais ça fait partie du business. Et puis voilà, avec Helium 10, ça me suffit. Les deux ensemble, j’y arrive. Après, j’ai utilisé plusieurs petits outils, mais je ne les mets pas toujours en avant. Ok, très clair pour moi. C’est toujours une notion un petit peu délicate sur le PPC parce que c’est quand même très très très chronophage d’aller regarder les mots-clés, de les enlever, de faire des campagnes spécifiques, etc. Donc ça demande quand même beaucoup beaucoup beaucoup de temps. Surtout quand on peut gérer des lots de références comme toi tu peux avoir, ça demande quand même beaucoup beaucoup de temps je pense. Et il y a, je pense, des vrais outils à développer J’ai l’impression qu’on est quand même un petit peu en retard sur ce niveau-là. Oui, alors il faut rapprocher les Américains parce qu’ils ont développé des outils. Donc je me rapproche pas mal des Etats-Unis depuis le début d’année justement pour essayer de récupérer des outils qu’on n’a pas en France. Donc je pense qu’il faut aller gratter là-bas. Je pense aussi qu’il faudrait plonger le sujet un petit peu pour vraiment tester. qui demande vraiment beaucoup de temps et sur lequel en fait si tu te trompes tu peux perdre quand même beaucoup d’argent donc la rentabilité de payer un outil quelques centaines d’euros elle est peut-être quand même assez vite rentabilisée sur peut-être pas sur des petits private labels mais sur des marques qui ont quand même pas mal de ref ça peut être ça peut être intéressant donc très clair Benjamin pour toi c’est quoi l’ordre d’ouverture des marketplaces en gros Est-ce que d’abord je dois ouvrir mon site internet, ensuite c’est Amazon, ensuite c’est CDiscount, ou est-ce que tu as un ordre différent, ou est-ce qu’il faut inonder le marché avec un gestionnaire de flux ? C’est quoi ton sentiment là-dessus ? Alors est-ce que déjà, la première question, là j’ai travaillé avec un fabricant dans le domaine du jardin, c’est assez intéressant, est-ce que vous avez déjà un site internet ? Ils vendent ces produits déjà chez Laurent Merlin, ils vendent ces produits dans toute la distribution. Est-ce que vous avez déjà un site internet ? Ah non, non, on a un site vitrine, mais voilà, c’est quelqu’un qui fait des gants. Des gants de jardinage, des gants de bricolage, des gants, voilà. Est-ce que vous avez un site internet ? Ah non, on a un site vitrine, mais c’est tout, on n’a pas de site. On ne veut pas faire du commerce, on dirait que ça ne nous intéresse pas, puisqu’on revend déjà à tout le monde. Et puis on ne veut pas se mettre à dos tous nos clients. Donc voilà, il me dit pourquoi vous avez voulu aller sur Amazon ? En fait, je veux aller sur Amazon parce que ça me titille un peu quand même. Est-ce qu’on n’est pas présent sur Amazon ? Nos vendeurs et revendeurs ne sont même pas sur Amazon et on se dit que ça serait peut-être intéressant quand même de pouvoir distribuer nos produits. Donc voilà, l’idée, si vous pouvez créer un site e-commerce, mais c’est vrai que ce n’est pas idiot. Maintenant, il faut mettre la ressource en face puisque votre site e-commerce sera quand même plus, on va dire, je ne dis pas plus rentable, mais la marge d’entrée sera plus élevée. Par contre, le temps que vous allez consacrer le marketing et tout ça va vous prendre. Donc, on a étudié, on a fait plusieurs colonnes, on a dit site e-commerce, voilà combien ça coûte. Donc, on a tout chiffré. Et puis après, j’ai mis en face Amazon. Amazon, il n’y a pas de frais, vous n’avez pas de mettre 10 personnes dessus, il n’y a pas besoin de passer par une agence particulière, on peut se faire aider, voilà. Et donc, on a fait la même colonne, même s’il y a 15% en face qui va être pris par la… Ce n’est pas énorme en fait, contrairement à ce qu’on pense, puisque par rapport à un site de commerce, il s’est vite rendu compte que la ressource qu’il devait mettre sur le site internet, Et la ressource pour Amazon, il y a beaucoup moins de ressources sur Amazon, ça va beaucoup plus vite, le retour sur investissement est bien plus rapide et on peut même former les gens en interne, c’est-à-dire que quelqu’un, alors c’est moi qui formais les gens chez eux par exemple, il y avait deux personnes que j’ai formées qui pouvaient très bien gérer Amazon directement. Après, on a créé un store pour eux. Je les ai aidés vraiment à démarrer et aujourd’hui, ils vendent leurs gants sur Amazon alors qu’ils n’ont pas d’e-commerce, ils n’ont rien d’autre et ils en sont ravis. Eux, c’est le petit complément qu’ils leur permettent et ils ont travaillé d’abord sur la notoriété. Et au bout de deux ans, ils ont dit, ça serait bien maintenant qu’on fasse un peu plus de chiffres, donc je les ai accompagnés pour développer le chiffre d’affaires. Mais voilà, c’était ça. J’ai un autre fabricant qui est assez amusant à Paris, qui fait de la parfumerie. Ils travaillent pour la grande distribution, beaucoup de parfums que les gens achètent. Ce n’est pas de la grande marque, mais c’est de la marque, on va dire, distributeurs ou leurs propres petites marques et qui avait son site e-commerce. et qui en avaient marre parce que c’était un gouffre au niveau personnel, les gens qui travaillaient dessus, les agences qui bossaient dessus, ils en ont eu marre, et donc on est passé sur Amazon avec eux, Amazon seller, Très rapidement, son site internet a baissé les dépenses parce qu’il en avait ras-le-bol, et Amazon a pris le lead tout de suite. Même sur Google, quand on tapait leur marque, c’était Amazon en premier, leur site était dégringolé. Il m’a dit qu’il était ravi d’être sur Amazon car ça coûte 10 fois moins cher et que son métier n’était pas que de vendre. C’était un producteur de parfums donc il était ravi. Et parce qu’il ne faut pas oublier que vendre, être e-commerçant, ça demande quand même beaucoup de compétences, soit en interne, soit en externe, soit à former, etc. Donc on a parlé de SEO, de SEA, de rédaction de fiches produits, de logistique, de photographie, de vidéo, de réseaux sociaux, etc. D’amener du trafic aussi. C’est quand même très chronophage versus Amazon, en fait, on peut le considérer aussi comme un distributeur, tout simplement, comme Leclerc, comme Auchan, comme le retail traditionnel. On envoie nos produits là-bas et si le travail de ton client qui est parfumeur, c’est simplement de produire des bons parfums et de ne pas se faire chier, Amazon ça peut être une solution comme être présent dans la grande distribution et d’envoyer le meilleur produit de ce focus là dessus et c’est tout basta. C’est sûr et certain que ça coûte 15% de marge, voire 20 avec tous les différents frais, etc, etc. Mais d’un autre côté, on est tranquille. Oui, mais là, c’est frappant la différence. Alors, tu l’as dit, un site e-commerce, ce n’est pas un métier, c’est 20 métiers. Pour être partout, ce n’est pas possible. Il faut être dans les réseaux sociaux, les influenceurs, le marketing. Vraiment, c’est 10 métiers. Alors que sur Amazon, ces 10 métiers, c’est quelque part, on les resserre sur un ou deux métiers, donc ça va beaucoup plus vite. On peut former les gens en interne dès qu’ils ont compris comment ça fonctionne. Il n’y a pas besoin… de redémarrer tout à zéro. Et on s’en fait un monde, mais c’est plutôt assez rapide. Monter une boutique crédit produit, on va dire sur une semaine, c’est faisable. Alors qu’un site Internet, il va falloir mettre à jour parce que je suis sur PrestaShop 1.6789. Il y a toujours quelque chose. Je sais, moi, j’étais sur Magento. Ensuite, je passerai sur PrestaShop. J’ai fait toutes ces migrations et c’était l’enfer. Avec le serveur qui plante le machin, le truc, on est derrière. On n’arrêtait pas. Là, sur Amazon, on n’a pas ce genre de questions à poser. Il faut juste avoir des fiches produits qui sont bien faites, des bonnes photos. Et ça, c’est à la portée de beaucoup de monde. Et puis, c’est lancé. Et puis voilà. Et après, dès qu’on veut attaquer Amazon Ads, c’est pareil. Moi, je fais des formations. J’aide les gens à comprendre le système. Il n’y a pas besoin d’être tous les matins derrière pour gérer sa campagne publicitaire. On peut automatiser énormément de choses. On peut faire du repricing aussi sur Amazon. qui est automatisé. On n’est pas obligé d’avoir 50 outils, donc quelqu’un va dire qu’on va informer qu’il y a une tête bien faite, il pourrait passer une journée par semaine sur Amazon et le résultat, il fait autre chose. Il a des bons systèmes d’alerte, il reçoit ses messages par e-mail, il répond aux clients par e-mail, mais il n’est pas tous les jours sur Amazon H24, donc c’est un gain de temps énorme et un gain de temps sur lequel on a en France, combien ? 40 millions, je pense, de clients qui sont sur Amazon. C’est ça. Et après, le gros avantage aussi, je pousse tous mes clients à faire ça, c’est très vite passer au système européen, à partir du moment où ils ont des produits qui peuvent se vendre dans tous les pays. On attaque l’Allemagne en premier parce que l’Allemagne c’est le numéro un de la vente à distance d’Internet en Europe. Et puis après, on attaque sur les autres. Aujourd’hui, Amazon a mis en place, alors c’est un peu long, le système COST, je ne sais pas si tu as entendu parler, Call of Stock. Donc c’est ça aussi là, j’ai pas mal de mes clients qui commencent à y arriver. C’est extraordinaire parce que c’est un stock chez Amazon et on vend dans toute l’Europe sans avoir un numéro de TVA par pays. Voilà, c’est très bien fait. Bon, c’est un peu lent, je trouve, les équipes d’Amazon. On a l’impression que ça arrive plus vite. On est toujours impatient. Mes clients le sont et je le comprends. Mais voilà, Amazon… Tu peux développer un petit peu, justement, ce nouveau programme d’Amazon, là, par rapport au Pan Europe ou par rapport au FBA traditionnel avec un numéro de TVA français ? Oui, alors c’est un peu lent parce que ça devait démarrer en juillet 2023. Les équipes d’Amazon que j’ai assez régulièrement en ligne. Oui, oui, ça va pas démarrer. Donc septembre, ça va arriver, ça va arriver. Vous n’avez pas bien rempli les bons critères, donc on a tout rempli, on a tout fait. On est les petits soldats, tout est impeccable. Et là, ça a démarré en début d’année 2024. Ça vient de se lancer et j’ai cinq clients qui sont sont prévus de passer en costes. Sur les cinq, j’en ai un seul qui a été validé, donc j’attends encore pour les autres. C’est quoi le concept exactement de ce nouveau programme d’Amazon ? En fait, c’est simplifier l’ouverture des ventes pour l’Europe. C’est qu’il faut au moins vendre sur quatre pays obligatoirement. Sur quatre pays, il faut que les fiches produits soient dans les quatre langues, Amazon aide là-dessus, mais qu’on ait créé ces fiches produits dans les quatre pays. Donc si je prends France, Allemagne, Italie, Espagne par exemple, tous les pays ne sont pas ouverts pour ça. Donc j’ai ces quatre pays, je mets mon stock en France et obligatoirement Amazon, puisque j’ai créé mes fiches produits sur ces quatre pays, Amazon va envoyer du stock au plus près du consommateur, donc il va envoyer du stock en Allemagne, en Italie, en Espagne, Moi, je n’ai pas besoin de numéro de TVA de tous ces pays-là, c’est Amazon qui le gère et je n’ai pas de surcoût quand un client allemand passe une commande. Moi, je paye en FBA le même prix qu’un client français. Mon stock est déporté. je peux jongler et dire bah non je veux pas trop de stocks en Allemagne, voilà c’est comme si j’avais mon stock en France, si je veux le rapatrier j’appuie sur un bouton et c’est rapatrié, c’est Amazon qui gère complètement le flux de chaque pays. Moi j’ai un stock France et je sais pas trop ce qui se passe mais c’est envoyé un peu partout et j’ai la prime dans tous les pays quand même, j’ai le prime dans tous les pays et donc je peux avoir la buy box dans tous les pays. Je me permets de rajouter un petit historique. En 2015, quand j’ai commencé à vendre sur Amazon, je pouvais vendre aussi sur les différentes marketplaces. J’avais tout mon stock en FBA France, dans les entrepôts d’Amazon France, et pourtant je pouvais quand même vendre en Allemagne, en Italie, en Espagne, etc. Le problème c’est que je faisais des ventes logistiques internationales donc le prix à moi me coûtait beaucoup plus cher et en plus j’étais pas en prime. Mais c’était faisable donc d’après un stock français on pouvait quand même vendre en Allemagne, on pouvait quand même vendre en Italie etc. Ensuite est arrivé Pan Europe. Pan Europe c’est on envoie notre stock chez Amazon France ou n’importe lequel entrepôt et c’est ensuite les algorithmes d’Amazon qui vont dispatcher notre stock dans les différents pays des marketplaces où ils ont des centres logistiques en Europe. Problématique, c’est qu’il fallait avoir, la loi dit qu’il vous faut un numéro de TVA dans chaque pays où vous avez du stock. Ouvrir 7, je crois que c’était 7, 7, 8 ou 9 numéros de TVA C’est chronophage, c’est long, ouvrir un numéro TV en Espagne c’est la croix et la bannière. Il y a des services qui existent comme Avas, comme Avalara ou Vieti Global, ce genre de prestataires, mais ça coûte quand même un petit billet. Et maintenant vient le nouveau service d’Amazon qui vient killer un petit peu tous ces prestataires. Tout à fait, c’est bien fait de faire l’historique parce que c’est vrai. Il y avait aussi les seuils. Avant, je vendais en Allemagne moins de 100 000 euros de chiffre d’affaires, on ne m’embêtait pas. Si je passais au-dessus, c’était 150 000 euros, là je devais déposer un numéro de TBA. Le problème, c’est que l’Europe a diminué tous les seuils à 3 000 euros, je pense. C’est 3 000 euros à l’étranger, donc c’est sûr qu’aujourd’hui… Il y a des. Milles dans toute l’Europe, je crois. C’est combien ? 10 000 dans toute l’Europe. C’est 10 000, oui. Les seuils ont été fortement baissés. Donc, on se retrouve aujourd’hui. Si je fais plus de 10 000 euros en Allemagne, je dois déposer un numéro de TVA. Et moi, j’ai beaucoup de clients qui ne veulent pas. Parce que c’est chronophage. Cela dit, ça coûte quand même un petit billet et qu’il faut gérer tout ça au niveau comptabilité, machin. Donc, il y en a plein qui ne voulaient pas. Alors que le COS, justement, ça y est, on n’a plus ce problème-là grâce au COS. Ça va être magique. Ça va être ça, ça va être magique. Justement, là, tu parles de problèmes à gérer, etc. Moi, je me rappelle quand j’avais mon logiciel AMZ Cockpit, Cockpit Lab, pour la facturation, j’avais un client qui vendait des mini voitures, des mini fifs, comme ça s’appelle là, les voitures de collection en petit. Il brassait quelques centaines de milliers d’euros sur Amazon tous les ans. Ça m’avait choqué, vraiment. et je lui ai dit mais pourquoi tu vas pas sur ces discounts et il m’a dit parce que j’ai pas envie de me faire chier avec la facturation à l’époque c’était le système de facturation qui n’existait pas sur ces discounts et il m’a dit donc voilà je dis mais tu pourrais au moins faire 10, 15, 20 % de chiffre d’affaires sur ces discounts d’accord parce qu’il y a des anti amazon parce que ces discounts ont quand même des parts de marché et il me dit je préfère faire ça Je préfère me séparer de ce chiffre d’affaires plutôt que de me faire chier avec tous les ennuis qu’il va y avoir derrière. Et c’est un petit peu ce que tu rejoins. Comme tu l’as dit, Amazon Allemagne est la première marketplace des différents marketplaces sur Amazon en Europe. Et pourtant, il y a des gens qui n’y vont pas. Et c’est par simplicité, c’est par slem, j’ai envie de vous dire. L’idée, c’est avec tous les nouveaux programmes d’Amazon qui vont arriver, c’est justement de vous simplifier la vie. Et clairement, c’est quelque chose sur lequel il faut, je pense, investir un petit peu de temps, d’argent pour se renseigner, peut-être pour se former ou peut-être pour simplement prendre quelqu’un qui va faire le travail, le setup à la place des gens. Et ensuite, une fois que ça roule, on n’y touche plus grand chose, j’ai envie de vous dire, à part une petite gestion hebdomadaire. L’idée maintenant, ma question c’est, on a notre site internet peut-être, on a ouvert Amazon France, on ouvre ensuite Amazon, les autres marketplaces d’Amazon Europe, d’accord ? Et ensuite c’est quoi ? C’est Discount, Mano Mano, Miracle, c’est quoi les autres marketplaces qu’il faut ouvrir ? Déjà aussi, j’ai le cas d’un de mes clients, j’essaie de citer des clients, qui fabrique un produit français d’habillement. D’accord, il y en a quand même un peu comme le slip français, mais c’est pas lui, c’est un autre. J’ai pas le slip français comme client, mais qui avait démarré sur Amazon, qui fait un très beau chiffre sur Amazon de produits français, franco-français. Et il a travaillé sur toute l’Europe. Et à un moment, il m’a dit mais qu’est ce qu’on peut faire de plus? Donc, j’ai dit mais avant de quitter Amazon, est ce que votre produit pourrait pas être exporté aux Etats-Unis? Par exemple, c’est beaucoup plus simple d’ouvrir Amazon US. Avant, c’était un peu plus compliqué. Là, c’est vraiment simple. Je lui ai ouvert Amazon US. On a envoyé un stock là-bas. C’est pas très compliqué aussi, avec un transitaire ça va assez vite. C’est parti de France. Très vite là-bas, il a commencé à faire des ventes. Le marché, c’est 350 millions de consommateurs. C’est juste énorme. Il a mis en avant le Made in France. Donc, c’est plutôt super. Moi, j’étais très fier et très content. Et on a démarré assez rapidement. L’Amazon HADS aussi, parce qu’il avait bien compris que ça fonctionnait comme ça. Sur la France, on le faisait beaucoup et sur l’Europe aussi. Donc, aujourd’hui, il fait, on va dire, 50% de son chiffre Europe. Il le fait aux États-Unis. Donc, moi, je suis assez content. Après, il m’a dit, est-ce que je vais attaquer le Mexique? Est-ce que je vais attaquer le Canada? Bon, on va peut-être y aller doucement, mais voilà. Déjà, il y a la possibilité d’Amazon Outre-Atlantique et ça, ça peut être intéressant. Sur le marché français ou européen… Je te coupe. J’ai toujours une question des nouveaux vendeurs, surtout, ou même des vendeurs un petit peu plus aguerris. Est-ce que j’ai le droit d’aller vendre aux Etats-Unis avec ma société française ? Alors oui c’est une bonne question, il a fallu qu’il crée quand même une société aux Etats-Unis. Dès le départ on s’est posé la question et il a fallu quand même qu’il ait une société américaine. Ça se crée en dix minutes, ça va très vite mais il fallait qu’il ait un numéro américain. D’accord, au moins on peut faire de l’export ? Oui, je pense qu’on peut, mais il l’a vu avec son expert comptable. L’expert comptable lui a dit que ce serait mieux d’avoir une société américaine. D’accord, ok. Moi, ce que je dis, c’est qu’on peut dans tous les cas faire de l’export aux Etats-Unis, aux Émirats Arabes, etc. Et ensuite, une fois qu’on atteint des paliers de chiffres d’affaires assez intéressants, on ouvre une structure. Mais dans un premier temps, on peut tester le marché sans structure juridique dans chaque pays du monde, etc. Au moins, ça nous permet de tester sans avoir de frais supplémentaires, système un petit peu juridique, complexe ou quoi que ce soit. Pour revenir sur ta question, ça dépend des catégories de produits. C’est ce que je dis à chacun de mes clients. Si vous êtes dans le bricolage, on va essayer de regarder quels sont les marketplaces qui sont bonnes dans le bricolage. Donc, le petit conseil que je dis à chacun, vous vous mettez sur un site qui s’appelle Google. Vous mettez en navigation privée et vous tapez les mots-clés de vos produits et on va voir quels sont les marketplaces qui apparaissent. Donc voilà comment on fait une recherche assez simple qui coûte pas cher et qui va assez vite. Si on voit que c’est Mano Mano qui sort, et bien on y va. Mano Mano est une super marketplace, j’aime beaucoup travailler avec eux. Super boîte. Voilà, Laura Merlin, très bonne, elle est passée en Marketplace, pareil. Après, bon, on va regarder, ces discounts passent sur tous les produits. Évidemment, c’est le numéro un français, mais est loin derrière Amazon. Quand je dis numéro un français, Cocorico, mais Amazon est bien devant, on est d’accord. Ce n’est même pas la moitié, ces discounts en chiffres. Ce n’est pas toujours facile. J’ai quelques clients qui ont du mal avec ces discounts. C’est un calvaire. Moi je m’en rappelle quand c’était en 2016. Alors en 2016 c’était encore pire que maintenant mais je sais que moi sur ma marque de barbe j’avais voulu vendre sur Cdiscount, que je vendais bien sur Amazon. Du coup j’ai créé un compte sur Cdiscount. Il y a un compte manager qui m’a appelé. Franchement c’était juste un calvaire de créer un produit sur Cdiscount. C’était une Franchement, c’était la merde. Et je ne sais pas comment c’est aujourd’hui parce que je n’ai pas trop mis le nez dedans, mais sincèrement, c’était horrible, horrible. Et je ne comprends pas, en fait, parce que quand on crée une marketplace de toutes pièces, j’ai envie de vous dire, OK, on n’a pas de référence. Mais là, les développeurs, les product owners de tout ce que tu veux chez Ciscount, ils ont juste à se créer un compte sur Amazon et de faire copycat et c’est terminé, j’ai envie de te dire. Et en plus ça simplifierait les gestionnaires de flux. Alors je partage à 1000% ce que tu dis, j’ai galéré aussi comme un malade sur ces discounts jusqu’au jour où j’ai eu ShoppingFeed et là ça a été un flux et là ça a bien marché. Mais tant qu’on est dans le back office, et c’est encore pourri, j’y vais de temps en temps, pour certains de mes clients c’est l’enfer, c’est super mal fait, il n’y a rien qui passe, on ne comprend pas pourquoi le produit est en avant, pourquoi il n’est pas en avant, pourquoi il s’arrête, c’est l’enfer. Et les conseillers, ils n’en peuvent plus eux-mêmes. Quand on est au téléphone, ils ont le bol aussi. Donc bon, je ne sais pas comment ça va finir. Mais par contre, quand on a un gestionnaire de flux, là, on n’est plus embêté, ça marche très bien. Je pense que ça marche mieux presque avec des fichiers CSV que sur le back office, clairement. C’est clair, je suis tout à fait d’accord avec toi. Moi, il y a quelque chose qui m’a choqué, si tu veux qu’on discute un petit peu des gestionnaires de flux, c’est que quand j’étais exposant en 2022 au Paris Retail Week, J’étais exposant et il y a quand même pas mal de… D’ailleurs je crois qu’il y a un de tes clients, je ne sais pas s’il est client, Ponera. C’est un client à toi ? Non ? J’ai cru que c’était un client à toi. Parce qu’il vient de Lille aussi je crois. Donc très gros vendeur sur tout ce qui est cheval, etc. Il y a quelque chose qui m’a choqué sur, je ne sais pas, peut-être 20 ou 30 e-commerceurs avec qui j’ai discuté, qui font quelques centaines voire millions de chiffres d’affaires, Ils avaient tous la même stack technique, un prestashop, un shopping feed, et ça balance sur les marketplaces. Voilà, ouais. J’ai plus d’experts clients pareil, t’as raison. Ça m’a vraiment choqué de voir que tout le monde avait ce flux, enfin, pour moi, il y avait aussi peut-être du Shopify. Personne n’utilisait Shopify, personne n’utilisait WooCommerce. Ça. M’A vraiment choqué, personnellement. C’est vrai, j’ai plusieurs clients pareil. Un presto, même pas de city commerce, on est d’accord, c’est juste le presto qui gère les flux. En fait, c’est comme si on avait un fichier CSV plutôt que ces prestos. C’est plus simple pour la création, plus agréable. Et puis après, pouf, il balance sur ShoppingFeed et ça marche très bien. Exactement, tout à fait. Moi, ça m’a vraiment interpellé. Je me suis dit, mais en fait, les gros ont toutes Quand tu tapes des mots clés sur internet ou ce que tu cherches un petit peu, tu ne trouves pas l’information de comment structurer ton back office ou ton stack technique pour vraiment aller taper des gros chiffres d’affaires, des centaines de milliers voire des millions comme je l’ai dit précédemment. Si vous avez l’ambition de faire des gros chiffres, je pense qu’il faut un prestat. Et un shopping feed. Je sors d’une étude pour un de mes clients qui veut investir dans un agrégateur de flux comme ça se dit et qui m’a demandé une étude complète. Donc j’ai un dossier complet qui est très actualisé puisque je l’ai fini fin avril le dossier et que je l’ai présenté début mai donc il a à peine un mois. Il y a en fait pas une dizaine facile en Europe d’irrigateurs de flux, la France c’est celui qui en a le plus et aujourd’hui dans les ceux qui marchent bien, après il y a un problème de coût parce que réellement c’est quand même très onéreux, si on prend l’Engo Shopping Feed qui a vraiment augmenté ses coûts aussi, si vous avez plusieurs marketplaces et bien ça peut vite monter à plus de 1000 euros par mois quand même de branchement. Donc il faut le savoir, si vous n’avez pas le chiffre en face, ça ne sert à rien d’y aller. Il y en a qui ne sont pas chers mais qui ont un système qui a 20 ans, donc il faut aller dessus, mais ce n’est pas très cher, c’est vrai. Et puis sinon, les trucs qui fonctionnent bien, et puis maintenant il y a l’IA qui est arrivé dans ces deux-là, Lingo et ShoppingFeed ont intégré l’IA dedans, c’est vite des gros coûts. Mais si vous avez les moyens de payer 1000 euros au moins par mois, allez-y parce que là, au niveau puissance, ça démultiplie à mort. On gagne un temps fou. Ce que tu conseilles du coup, c’est ShoppingFeed en 1, Lengo en 2 ? Lengo, c’est pour les très grosses structures, donc les gens qui ont des gros catalogues, ça peut valoir le coup. Mais ShoppingFeed est vraiment pour moi, il est loin devant tout le monde aujourd’hui. Après, il y en a d’autres, des petits, ça dépend ce que vous voulez, mais ShoppingFeed, pour moi, c’est le numéro un. Aujourd’hui, dans l’étude que je viens de faire. Après, pour revenir sur les marketplaces, il y en a de plus en plus. Plus de 50% aujourd’hui du e-commerce en France est généré par les marketplaces. C’est juste important. Attention à la dispersion. Ce que je dis souvent à mes clients, c’est est-ce que vous êtes capable de gérer 10 marketplaces ? Est-ce que ça vaut le coup d’aller ouvrir aujourd’hui un eBay pour faire trois ventes par mois ? Dites-le-moi. parce que c’est de la gestion de flux. Si vous devez mettre ces flux sur un shopping feed, ça va vous coûter. Si vous le faites en direct, c’est du temps pour trois ventes par mois. Et souvent, j’ai le cas de plusieurs clients en début d’année qui sont des clients qui avaient développé beaucoup de marketplace en pensant qu’ils allaient faire du shit du shit. Moi, ce que j’ai fait, c’est que je deviens un faux soyeur de marketplace. C’est que j’arrive et je les ferme. le sabre clac clac non parce que c’est le temps qui consacre le machin pour un ebay où ils font trois ventes par mois et j’en ai plein les clients qui ont ouvert ebay ça s’est effondré je parle d’ebay comme ça comme il y en a d’autres mais il faut bien regarder est ce que ça vaut le coup vaut mieux tant avoir que trois marketplace sur lequel on va miser du temps et sur lequel il y a une capacité de trafic et de volume et de chiffre d’affaires ça vaut le coup mais le reste attention c’est la dispersion c’est chronophage et ça sert à rien Tout à fait. Je suis d’accord avec toi qu’il faut bien choisir ses marketplaces, il faut analyser, et ce n’est pas parce que tu en ouvres 50 que tu vas multiplier ton chiffre d’affaires par 50. Je suis tout à fait d’accord avec toi. Il y a une notion, je crois que c’était la semaine dernière, j’ai eu un petit débat sur LinkedIn, est-ce que ton avis sur le duplicate content, sur le SEO, etc., une fiche produit sur ton site internet, et on va faire simple, Est-ce que tu rédiges la même fiche produit sur ton site internet que sur Amazon ou tu fais deux fiches produits ? Amazon est plus puissante que tout le monde. Donc, à partir du moment où on va repiquer une fiche produit de son site sur Amazon, Amazon va vous bouffer et dès quand on t’a appris le mot clé, vous allez disparaître sur votre fiche produit de votre site Internet. Donc, moi, je conseille de ne pas faire dupliquer. Je conseille de créer des fiches produits spécifiques par Marketplace. Alors, je sais que c’est du travail et on me l’a déjà dit. Alors maintenant, avec ShareGPT, il y a un moyen d’aller beaucoup plus vite. et on gagne beaucoup de temps. Mais voilà, si on a les moyens, si on peut le faire, créer une fiche produit par Marketplace, c’est nettement mieux. Il y a des possibilités aujourd’hui avec des petits outils de faire différent par Marketplace. C’est beaucoup mieux. C’est beaucoup mieux pour toi. Moi, je pense que ça dépend en fonction du temps que tu peux allouer justement à cette tâche. Dans un premier temps je te dirais d’envoyer, que tu utilises un gestionnaire de flux ou pas, d’envoyer la même chose partout comme ça au moins tes présences ça commence à ranquer, ça commence à faire son truc et après petit à petit tu viens modifier tes différents. Mais pour moi comme tu l’as dit au tout début que tu es Alors sauf si tu fais une fiche pourrie sur Amazon, mais dans tous les cas, c’est Amazon qui passera devant ton site internet parce qu’il a plus de puissance, plus de jus. Donc, est-ce que ça vaut le coup de passer du temps, d’investir du temps dans une… Encore une fois, sauf si tu passes par de l’IA, et du coup, ça va le faire en bulk et assez en automatique. Pour ça, OK, pas de problème. Mais si… Prendre des gens en interne pour aller faire deux fiches produits ou même demander à une agence de le faire, je trouve que ça vaut pas le coup. En tout cas, c’est mon avis perso. C’est parce qu’il y a l’IA aujourd’hui que je le conseille. Oui, je suis d’accord. S’il n’y a pas l’IA, c’est clair qu’on n’a pas le temps de refaire une fiche produit complète. Une bonne fiche produit, ça prend quand même du temps. Et plutôt, si tu parles de contenu A+, ça prend encore plus de temps. Et là, clairement, pour le gain, Franchement, donne-moi cette histoire du coup. Quand toi tu avais tes deux marques en 2015, je crois que c’était tes deux marques à toi, quand tu as commencé à vendre sur Amazon au bout de quelques semaines, un mois ou deux mois, c’est quoi la répartition de ton chiffre d’affaires pour site internet Magento versus ton Amazon ? Ça a été très vite sur Amazon. Vraiment, j’ai été frappé de la vitesse à laquelle ça s’est développé. Très vite, je faisais 80% du chiffre sur Amazon. Oui, c’est ça. C’est pareil pour moi, en fait. Franchement, moi, j’ai commencé à vendre sur Amazon. Ensuite, le problème, c’est qu’en 2015, je réexplique pour tous ceux qui ne sont pas, pour les vieux de la veille, un petit peu. En 2015, il fallait obligatoirement avoir ton site internet pour ouvrir ton private label, ta marque sur Amazon. Donc, il y avait une vérification de ton site. Donc, j’ai dû ouvrir et créer mon site internet. Moi, je suis plutôt à l’aise avec WordPress, donc j’ai créé un WooCommerce. Je me suis quand même plutôt bien fait chier à créer une vraie marque, une vraie branding, donc un vrai site internet qui m’a demandé beaucoup de temps, même si c’est moi qui l’ai fait. Donc, beau design avec de la rassurance, enfin bref, pas mal de choses qui m’ont pris du temps. J’avais mes produits en vente sur mon site internet. J’ai réussi à ouvrir rapidement ma marque sur Amazon. En 48 heures, j’ai fait mes premières ventes sur Amazon, sur mon site internet. que dalle vraiment rien du tout et pourtant les réseaux sociaux envoyaient du trafic sur mon site internet et je faisais vraiment des ventes anecdotiques et c’est pour ça que rapidement je me suis dit mais ton site internet il est là que pour faire beau et tu dois envoyer tout ton trafic sur tes fiches produits amazon et basta c’est tout ensuite à un moment j’ai même demander à des influenceurs de faire des vidéos YouTube. J’ai des vidéos qui ont fait 30, 40, 50 000 vues. Donc, c’était plutôt intéressant sur des influenceurs de la barbe. Moi, j’étais dans l’univers des accessoires de barbe et je leur ai pas demandé de faire des liens vers mon site Internet. Les liens, ils allaient directement sur les fiches produits Amazon et basta. Et clairement, en fait, je vois des gens qui passent du temps à faire des sites Internet de fous furieux et ça sert peut-être pas à grand chose en 2024 de faire ça, donc d’investir du temps. Ça vaut le coup d’avoir son site internet, mais dans tous les cas, si on est présent aussi sur les marketplaces et sur Amazon, la plupart des vendeurs avec qui je discute, c’est quasiment 80-90% des ventes qui se font sur Amazon et sur les marketplaces, donc tu me rassures dans ce sens, donc c’est bien. Je ne conseillerais pas, je suis tout à fait d’accord aujourd’hui, quand je renvoie un client, il me dit, est-ce que je vais créer mon site ? Ne perdez pas de temps aujourd’hui. Si vous voulez vendre, allez vendre sur Amazon et puis c’est tout. Déjà, je démarre sur Amazon parce qu’Amazon, c’est quand même le plus gros et en général, on n’est pas déçu. Après on fait le point, on regarde selon la catégorie de produits s’il n’y a pas une marketplace et ils sont souvent déçus parce qu’il y a des petites marketplaces qui ont l’air vachement sympathiques mais avec un trafic pas énorme, avec un chiffre pas énorme et donc voilà d’abord qu’on s’accroche. Vous vous rendez compte sur Amazon, vous avez toute l’Europe à votre portée là donc faites-le quoi. Ah ben j’ai pas la logistique. Eh ben on va faire du FBA, il n’y a pas de souci. Après, Amazon est une grosse structure, c’est vrai, il y en a qui ont du mal, c’est l’américain, c’est des robots qui décident à notre place. C’est enfermant, c’est le revers de la médaille, c’est vrai, je le conçois, et que si on n’a pas l’habitude des outils du back office, ça paraît compliqué. Après, il faut se former, il faut être aidé au départ, il faut prendre des bons, il faut prendre des pros, chacun son métier, c’est le tien, c’est le mien. Il faut se faire conseiller, mais quelqu’un qui est un bon fabricant, S’il a la bonne personne qui va bien le conseiller, il va pouvoir lancer son site sur Amazon et faire un bon business derrière. C’est ça, on est là pour ça. Moi, je le dis toujours, n’hésitez pas à poser des questions, je suis là pour vous aider. Du coup, ça va être transition parfaite. C’est quoi Marketplace Pulse ? Je ne l’ai pas inventé, je reconnais. C’est un influenceur américain qui est spécialisé dans l’impulsion des marketplaces aux Etats-Unis, que je suis depuis dix ans au moins. facile et qui m’a donné l’idée un peu de dire bah tiens je vais reprendre un peu son idée sur la France et donc j’ai repris cette idée de marketing. C’est donner l’impulsion à toutes ces marques aujourd’hui, tous ces créateurs, tous ces gens qui conçoivent du produit mais qui ne savent pas le vendre en fait. Il y a des gens fabuleux qui ont plein d’idées et qui ont créé des super sociétés, soit des patrons de boîtes qui ont vraiment bossé, qui ont des super trucs, mais qui ont du mal aujourd’hui à évoluer dans le numérique. à évoluer dans un nouveau métier et à passer le pas de dire bah tiens en fait j’aurais bien vendre mon produit en dehors de mon réseau traditionnel et pourquoi pas les marketplaces. Et donc c’est là où moi j’apporte ma valeur ajoutée, mon savoir-faire, mes expériences. Chaque client aujourd’hui m’apporte une nouvelle expérience que je peux pour développer, aider l’autre à créer un peu un réseau. Ma plus grosse réussite là, c’est un client que je suis depuis trois ans. On a passé les 10 millions, donc je suis ravi, 10 millions d’euros de chiffre d’affaires sur les marketplaces et on est parti. Je dis 10 millions parce que c’était, voilà, il m’a dit fin d’année, là il a fait son bilan début d’année, il m’a dit, Merci Benjamin, grâce à vous j’ai passé les 10 millions de mon chiffre sur les marketplaces parce qu’on a ouvert plusieurs marketplaces, on en a à 6 aujourd’hui. Il est parti de zéro, il avait ses clients traditionnels, il vendait en B2B ses produits, ça marchait pas mal mais un jour il m’a appelé et il m’a dit J’aimerais bien que je me lance sur Marketplace, mais je ne sais pas comment le faire. Donc, je l’ai aidé, j’ai recruté son personnel même, j’ai formé au début, ensuite j’ai recruté son personnel. Et aujourd’hui, il a une équipe de 4 personnes qui réalise 10 millions d’euros de chiffre d’affaires uniquement sur les Marketplace en partant de zéro. Et ça, c’est vraiment une fierté pour moi d’avoir pu l’aider et il m’appelle régulièrement. Là, j’ai mis en place pour lui tout un protocole pour l’Amazon ads parce qu’il a fallu former ses équipes et voilà maintenant il passe l’étape supérieure il faisait 10 millions sans ads quand même c’est juste énorme c’est pas mal donc voilà et Il va continuer à se développer en partant de zéro. Par contre, il avait des super produits au départ. Il avait toute une gamme de produits qu’on ne trouvait pas facilement. On a réussi à créer des marques parce qu’il n’y avait pas de marques au départ. Quand on s’est lancé et que je l’ai aidé, j’ai dit qu’il faut que vous ayez des marques fortes. On ne va pas vendre vos produits sans marque. C’est hors de question. Et comme ça, vous ne serez pas attaqué, vous serez seul. Et c’est pas le seul à vendre son produit, mais comme il a une fiche avec sa marque, personne ne peut aller coller et vendre derrière. Ça, c’est quand même la difficulté que j’ai eue de pas mal de clients il y a quelques années, c’est qu’ils créent un produit et puis tout le monde allait se coller à leur fiche produit. Tu vois ce que c’est. Ok, très clair. Donc toi là, c’est Marketplace Pulse, c’est ton agence. Tu accompagnes des clients à vendre sur Amazon et sur la différente Marketplace. C’est quoi le genre de clients que tu recherches ou les prestats que tu fais aussi ? Alors, je fais on va dire 50% de prestats, c’est des clients qui sont sur Amazon, Cdiscount et autres qui vivotent. qui ne sont pas contents, on vous fait un petit chiffre sur l’année. J’ai fait 50 000 euros, mais vu le temps que je consacre, ce n’est pas terrible. Donc ça, c’est des clients sur lesquels je travaille complètement avec eux. Je vais faire un état des lieux et après, je vais faire une préco et mise en place de comment voulez vous développer jusqu’où vous voulez aller, comment on va faire. Donc voilà, ça, c’est des gens qui sont là depuis quelques années, des vendeurs qui sont déjà en place. Et là, j’ai 50 % des clients qui sont comme ça. Après 50% d’autres clients ce sont des gens qui sont déjà sur des secteurs industriels, qui ont déjà des produits mais qui se posent la question, qui sont prêts à aller en marketplace et là on démarre de zéro. Donc là je passe du temps avec eux, on va créer un store, on va travailler les produits, on va travailler avec le personnel sur place. Moi je suis aussi formateur agréé, donc pour tous ceux qui ont logo, je peux passer une partie. de la formation via l’opco. Donc ça, ça coûte pas trop cher aux entreprises. Tout passera pas, mais une partie peut passer. Donc voilà. Soit ils démarrent de zéro et ils ont le produit, mais je les accompagne à payer, à se lancer sur Amazon ou en marketplace. Soit ils sont déjà existants et là, il faut retravailler complètement le concept. Il y a quelque chose qui ne va pas. Donc là, je fais le docteur. Très clair. Tu fais ou tu fais du done for you, c’est-à-dire que tu fais les fiches produits, la config, les contenus A+, les PPC, ou tu fais entre guillemets proposer des améliorations, des idées, des stratégies, et ensuite c’est à eux de gérer la prestat ? Très souvent quand même, je suis plutôt dans la préco je vais travailler une bonne fiche produit avec eux de A à Z on va passer trois heures à faire la fiche produit on va mettre les photos voilà je vais leur expliquer et après je forme la personne pour le faire mais je fais pas leurs 50 fiches produits maintenant j’ai quelques clients c’est vrai qu’ils disent oh là là moi je veux pas m’en occuper vous faites tout Donc, là-dessus, moi, je travaille avec d’autres freelance qui sont spécialisés dans chaque domaine. Par exemple, on parlait des agrégateurs de flux. Là, j’ai un client qui a 30 000 références. Il m’appelle, il me dit, est-ce que vous pouvez travailler sur mes flux ? Moi, ça ne va pas. Je lui dis, attendez, 30 000 références, moi, je ne suis pas… Non, non. Donc là, chacun son métier. Donc, je vais travailler avec quelqu’un qui sera vraiment… qui, lui, va passer deux jours dessus, alors que moi, j’aurais passé deux mois. C’est pareil dans chaque domaine. Si on me demande, il faut refaire les 500 fiches produits, je vais travailler avec des collègues qui seront beaucoup plus là-dedans. Moi, je vais superviser, je vais contrôler, je vais vérifier, mais je ne serai pas obligé de ne pas faire que du dur. D’accord. Très clair. Parce que ça peut vite être chronophage de gérer ce genre de choses. Très clair. On vient de parler entrepreneuriat, donc ton aventure de vendeur, ensuite ton aventure que tu continues en tant que gestionnaire d’agence, prestataire de services, conseiller stratégique en marketplace, en e-commerce. Mais il y a quelque chose qui me choque depuis quelques mois, c’est que j’ai l’impression qu’on veut, et d’ailleurs ça rejoint un petit peu ce que tu dis, c’est que de plus en plus, on internalise la compétence e-commerce dans les boîtes, en fait. Et je vois quand même pas mal d’annonces sur Welcome to the Jungle, ou même moi, j’ai pu être responsable en CDI chez Recycler, donc un des premiers vendeurs sur Amazon aussi, sur la livre d’occasion. C’est quoi ? les métiers qu’on recrute à l’heure actuelle dans toute la sphère e-commerce ou marketplace. C’est quoi les titres ou les métiers ou les compétences qu’on recherche ? Parce qu’en fait, je le dis toujours, en fait, l’entreprenariat, c’est quand même assez compliqué, c’est quand même assez dur. Se former, c’est bien dans tous les cas. Et c’est peut-être, tu vois, les YouTubeurs qui nous vendent des millions et d’aller vivre à Dubaï, ça fait rêver, bien évidemment. Mais il n’y a pas tout le monde qui réussit. Moi, je le dis souvent, c’est que même si tu n’atteins pas des gros chiffres, la liberté financière, comme tout le monde aspire, etc. Dans tous les cas, tu vas pouvoir vendre tes compétences à une boîte de salariés. J’ai moi-même, par exemple, accompagné des différents vendeurs qui étaient dans des différents métiers un petit peu pénibles, comme des électriciens, des maçons, ce genre de métier. et qui maintenant en fait sont dans des boîtes salariées toujours, mais un peu plus cool, un peu plus avec des horaires normaux, fin 1917. C’est quoi, entre guillemets, ton expérience là-dedans, dans le recrutement ? En plus, tu m’as dit que tu occupais aussi de recrutement pour des boîtes. Donc, vas-y, parle-moi un petit peu de ces différents métiers qu’on peut trouver dans le e-commerce. Oui, je fais du recrutement parce que j’y suis un peu tombé, mais à l’époque où j’étais dans le groupe Red Hood, j’ai recruté toutes mes équipes, donc j’ai beaucoup travaillé avec les RH. et j’ai été bien formé au comment bien recruter et j’aime bien le faire. Et souvent mes clients me disent, après avoir créé leur store sur Amazon par exemple, c’est cool, ils me disent, c’est bien mais qui va le faire, qui va le gérer ? Si vous n’êtes plus là, qu’est-ce qui se passe ? Et souvent, dans votre équipe, il y a bien quelqu’un qui peut être intéressé parce qu’il y en a qui sont webmasters, qui peuvent peut-être évoluer. Il y a différents métiers dans votre entreprise. Donc, quand on le trouve en interne, à ce moment-là, je fais passer les entretiens chez eux, des gens pour voir s’ils ont les compétences quand même parce qu’il faut avoir la compétence, ce n’est pas juste l’envie. soit je recrute à l’extérieur et souvent ils sont déjà tellement serrés que ça m’arrive très souvent recruter à l’extérieur donc moi ce que j’appelle ça tout simplement on va dire je vais le franciser parce que je sais que c’est la grande mode d’américaniser un peu tous les noms mais ça s’appelle Responsable Marketplace voilà tout simplement Responsable Marketplace et là je cherche une personne qui va être un peu le chef d’orchestre et qui va gérer, évidemment dans le numérique, on reste dans le numérique, mais qui va gérer le quotidien de la marketplace, qui sera réparer un flux s’il y a un problème, qui sera répondre aux clients s’il y a un souci, qui pourra gérer le SAV, qui pourra faire un tableau avec les KPIs pour voir ce qui ne fonctionne pas, régulièrement, qui pourra intégrer les différentes équipes internes de l’entreprise, parce qu’il faut voir des problèmes logistiques, des problèmes avec les incoterms s’il y a des problèmes d’apport. Voilà, qui sera vraiment un chef d’orchestre complet, qui gérera tout et qui sera avant tout un commerçant. Parce que le matin, il arrive, qu’est-ce qu’il fait ? Il regarde les chiffres. Ça, c’est ça que je veux voir. C’est la personne qui arrive et dit, alors qu’est-ce qu’on a fait comme chiffres hier ? On va dire qu’il soit vraiment hyper intéressé par ça, rentabilité, chiffres, KPIs, qu’il soit vraiment dans de la data, on en parlait tout à l’heure, pour essayer de bien comprendre comment ça fonctionne. Et puis, évidemment, qu’il ait une connaissance dans le numérique, ça me paraît évident. les photos, les machins, mais ça ne doit pas être obligatoirement un photographe ou un geek. Souvent, les gens que je recrute, ils ne savent pas faire du langage, ils ne savent même pas ce que c’est qu’un langage HTML. Voilà, ce n’est pas grave en tant que tel. Par contre, je veux un commerçant qui soit capable. Voilà, tiens, on va ouvrir une marketplace. Pourquoi ? Comment je le fais ? Qu’est-ce qui ne va pas dans le flux ? Ah bah tiens, il y a eu… Oui, on a changé dans le mapping. Voilà, il faut qu’il comprenne tout ça, qu’il soit vraiment… On fait tout ça et qu’il passe du temps dessus parce que c’est important et derrière il faut que ça tourne. Donc voilà, un commerçant d’abord, commerçant responsable marketplace, c’est surtout ça que je mets en avant. Alors pour t’expliquer aussi, depuis deux ans je fais pas mal de formations pour des agences. Alors ça c’est assez nouveau, des agents web qui m’appellent et qui me disent oui bonjour monsieur vous êtes un expert en marketplace, est-ce que vous pourriez former des personnes de mon équipe ? Et donc je forme des agences, j’ai été à Paris, à Rennes, à Marseille, parce qu’en fait les agences se renouvellent aussi en disant « Merde, Google AdWords, machin, tout le truc, les sites internet ça diminue, est-ce qu’on pourrait pas trouver un peu de business ? » Et ils ont des clients. qui leur disent, c’est bien, mais moi j’aimerais bien monter un site internet, un site Amazon, on ne sait pas le faire, et donc je forme des équipes là-bas, ce que j’ai expliqué là, démarrer de A à Z, ou même Amazon Ads, j’ai en cours, depuis là quelques semaines avec une agence où je forme une équipe à faire du Amazon Ads parce qu’ils avaient aucune connaissance sur Amazon Ads. Ce sont des gens qui gèrent du Google Ads pour leurs clients et là donc je les forme à Amazon Ads. Donc voilà. C’est bien ça. Pour moi, il faut prendre le tournant des marketplaces et pas uniquement de toutes les agences qui te vendaient des sites internet SEO traditionnels avec un placement sur Google. Maintenant, il y a quand même la partie… C’est bien que les agences comprennent que les deux peuvent cohabiter. Donc ça, c’est super. Du coup, toi, tu fais que du présentiel ou tu fais aussi du e-learning ? Non, je fais beaucoup d’e-learning. Avant, je faisais du présentiel, avant le Covid. Et là, c’est génial parce que depuis le Covid, même moi, passer une semaine à Marseille, ça ne me plaît pas toujours de me déporter. Donc, je fais pas mal d’e-learning. Mais c’est du coaching 1-1 ou tu as une plateforme avec une formation en ligne et qu’on peut acheter traditionnellement ? Non, c’est du coaching 1-1. Eux, ils sont deux ou trois derrière leur écran, parce qu’il y en a beaucoup qui sont en télétravail, donc on démarre la formation et puis on travaille sur des projets, on échange et ça se fait beaucoup à distance. D’accord, tout à fait, je vois. Le responsable e-commerce, le responsable marketplace que tu recrutes, en moyenne, ça gagne combien ? Alors selon les candidats, évidemment, l’expérience qu’ils ont. Moi, en général, je recrute des gens qui ont déjà au moins 4-5 ans d’expérience. parce que souvent mes clients ne veulent pas démarrer avec un jeune sorti d’études parce qu’ils ne vont pas pouvoir le former. Donc ils veulent déjà quelqu’un qui ait déjà une première expérience réussie. Selon les clients, là où ils sont, on va tourner entre 35 et 40. C’est ça, 35 et 40, 50 maximum pour les seniors. C’est ce que j’avais aussi en tête. C’est des gars avec 5 ans d’expérience. Oui, tout à fait. Et l’expérience, même si c’est de l’expérience personnelle, avec leurs propres produits sur Amazon, c’est vraiment expérience en tant que responsable marketplace dans une autre boîte. Oui, alors souvent j’ai des candidats qui ont travaillé quand même, qui étaient salariés dans une autre boîte, connaissaient le monde salarial et qui étaient responsables e-commerce par exemple, pas obligatoirement marketplace, mais e-commerçant, webmaster ou autre, qui ont déjà fait un peu ça dans leur habitude. Peut-être pas obligatoirement sur Amazon, ça on peut les former un peu après, mais qui ont déjà l’expérience du e-commerce. Réclair, pour moi, je suis d’accord avec toi. On arrive à la fin de cette interview, Benjamin. Est-ce que tu voudrais rajouter quelque chose ? Est-ce que tu as des conseils pour les débutants sur Marketplace ou pour même les grosses boîtes ? Comment est-ce qu’on finit cette interview à la façon de Benjamin Leblanc ? J’aimerais bien raconter une petite histoire de quelqu’un qui, je ne donnerai pas le nom, mais qui a écrit un livre et qui s’est dit, tiens, je vais le vendre sur Amazon. Et donc, c’est une petite histoire qui est assez amusante parce que cette personne n’était pas écrivain, mais elle écrit un livre et puis elle crée son petit blog et puis elle l’envoie à ses copines en disant, qu’est-ce que vous pensez ? Donc, elle fait le premier chapitre de son livre. Et là, toutes les copines disent « J’adore ton roman, il est super, on pourrait en savoir plus, Pierre ». Elles en parlent, elle écrit le deuxième chapitre et elle dit « Vous pouvez en parler et communiquer avec vos copines ». Et elle finit le livre complet et il y a mille personnes qui étaient en attente de son livre. Donc tout le monde dit, ah c’est génial, c’est canon, il faut absolument que tu le publies ce livre, on a adoré, c’est une histoire canon et tout. Et donc elle se dit, bon ben comment je vais faire ? Alors elle imprime son livre, elle l’envoie chez les éditeurs qu’on connaît bien en France, je ne donnerai pas le nom, et là personne n’en veut. Donc son bouquin Toutes ses copines l’adorent, jusqu’à 1000 personnes, c’est plus que les copines, c’est les copines des copines des copines. Tout le monde l’adore et il n’y a pas un éditeur qui publie. Donc, qu’est-ce qu’elle fait ? Elle se dit, bon, qu’elle discute comme ça avec un de ses amis qui dit, mais tu devrais, tu sais, il y a un site qui s’appelle Amazon, tu peux publier ton livre directement sur Amazon. Et il lui dit, écoute, je vais t’expliquer comment ça fonctionne. Amazon, c’est de l’algorithme. Donc, ce qu’il faut, c’est le lancer en publication sur Amazon, mais surtout, il faut que le premier jour, il y ait énormément de gens qui viennent l’acheter. C’est très important. Donc, elle ne s’est pas informée, tu sais, elle n’y connaît rien, elle dit « Bon, écoute, je te laisse faire, vas-y ». Et donc, elle communique à toutes ses mille copines et copines, copines en disant « Écoutez, le 1er juin, je vous demande une chose, je mets mon livre sur Amazon à 99 centimes, Vous l’avez aimé, je vous demande juste de l’acheter. Ça ne vous coûtera pas cher, mais moi, ça va être hyper important. Elle écrit, elle envoie un petit mail à tout le monde, elle dit, ça me ferait vraiment plaisir, si vous l’avez aimé, faites-le. Le premier jour, le livre est sorti, il y a 3500 personnes qui ont acheté son livre. Parce qu’en fait, toutes les filles, toutes les personnes, on en parlait à d’autres, et tout le monde a joué le jeu. Donc, qu’est-ce qui se passe ? Meilleure vente d’Amazon le premier jour, meilleure vente d’Amazon livre le premier jour, Et là, c’est parti. L’algorithme fout le camp. Ça démarre du feu de Dieu. Amazon, comme l’algorithme lui dit, c’est un best, le met en avant dans les newsletters. Madame Machin a vendu son livre. Et bref, cette petite histoire est extraordinaire, mais c’est pour expliquer la puissance du concept d’Amazon et que quelqu’un qui avait une bonne idée, qui n’arrivait pas à le vendre sur le marché. Il faut savoir qu’aujourd’hui, cette personne qui a écrit ce livre, Evidemment, qu’est-ce qui s’est passé ? C’est qu’elle est restée douze semaines numéro un des ventes sur Amazon, des livres. Et qu’est-ce qui s’est passé ? Il y a un grand éditeur qui l’a appelé en disant « ah ben j’aimerais bien vous rencontrer ». Et donc maintenant, elle n’est plus publiée sur Amazon, mais c’est juste pour montrer qu’elle vend des millions de livres, donc elle fait partie des plus grosses ventes en France. Non, mais c’est très amusant. Et voilà, la puissance d’Amazon et comment il faut faire. Et souvent, je le raconte à des clients qui me disent mais comment je peux aller vite ? Comment je peux ? Je dis, vous faites la même chose. Il faut qu’il y ait du link, il faut qu’il y ait des liens. Et tu disais tout à l’heure, les gens ne sont pas… Ben si, sur Amazon, ça fonctionne très bien. Et la preuve de cette histoire, c’est que tous ces liens que les gens, à un moment, ont été achetés en disant, allez, on y va, on achète, ce n’est pas cher. Le livre, elle ne l’a vendu évidemment pas cher à un euro pour que les gens aillent très vite. Après, il n’est plus un euro aujourd’hui de le livre. Et elle en vend beaucoup. Mais voilà, le concept, c’est ça. Il faut qu’il y ait du lien. Il faut qu’il y ait du trafic. Je reviens sur le départ du trafic et il faut que les gens aillent à fond dessus. Et je l’ai fait pour un fabricant qui avait ses produits. J’ai fait un peu la même chose. Si vous êtes joueur, on va jouer à ça. Et donc, ça a été pareil. Il a fait un carton. Tous les clients du premier jour ont passé des commandes et hop, c’est monté très vite. Et son produit est passé numéro un. des ventes dans la catégorie des produits, on a fait exactement la même chose. Donc c’est toujours faisable, on peut encore le faire sur Amazon, c’est pas mort. Et voilà, une petite histoire qui m’a toujours touché et qui est sympa. Je suis complètement d’accord avec toi et ton histoire est vraiment parlante parce que, comme je crois que tu l’as dit pendant l’interview aussi, c’est qu’il y en a qui mettent leurs produits sur Amazon et ils se disent Amazon, ils me prennent 15%, donc c’est à eux de faire le boulot. Mais au final, je pense qu’il faut lancer la locomotive avec du boulot, avec des belles pratiques, avec du lien, avec des influenceurs, avec quelque chose où, comme tu l’as dit dans ton exemple de Amazon KDP, de la personne qui a mis son livre en auto-édition sur Amazon, elle a envoyé du trafic avec un produit qui est cool, qui est bien, qui répond à la demande et qui est de qualité. Il ne faut pas vendre de la merde sur Amazon, sinon on se flingue tout seul. Et une fois que la machine est lancée, là, Amazon prend le relais et va diffuser grâce aux algorithmes à d’autres personnes qui ressemblent à ceux qui ont acheté, etc. Mais si on ne fait pas l’impulsion, si on n’envoie pas l’impact, si on n’envoie pas déjà les bons signaux aux algorithmes, à Amazon, etc. En fait, il ne se passe pas grand chose, sauf miracle, tout simplement. 350 millions de références, une de plus, ça ne se verra pas. Et donc voilà, comme tu l’as dit, il y a des bonnes pratiques à avoir, mais sur Amazon, il y a des petites cases qu’il suffit de remplir correctement. En gros, sincèrement, ce n’est pas très compliqué de vendre sur Amazon. Il y a les photos à mettre, si possible de bonne qualité. Il y a des bullet points, il suffit de les remplir avec les bons mots clés. d’envoyer un petit peu de trafic, d’avoir des avis dessus. Et vous venez d’économiser 1000 balles d’une formation de votre célèbre YouTubeur. Voilà, il n’y a pas plus compliqué que ça, tout simplement. Oui, c’est ça, c’est ça. Il faut être patient aussi. Si on n’a pas le trafic, comme j’ai raconté cette histoire là, parce qu’on n’a pas pour tous les produits, j’entends bien, mais il faut être patient. Je dis souvent à mes clients, vous savez, Amazon ne vous connaît pas. Vous êtes un nouveau vendeur. il ne vous connaît pas, ensuite votre produit ne le connaît pas non plus, donc il faut atteindre une quinzaine à peu près de commentaires produits d’avis positif à plus de 3,5 sur 5, après il faut aussi que votre note de vendeur qu’il y ait des commentaires, qu’il y ait une bonne note vendeur, et si vous avez coché toutes les bonnes cases ça va monter, mais voilà il faut cocher tout ça au départ, si dès le départ Il y a des règles du jeu, soit on y joue. Et on les accepte ou soit on ne les accepte pas, on ne joue pas, mais il ne faut pas se plaindre qu’on ne gagne pas au jeu. Tu as raison, c’est quand je travaille avec mes clients, à partir du moment où c’est un contrat que je signe avec mon client, je leur dis à un moment on est d’accord, on y va, on démarre. Est-ce que vous êtes d’accord de suivre les règles du jeu ? Et ça, je le dis toujours, les KPIs, c’est les suivants. Est-ce que vous validez ça ? Vous signez là et là, on y va. « Ah ben non, si Amazon rembourse le client, je ne suis pas d’accord. » Voilà, ça, je l’ai déjà entendu. « Je ne suis pas d’accord. C’est toujours Amazon qui décide. » Voilà, des choses comme ça. Ça me fait marrer. Je dis « Mais attendez, vous avez signé, vous êtes d’accord. Amazon rembourse. Pourquoi ? Parce que le client est droit. » Et c’est comme ça, ça fonctionne comme ça. Si vous voulez « Ah non, moi, je veux gérer tous les remboursements moi-même. » Non, on ne va pas y arriver, là. Mais je pense que ça fait un petit peu le parallèle avec le recrutement. Tu sais, c’est difficile en France de recruter des gens parce que ça fait peur de recruter des CDI parce qu’une fois qu’on l’a fait, ça fait peur de recruter la mauvaise personne. Ça peut coûter très cher. Et en France, une fois qu’on a signé un CDI, c’est jusqu’à la retraite, sauf si la personne, l’employé démissionne. Et je pense que si on avait des règles beaucoup plus souples, beaucoup plus light, on arriverait à recruter beaucoup plus facilement. Et si la personne n’est pas compétente ou qu’on veut s’en séparer, on se dit merci, au revoir et c’est terminé. Et je pense que c’est la logique d’Amazon, c’est qu’on peut vendre facilement. Ils nous ont mis en place un système où on peut vendre facilement. Mais par contre, si le client final n’est pas content, il peut se faire rembourser sans aucune discussion. Et c’est là, en fait, toute la confiance où Amazon a investi des milliards d’euros, de dollars, parce qu’en fait, si on n’est pas content, on renvoie. Voilà. Sans aucune discussion. Et il n’y a pas de meilleure preuve sociale, il n’y a pas meilleur punchline marketing que de dire si tu n’es pas content, tu te rembourses et c’est terminé. Après, il y a des gens, je comprends, des marques qui ne veulent pas que les clients abusent. Il y a des clients qui abusent sur Amazon, bien évidemment. Il y a des clients qui escroquent et qui se servent du service garantie AZ, qui se servent du service Amazon, etc. 30 jours. Il y en a, évidemment. Mais il y a un moment où, la plupart du temps, on est quand même gagnant si on respecte les règles du jeu. Benjamin, si on veut te contacter, on passe par quel canal, quel réseau social ? Comment te contacter ? Volontiers, vous pouvez me contacter sur Linkedin, benjaminleplat, par email ou sur mon site internet marketplaceplus.fr. Là, vous avez contact, vous avez mon numéro de téléphone, vous avez mon email, vous avez toutes les infos sur mon site marketplaceplus.fr. J’ai aussi vu un profil sur Malte. Oui, j’ai un profil sur Malte aussi. Pas de soucis, vous pouvez passer par Malte, j’y suis aussi. C’est quel genre de client que tu recherches ? Des petits ? Est-ce que ça t’intéresse ? Des plus gros ? Des distributeurs ? Des marques ? C’est quoi la typographie ? Tout client, à partir du moment où il y a une bonne idée, je peux tout à fait en discuter et échanger avec. Souvent j’ai plutôt des PME ou des gros groupes. J’ai quelques inventeurs qui me contactent en disant que j’ai inventé un nouveau produit et qu’ils m’aident. Ça m’amuse toujours, c’est gratuit, je peux réfléchir avec eux. et puis ensuite je travaille avec Art de Vie et puis on avance là-dessus mais en tout cas volontiers j’ai de la place je suis toujours ouvert et comme je dis je fais aussi des formations donc pour des clients qui ont des budgets opco je peux tout à fait développer une formation souvent qui est sur mesure. Super, magnifique. Écoute, merci beaucoup pour ton temps Benjamin et puis à tous ceux qui veulent avoir les conseils stratégiques de plus de 20 ans d’expérience sur Amazon et sur les Marketplace, contactez Benjamin Leplat et je pense que vous ne serez pas déçus. Voilà, merci beaucoup Benjamin. Merci Jérôme, à très bientôt, au revoir.

Fondateur de cockpitLAB et expert Amazon FBA, je mets toute mon expérience depuis 2015 et ma passion pour vous aider à atteindre vos objectifs en vendant sur Amazon (FBA, KDP, Merch)

Spécialiste Amazon FBA, Amazon KDP et Amazon Merch, Jérôme SCAT met son expertise au service des entrepreneurs sérieux en les aidant à vendre plus et mieux sur Amazon et les autres Marketplaces. Avec ses formations dédiées, ses coachings et ses services d’agence Marketplace, il vous accompagne pas à pas pour optimiser vos ventes et maximiser vos profits. Passionné également de SEO et marketing digital.

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