Dans cette interview exclusive, plongez dans l’univers de Scrybecast avec Mickael Bourgois, le fondateur passionné qui réinvente la façon dont les podcasteurs créent, gèrent et promeuvent leurs contenus audio. En gros, comment créer un podcast ? Découvrez comment cette plateforme no-code révolutionne le paysage du podcasting professionnel et comment créer votre podcast facilement.
#Podcast #SEO #NoCode
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1. Qu’est-ce que Scrybecast et comment ça marche ?
Scrybecast est une plateforme innovante conçue pour simplifier la création et la gestion de podcasts professionnels. Grâce à ses fonctionnalités avancées, les utilisateurs peuvent télécharger leurs épisodes audio, puis les transformer en contenus textuels structurés en quelques minutes. La plateforme identifie automatiquement les moments clés de l’épisode, facilitant ainsi la navigation et la gestion du contenu. De plus, Scrybecast propose des intégrations avec les principales plateformes de podcasting et de médias sociaux, ce qui permet aux créateurs de distribuer facilement leur contenu.
Fonctionnalités de Scrybecast
Scrybecast est une plateforme innovante conçue pour simplifier la création et la gestion de podcasts professionnels. Avec des fonctionnalités telles que la transcription automatique de haute qualité, la génération de chapitres personnalisés, la création d’articles de blog et de newsletters, Scrybecast offre un ensemble complet d’outils pour les créateurs de contenu audio.
Utilisation intuitive
L’interface conviviale de Scrybecast permet aux utilisateurs de télécharger leurs épisodes audio, puis de les transformer en contenus textuels structurés en quelques minutes. Grâce à des algorithmes avancés, la plateforme identifie automatiquement les moments clés de l’épisode, facilitant ainsi la navigation et la gestion du contenu.
Intégrations et exportations
Scrybecast propose également des intégrations avec les principales plateformes de podcasting et de médias sociaux, ce qui permet aux créateurs de distribuer facilement leur contenu. Les utilisateurs peuvent exporter leurs transcriptions, chapitres et autres contenus générés vers des formats compatibles avec Spotify, Apple Podcasts et YouTube.
2. Gestion efficace des épisodes de podcast
La gestion des épisodes de podcast devient transparente grâce à Scrybecast. Les utilisateurs peuvent organiser et éditer leurs contenus audio et textuels en un seul endroit, ce qui leur permet de gagner du temps et de rester organisés dans leur processus de création. Le workflow intuitif de Scrybecast simplifie les processus de publication, de mise en ligne et de partage, offrant ainsi une expérience fluide et efficace. De plus, la plateforme offre des fonctionnalités de collaboration avancées pour les équipes de production et les co-créateurs, favorisant ainsi une meilleure qualité et cohérence du contenu.
Simplification de la gestion
Grâce à Scrybecast, la gestion des épisodes de podcast devient transparente. Les utilisateurs peuvent organiser et éditer leurs contenus audio et textuels en un seul endroit, ce qui leur permet de gagner du temps et de rester organisés dans leur processus de création.
Workflow optimisé
Le workflow intuitif de Scrybecast permet aux créateurs de podcast de passer plus de temps à se concentrer sur le contenu lui-même plutôt que sur les tâches administratives. La plateforme simplifie les processus de publication, de mise en ligne et de partage, offrant ainsi une expérience fluide et efficace.
Collaboration facilitée
Pour les équipes de production et les co-créateurs, Scrybecast offre des fonctionnalités de collaboration avancées. Les membres d’une équipe peuvent travailler ensemble sur un même projet, en partageant facilement des accès et des commentaires pour améliorer la qualité et la cohérence du contenu.
3. Optimisation pour le référencement et la visibilité
Pour maximiser la visibilité de leur podcast, les utilisateurs de Scrybecast peuvent optimiser leurs épisodes pour le référencement. La plateforme propose des conseils avancés en matière de SEO, y compris des suggestions de titres, de descriptions et de mots-clés pertinents. De plus, Scrybecast offre des outils analytiques pour suivre les performances et ajuster les stratégies de promotion en fonction des résultats obtenus. Grâce à des techniques SEO avancées, les podcasteurs peuvent attirer un public plus large et fidéliser leurs auditeurs.
Meilleures pratiques SEO pour un podcast
Scrybecast aide les podcasteurs à optimiser leurs épisodes pour le référencement en proposant des titres, des descriptions et des mots-clés pertinents. Les utilisateurs peuvent ainsi améliorer la visibilité de leur podcast sur les plateformes de streaming et les moteurs de recherche.
Promotion ciblée
En mettant en œuvre des techniques SEO avancées, les podcasteurs peuvent attirer un public plus large et augmenter leur nombre d’auditeurs fidèles. Scrybecast fournit des outils intégrés pour suivre les performances et ajuster les stratégies de promotion en fonction des résultats.
Analyse des données
Grâce à ses capacités d’analyse, Scrybecast permet aux utilisateurs de comprendre le comportement de leur public et d’identifier les tendances émergentes. Cette connaissance approfondie aide les créateurs à affiner leur contenu et à maximiser l’impact de leur podcast.
4. Promotion et engagement sur les réseaux sociaux
Scrybecast propose des stratégies avancées pour promouvoir les épisodes de podcast sur les réseaux sociaux. Les utilisateurs peuvent créer des posts attractifs et percutants pour susciter l’intérêt autour de leur contenu. En encourageant l’interaction avec l’audience, Scrybecast aide les podcasteurs à construire une communauté engagée et fidèle. Les utilisateurs peuvent répondre aux commentaires, organiser des sessions de questions-réponses en direct et collaborer avec d’autres créateurs pour stimuler l’engagement et la croissance de leur audience.
Stratégies de promotion
Scrybecast propose des conseils avancés pour promouvoir les épisodes de podcast sur les réseaux sociaux, en mettant l’accent sur l’engagement et l’interaction avec le public. Les utilisateurs peuvent créer des posts attractifs et percutants pour susciter l’intérêt autour de leur contenu.
Interaction avec l’audience
En encourageant l’interaction avec l’audience, Scrybecast aide les podcasteurs à construire une communauté engagée et fidèle. Les utilisateurs peuvent répondre aux commentaires, organiser des sessions de questions-réponses en direct et collaborer avec d’autres créateurs pour stimuler l’engagement.
Croissance de l’audience
Grâce à des stratégies de promotion efficaces, les utilisateurs de Scrybecast peuvent constater une croissance significative de leur audience. La plateforme offre des outils analytiques pour suivre cette croissance et ajuster les stratégies de manière proactive.
5. Démonstration de Scrybecast en direct
Au cours de cette démonstration, Mickael Bourgois guide les spectateurs à travers l’interface de Scrybecast, en montrant comment utiliser chaque fonctionnalité pour créer et gérer des podcasts professionnels. Cette partie offre un aperçu pratique des avantages offerts par la plateforme, y compris ses applications réelles et ses cas d’utilisation. Les spectateurs peuvent voir en direct comment cette plateforme révolutionne le processus de podcasting et aide les créateurs à atteindre leurs objectifs.
Pas à pas de l’interface
Lors de cette démonstration, Michel guide les spectateurs à travers l’interface de Scrybecast, en montrant comment utiliser chaque fonctionnalité pour créer et gérer des podcasts professionnels. Cette partie offre un aperçu pratique des avantages offerts par la plateforme.
Avantages et applications
La démonstration met en lumière les avantages uniques de Scrybecast et explore les diverses applications possibles pour les créateurs de contenu audio. Les spectateurs peuvent voir en direct comment cette plateforme révolutionne le processus de podcasting.
Cas d’utilisation réels
Michel partage des cas d’utilisation réels et des témoignages d’utilisateurs pour illustrer l’impact de Scrybecast sur le succès des podcasts professionnels. Ces exemples concrets renforcent la crédibilité et l’efficacité de la plateforme.
6. Stratégies avancées pour réussir son podcast
Pour maximiser le succès de leur podcast, les utilisateurs peuvent mettre en œuvre des stratégies avancées avec Scrybecast. La plateforme propose des conseils sur le pricing flexible, l’automatisation des processus et l’engagement des auditeurs. En utilisant intelligemment les outils et fonctionnalités de Scrybecast, les podcasteurs peuvent augmenter leur engagement, fidéliser leur audience et évoluer dans l’industrie du podcasting professionnel.
Pricing et automatisation
Dans cette section, explorez les stratégies avancées telles que le pricing flexible et l’automatisation des processus pour maximiser l’efficacité de votre podcast. Michel partage ses conseils sur la monétisation intelligente et la croissance durable du contenu audio.
Engagement des auditeurs
Découvrez comment Scrybecast aide les podcasteurs à augmenter l’engagement de leur public et à fidéliser les auditeurs grâce à des techniques éprouvées. Cette partie met en lumière l’importance de la relation avec l’audience dans le succès d’un podcast.
Évolution et perspectives
En conclusion, explorez les perspectives d’avenir du podcasting professionnel avec Scrybecast. Michel partage sa vision pour l’évolution de la plateforme et les tendances émergentes dans l’industrie du contenu audio.
Résumé de l’épisode avec Mickaël Bourgeois sur Scribecast
Avez-vous déjà rêvé de transformer vos podcasts en contenu écrit de qualité en un clin d’œil ?
Dans cet épisode de cockpitLAB, nous avons l’honneur d’accueillir Mickaël Bourgeois, un pionnier dans l’univers du NoCode et créateur de Scribecast, une solution innovante pour les créateurs de contenu audio. Si vous cherchez à optimiser votre temps et à valoriser vos contenus, restez à l’écoute et découvrez le parcours fascinant de Mickaël ainsi qu’un cadeau exclusif pour nos auditeurs !
Qui est Mickaël Bourgeois ?
Originaire de Lille, Mickaël Bourgeois est un entrepreneur passionné par l’automatisation et le NoCode. Après une carrière dans la conception mécanique et une reconversion réussie, il découvre le NoCode et se lance dans l’aventure entrepreneuriale. Aujourd’hui, il partage son expérience et ses connaissances en créant son propre logiciel SaaS, Scribecast, qui révolutionne la création de contenu à partir de podcasts.
Scribecast, l’outil qui métamorphose les podcasts
Scribecast est un outil SaaS qui permet de transcrire automatiquement des podcasts en contenus écrits de qualité. Utilisant les dernières technologies d’IA, Scribecast offre une gamme de services : transcription, génération de résumés, de titres, de newsletters, d’articles de blog et même de chapitrage pour les plateformes audio. Mickaël nous fait une démonstration impressionnante de son logiciel, qui s’avère être un allié précieux pour les créateurs de contenu audio souhaitant étendre leur visibilité et leur impact sur le web.
Pour les auditeurs de Cockpit Lab, Mickaël offre un mois d’accès gratuit à Scribecast pour tester et adopter cette solution innovante. Utilisez le code exclusif et découvrez comment révolutionner votre manière de créer du contenu à partir de vos podcasts !
– No code
– Entrepreneuriat
– Développement de produit
– Automatisation
– SaaS (Software as a Service)
– Innovation technologique
– Startup
– Stratégie d’affaires
**2. Mots-clés secondaires pour le podcast :**
Ces mots-clés soutiennent les mots-clés principaux et apportent des nuances supplémentaires quant à l’approche ou les détails spécifiques abordés dans l’épisode :
– Bubble platform
– École d’ingénieur
– Conversion de carrière
– Conception mécanique
– Consulting en ingénierie
– OpenAI et ChatGPT
– Création de contenu
– Gestion de projet
– Formation NoCode
– Automatisation Make (Integromat)
– Expérience utilisateur
– Référencement podcast
🎤 L’Aventure No-Code de Mickaël Bourgeois
Mickaël Bourgeois partage son parcours d’entrepreneur et expert en No-Code. Il détaille comment il est passé de la conception mécanique à la création de son propre logiciel SaaS grâce à une reconversion audacieuse et à la découverte du No-Code.
🚀 De Dessinateur-Projeteur à No-Coder
Mickaël explique sa transition professionnelle, de ses débuts en conception mécanique à son immersion dans le monde du No-Code. Il souligne l’importance de la formation continue et comment il a découvert le No-Code pendant ses études en école d’ingénieur.
🛠️ Scribecast : Un Outil Innovant pour les Podcasteurs
Scribecast est présenté comme une solution révolutionnaire pour les créateurs de podcasts, leur permettant de transcrire des épisodes et de générer du contenu textuel de qualité pour le marketing. Mickaël insiste sur l’efficacité de Scribecast dans la création de contenus additionnels.
💡 Le Potentiel du No-Code
Mickaël définit le No-Code comme un accès facilité à la création et à l’automatisation sans compétences en programmation. Il met en avant la rapidité de développement, la réduction des coûts et l’accessibilité pour des profils non-techniques.
🌐 Exploiter le No-Code dans le Business
Les cas d’usage les plus communs du No-Code sont évoqués, notamment pour les MVP de Marketplace ou les automatisations de processus. Mickaël partage également des exemples concrets d’utilisation du No-Code dans des projets.
🤖 L’IA et le No-Code : Une Révolution
L’intégration de l’intelligence artificielle dans le No-Code est décrite comme un véritable game changer, permettant de créer des outils comme Scribecast qui répondent aux besoins spécifiques des podcasteurs.
📈 Stratégies d’Acquisition pour Scribecast
Mickaël révèle ses méthodes pour attirer des utilisateurs vers Scribecast, en mettant l’accent sur le contact direct, le bouche-à-oreille et la présence sur les réseaux sociaux. Il souligne les défis liés au temps et aux coûts associés à l’acquisition de clients.
🔧 Développement Solo de Scribecast
Il partage les défis rencontrés lors du développement de Scribecast en solo, notamment les limites techniques des outils de transcription et de génération de contenu, et comment il a surmonté ces obstacles grâce à sa maîtrise du No-Code.
🎁 Offre Exclusive pour les Auditeurs
Enfin, Mickaël offre un mois gratuit d’utilisation de Scribecast aux auditeurs, en plus des 15 jours d’essai, pour leur permettre de découvrir pleinement les capacités de son logiciel.
Découvrez les dessous du NoCode avec Mickaël Bourgeois sur Cockpit Lab
L’univers du NoCode a le vent en poupe, et pour cause : il offre une liberté de création sans précédent aux entrepreneurs de tous horizons. Dans le dernier épisode de Cockpit Lab, Jérôme Scat a eu le plaisir d’accueillir Mickaël Bourgeois, expert en NoCode et créateur de son propre logiciel SaaS, Scribecast. Si vous êtes curieux de découvrir les coulisses de l’aventure entrepreneuriale dans l’univers du NoCode, cet épisode est fait pour vous.
Qui est Mickaël Bourgeois ?
Mickaël Bourgeois est un entrepreneur lillois qui a suivi un parcours riche et diversifié. Après des études en conception mécanique et une dizaine d’années d’expérience professionnelle, il a opéré une reconversion notable en retournant à l’école à 31 ans pour découvrir le monde du NoCode. Aujourd’hui, il est à la tête de Scribecast, un outil innovant qui facilite la création de contenus à partir de podcasts.
Le NoCode, une révolution accessible à tous
Le NoCode est un mouvement qui démocratise le développement d’applications et d’automatisations sans avoir besoin de savoir coder. C’est une révolution qui rend possible la création de produits numériques par des profils non techniques, permettant ainsi à une plus grande diversité d’individus de concrétiser leurs idées d’entreprise.
Mickaël Bourgeois partage son expérience et ses conseils pour ceux qui souhaitent se lancer dans le NoCode. Selon lui, tout le monde peut apprendre à utiliser ces outils, et ils devraient faire partie des compétences de base dans le monde professionnel actuel.
Scribecast, l’outil qui réinvente le contenu de podcast
Scribecast est un SaaS qui révolutionne la manière dont les créateurs de podcasts et les gestionnaires de contenu peuvent travailler. Avec Scribecast, vous pouvez transformer un épisode de podcast en transcription de qualité, mais aussi en résumé, en idées de titres, en newsletter, en article de blog et bien plus encore. C’est une solution clé en main pour améliorer la visibilité et le référencement de votre podcast.
L’aventure entrepreneuriale et la transparence
Mickaël Bourgeois ne cache pas les défis et les réalités de l’entrepreneuriat. Il partage ouvertement son expérience, y compris sa décision de reprendre un travail salarié tout en continuant de développer Scribecast. Cette transparence est rafraîchissante et témoigne d’une approche honnête et pragmatique du monde des affaires.
Pourquoi écouter cet épisode ?
En écoutant cet épisode, vous obtiendrez des informations précieuses sur :
- Les possibilités offertes par le NoCode et comment commencer à l’explorer.
- L’importance de la création de contenu et comment le NoCode peut faciliter ce processus.
- L’histoire derrière la création de Scribecast et les leçons apprises par Mickaël Bourgeois.
Un cadeau pour les auditeurs de Cockpit Lab
Pour ceux qui sont arrivés jusqu’à la fin de cette interview et qui sont intéressés par Scribecast, Mickaël Bourgeois offre un mois d’essai gratuit supplémentaire. Utilisez le code “CockpitLab50” pour bénéficier de cette offre exclusive et commencer à transformer vos podcasts en contenu riche et diversifié.
Conclusion
Que vous soyez un créateur de podcast à la recherche de moyens pour maximiser l’impact de votre contenu, ou simplement curieux des possibilités qu’offre le NoCode, l’épisode avec Mickaël Bourgeois sur Cockpit Lab est une mine d’informations et d’inspiration. Ne manquez pas cette occasion d’apprendre d’un expert en NoCode et de découvrir comment son outil, Scribecast, peut vous aider à atteindre de nouveaux sommets dans la création de contenu digital.
Alors, êtes-vous prêt à plonger dans le monde du NoCode et à découvrir les secrets de la création de contenu efficace ? Écoutez dès maintenant cet épisode de Cockpit Lab et rejoignez la révolution NoCode !
Salut, c’est Jérôme et aujourd’hui, je voudrais t’inviter à regarder l’interview de Mickaël Bourgois. Un expert sur Make, un expert en. No code, et qui a créé son propre logiciel, son propre SaaS, et ça depuis plusieurs mois maintenant. On te partage un petit peu tous les coulisses de son aventure. d’entrepreneur, de no-coder. Alors si tu ne me connais pas encore, moi je m’appelle Jérôme Scat et je partage toute mon expérience sur Amazon FBA, Amazon KDP, Amazon Merch, le Print On Demand d’Amazon. Et en même temps, je partage un petit peu toutes les astuces, les hacks et les autres personnes que je rencontre au fur et à mesure de mon avancée d’entrepreneur. Et aujourd’hui encore une fois, je partage quelqu’un qui a énormément de choses à raconter, à partager et gracieusement. Et à la fin de cette interview en plus, on a un petit cadeau. Pour toi, donc reste bien jusqu’à la fin. Bienvenue sur Cockpit Lab. Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Mickaël Bourgeois. Salut Mickaël, comment vas-tu ? Salut Jérôme, ça va très bien et toi ? Ça va, ça va, merci. Alors, merci d’avoir accepté mon invitation. Dans cette interview, on va parler d’automatisation, de no code, de LinkedIn, de création de contenu et surtout de ton logiciel SaaS. L’objectif de ces prochaines minutes sera de découvrir ton parcours, ton démarche d’activité, ton business, tes galères, c’est ça qui est vraiment qui m’intéresse, et surtout, toutes les informations que tu jugeras utiles de nous partager. Est-ce que c’est OK pour toi, Mickaël ? C’est OK pour moi, oui. Alors, top. Mickaël, en quelques mots, est-ce que tu peux te présenter ? Ouais, donc je suis lillois, j’ai 39 ans, j’ai trois enfants, dont un petit de 19 mois, donc une vie familiale bien remplie, même si les deux premiers sont avec leur maman et je les ai un week-end sur deux, mais j’en ai quand même un à la maison à temps plein, donc ça prend toute l’année du temps. J’habite à côté de Lille, donc une petite ville à côté de Lille, et voilà, j’ai un parcours, je vais pas dire atypique, mais qui a bien évolué depuis que j’ai commencé à travailler. donc on aura l’occasion d’en reparler après, j’imagine. Et j’ai fait des études d’abord en conception mécanique, un DUT et une licence, avant de travailler durant une dizaine d’années, puis de revenir en école à 31 ans, et après, voilà, j’ai découvert le NoCode à ce moment-là. Ok, top. Et comment est-ce que toi t’es tombé vite fait dans le code ? Enfin, comment est-ce que t’as fait cette reconversion, du coup ? En fait, j’ai fait une reconversion parce que j’ai fait un DUT pour ne pas faire une école prépa afin d’aller en école d’ingé. École d’ingé en 2005 dans laquelle je suis rentré sur concours. Malheureusement, c’était en alternance et la boîte que j’avais trouvée pour faire mon alternance m’a planté au dernier moment. du coup pas d’école d’ingé, donc j’ai fait une licence et j’ai pas voulu continuer après en master donc j’ai travaillé dix ans en tant que d’abord dessinateur projeteur même si très vite j’ai eu une casquette de responsable bureau d’études dans une société familiale et après j’ai été embauché dans un cabinet de conseil pour faire du conseil en ingénierie mécanique dans des grosses boîtes de la région lilloise donc d’abord des boîtes avec des petites missions et après très vite une grande mission dans le ferroviaire et j’ai fait ça pendant plus de 4 ans donc au total dans cette boîte de conseil j’ai bossé 5 ans donc 4 ans pour un client en particulier J’en ai eu marre, donc je suis parti dans un bureau d’études pour refaire ce que je faisais de mieux via mes formations initiales de la conception en études avec des projets pour des industriels. Petit à petit, je suis passé de dessinateur-projeteur à chargé d’affaires, puis vraiment presque commercial. J’ai décidé de retenter l’école d’ingénieur que je n’avais pas pu faire en 2005. Et donc, en 2016, j’y suis enfin arrivé et j’ai fait cette école dix ans plus tard. Cette fois-ci, via une coupure avec le fonds gestif et c’était plus une alternance. Du coup, c’était 18 mois temps plein. En fait, il y avait plus de 12 mois d’école, de théorie, entrecoupés de stages et de projets. Et après, il y avait une alternance que j’ai pu faire dans ma boîte. Et c’est durant cette expérience en école que j’ai découvert le NoCode pour un projet parce que j’avais choisi une option entrepreneuriat. pour mon diplôme d’ingé qui était un diplôme d’ingé généraliste et comme j’avais une forte appétence pour l’entrepreneuriat, les start-up, etc. vu que j’habite à côté d’un incubateur qui s’appelle Aura Technologies j’ai voulu aller voir ce que ça donnait du côté entrepreneuriat comment on monte une boîte, etc. et c’est là où j’ai découvert le NoCode parce que pour construire un produit il faut savoir coder mais je ne le savais pas j’avais des bases HTML, CSS, je m’étais formé mais pour aller plus loin en PHP par exemple C’était compliqué, donc j’ai découvert à ce moment-là Bubble, qui pour moi était le premier outil no code que j’ai découvert. Donc en 2018, à la fin de ma formation, et après voilà, j’ai commencé à travailler en startup. Ok, donc t’as vraiment un parcours de… ça doit être compliqué à écrire ton CV. et à l’expliquer surtout. On va mettre en avant et comment l’expliquer. C’est ça, exactement. C’est surtout ça, tout à fait. OK, Mickaël, avant de parler de ton SaaS, j’aimerais qu’on parle un peu de nos codes. Non, en fait, si tu me permets, est-ce que, parce que ton logiciel et ton SaaS, Scribecast, c’est presque immédiat, mais il va falloir un petit peu laisser le temps à la magie de se faire. Et si tu veux bien, en fait, on va sélectionner un podcast et tu vas nous montrer un petit peu ce que fait Scribecast et on le laissera tourner et on reviendra juste à la fin de cette interview pour voir un petit peu la magie de Scribecast. T’es d’accord ? Il y a ça avec plaisir. Donc déjà juste pour introduire pour les gens qui ne connaissent pas, je vais raconter l’histoire après la genèse de Scribecast, mais Scribecast c’est un logiciel, on peut dire Scriptcast aussi, c’est un logiciel qui permet via un abonnement d’accéder à du contenu depuis un podcast, donc de créer à partir d’une transcription qualitatives, des contenus additionnels, marketing, etc. On va aller voir. Donc, de manière très simple, vous voyez, vous pouvez récupérer un résumé, des idées de titres, une newsletter, un article de blog, depuis un épisode de podcast. Donc, la clientèle, c’est avant tout des créateurs de podcast, mais aussi des podcast managers qui ont leurs propres clients, qui leur demandent de faire ça. Je vais raconter l’histoire tout à l’heure. Pour l’instant, on va partir directement en vif du sujet et cliquer sur générer maintenant. pour générer des contenus à partir d’un podcast. Donc, on peut faire ça de différentes manières, via le lien de téléchargement du podcast, le lien Ocha, etc., en .mp3, vraiment le lien d’hébergement du fichier audio, sinon le fichier audio local, si vous l’avez, pour l’uploader directement là, ou via le flux RSS. C’est ce qu’on va faire ici. Souvent, on ne connaît pas son flux RSS, c’est des URL assez complexes à retenir et on ne les a pas souvent sous la main, donc j’ai un moteur de recherche ici qui me permet de le trouver facilement. Donc là, le podcast en question, c’est quoi que tu veux transcrire ? Alors moi c’était, alors attend deux secondes, c’était sans permission de Yomi Denzel et de Oussama Ammar. D’accord, donc là il suffit de taper le nom du podcast, le nom d’un épisode ou le nom de l’hôte, des hôtes, et normalement on retrouve directement les épisodes. On va faire ça tout de suite, chercher. Ok, c’est le premier, ouais, top. Ok, Yomi et Usama, donc on a le flux RSS ici, Shiocha, il est hébergé, donc on peut copier le flux et il est directement mis ici avec une langue prédéfinie sur français qu’on peut changer en anglais si c’est un podcast anglophone. Et on fait suivant. Donc là on a la liste des épisodes. Pour l’essai je vais prendre un épisode plus court quand même que deux heures. J’en avais trois heures ici, c’est assez long. Voilà, ici par exemple, 50 minutes, ça va le faire. En gros, pourquoi je prends un épisode court pour la démo ? C’est parce qu’il faut compter 7 à 8 minutes pour un épisode d’une heure. Donc on va prendre celui-ci qui est très bien. Ça me plaît, qui date de mars 2022. Générer mon contenu. Ça sera l’occasion d’ici, à partir de ce podcast, de recréer des contenus assez facilement. Donc là, on prévient que c’est en cours. Super, je n’ai plus qu’à attendre. Partir ailleurs, revenir. En tout cas, je serai prévenu par email que ma transcription sera prête. Et quand elle sera prête, on pourra aller sur les autres choses ici. Ok, top, magnifique. Revenons à l’interview et laissons la magie de Scribecast tourner pendant quelques minutes. Du coup, il y en a pour à peu près 6-7 minutes pour faire la transcription et ensuite on verra comment les autres fonctionnalités de Scribecast pourraient fonctionner. Ok, donc là la magie est en train de fonctionner, de tourner en arrière-plan. J’aimerais qu’on parle un petit peu de no code, si tu permets bien. Et comment est-ce que toi tu définirais le no code ? Pour moi, c’est avant tout la capacité de faire des choses que tu ne pouvais pas faire avant. Parce que tu ne sais pas coder, parce que quand tu voulais créer quelque chose, il fallait que tu aies un pote développeur ou alors que tu t’associes avec un site I.O. quand tu avais un projet vraiment à monter en mode startup. chose que j’ai découvert du coup à l’école parce qu’on était deux, on ne savait pas coder et comment on fait du coup, comme on est deux clampins plutôt qu’un profil business pour produire un SaaS, c’était impossible. Donc à part se former et retourner dans une autre école pour faire une école de dev, ce n’était pas possible. Donc pour moi, c’est avant tout le no code, une question d’accessibilité. C’est la promesse de pouvoir accéder à des outils qui vont permettre d’aller plus loin et plus vite. Tu as une certaine rapidité de développement. qui est là aussi au rendez-vous parce qu’une fois que tu as pris l’outil en main, alors certains sont difficiles comme Bubble, ce n’est pas le plus simple à prendre en main dès le départ, il faut s’y former, il y a une courbe d’apprentissage quand même qui est là au rendez-vous, mais en gros, avec un bon mois de formation, tu es déjà capable de créer un produit à la fin de ta formation. Donc, rapidité de développement, Ce qui permet aussi de réduire les coûts. Lorsque tu as besoin de développer quelque chose, déjà tu réduis les coûts, pourquoi ? Parce que tu le fais toi-même, donc tu n’embauches pas un stagiaire ou un autre développeur pour le faire à ta place, voire même un freelance, donc ça réduit les coûts à ce niveau-là. Ce n’est pas une ressource supplémentaire à prendre. Et quand bien même c’est toi qui le fais, ça réduit les coûts parce que tu réduis les temps aussi. Pour développer un même produit, Par exemple, si je prends une fonctionnalité de login avec un identifiant mot de passe ou un login SSO Google, un développeur va mettre un certain temps à le développer même s’il utilise des frameworks, alors que si tu le fais avec Bubble, en quelques clics, c’est fait et potentiellement même en ligne. Donc, ça va très vite. Donc, au-delà de la rapidité de développement, tu as des gains de coûts parce que ça va plus vite à mettre en place. Pour moi, le Notepad, c’est ça. C’est vraiment un écosystème d’outils qui te permettent de faire les choses par toi-même et d’aller beaucoup plus vite sans forcément y passer trop de temps au niveau de la formation. Pour toi, c’est vraiment ça les principaux avantages du no-code ? Oui, et surtout le fait de répondre à quelque chose. Tu as une idée, tu peux créer un MVP avec Bubble. Tu as un souci de process que tu veux automatiser parce que tu ne veux pas refaire les choses toi-même à plusieurs reprises. Tu peux très bien prendre du Zapier ou du Make pour créer des automatisations qui vont te permettre de faire les choses automatiquement. Et ça, encore une fois, de manière très rapide pour le peu que tu te sois formé sur les outils. Ok. Dis-moi si je me trompe, mais pour moi, le no-code, c’est quand même plus assimilé, comme tu le disais tout à l’heure, à des profils un petit peu biz, versus des techs qui peuvent commencer leur MVP, qui peuvent mettre en ligne leur produit assez facilement, mais sur lesquels ce n’est pas vraiment un produit fini. Qu’est-ce que tu en penses de ça, du coup ? Alors, effectivement, à la base, c’est plutôt des profils non-tech qui vont se diriger vers du no-code. Pourquoi ? Parce qu’il y a eu une grosse vague, avec le confinement, etc., de gens qui voulaient se reconvertir. Ils ont découvert le no-code à ce moment-là, donc ce sont beaucoup de profils non-tech qui s’y sont penchés. Mais très vite, les techs, les vrais devs, ont vu aussi l’intérêt de faire du no-code et de faire appel à des outils de no-code. Tout simplement parce que, par le fait que ça aille plus vite, ça leur permet de tester des choses de manière plus rapide avec des protos, de faire des MVP en interne dans les boîtes, etc. pour pouvoir, pourquoi pas, après développer la chose réellement, mais au moins de pouvoir, soit en interne, créer quelque chose de rapide en mode proto ou d’MVP pour un client, alors montrer quelque chose de fonctionnel. C’est le souci que j’avais eu aussi en école d’ingé, c’est que j’avais tout fait du coup, mes maquettes sur Figma, on avait fait des animations, etc., du SAS qu’on avait l’intention de produire sur Figma. Ça avait un beau rendu, mais ça ne fonctionnait pas. Alors qu’avec un Bubble, tu le fais très rapidement et tu peux montrer ça à un client quand t’es freelance, par exemple. À ton avis, c’est quoi les cas d’usage les plus communs dans le NoCode et dans ce que tu peux voir au quotidien dans l’univers NoCode ? Les cas d’usage, il y en a deux. Il y en a d’abord pour ceux qui veulent avoir des produits finis et ceux qui veulent automatiser les tâches. Sur les produits finis, les choses les plus communes que l’on voit, c’est souvent des MVP de plateforme type Marketplace ou SaaS justement, et beaucoup de Marketplace. On a une idée, on veut mettre en relation des gens avec d’autres personnes. très vite on va pouvoir faire ça en mode marketplace et je l’ai moi-même fait avec une plateforme qui s’appelle welovepodcast.fr qui tourne toujours et qui met en relation des gens justement qui écrivent des contenus pour les podcasteurs, des gens qui vont faire le montage, des gens qui vont faire le mixage audio, etc. pour des créateurs de podcast. Donc c’est une plateforme qui met en relation ces deux typologies de prestataire et de client. L’idée de Scribecast justement vient de là à la base. Et il y a d’autres choses qu’on voit beaucoup en termes d’automatisation, ça peut être d’abord des automatisations pour faire des choses simples mais récurrentes, chronophages mais simples, de type aller enregistrer dans un Google Drive un dossier ou le créer automatiquement en fonction d’une situation, d’un email reçu, etc. Je reçois un email avec un certain objet, l’objet je vais le prendre, en tout cas je vais prendre sa piège jointe, je vais aller le classer dans un Google Drive, choses qui sont très simples à faire manuellement mais qui prennent du temps et qui n’ont pas de valeur ajoutée. Après, ça peut être des choses beaucoup plus complexes, comme le fait de créer automatiquement des plaquettes de présentation en PDF pour un client, et tout le corps de cette plaquette va être recherché dans une base de données RTBAL par exemple, et mis en forme dans cette plaquette pour après être envoyé par email au client final. Ce sont des tâches qui sont là aussi très longues à faire de manière manuelle, et ça te permet de gagner un temps fou et d’avoir les choses quasiment instantanément. Moi, ce que j’aime beaucoup faire, c’est aussi relier Stripe à Make pour avoir justement des informations supplémentaires sur, par exemple, mon Discord. Automatiquement, quand j’ai un client qui s’abonne sur Stripe, j’ai une notification Discord qui remonte et ça, ça passe par Make avec un webhook. Ok, donc là, sur un truc aussi simple qu’une notification, tu ne vas pas faire un développement et tu vas plutôt passer par du nouveau code avec Make, c’est ça ? Ouais, tout simplement, pourquoi je l’ai fait ? Parce qu’on peut le faire en direct via l’outil Stripe avec Discord, ça se branche entre eux, mais moi je voulais avoir un message plutôt personnalisé, donc c’est moi qui ai récupéré l’information de Stripe via Make, et après j’envoie dans Discord en mélangeant un peu cette info et en la remaniant pour avoir vraiment l’info que je désire. Ok, et ça, ça t’a pris, je sais pas, peut-être deux minutes cinquante à le faire, c’est ça ? Aujourd’hui, oui, clairement, le système de notification là, oui, c’est quelques minutes, Ok, clair. Et versus un développeur, ça lui aurait pris peut-être une demi-journée à faire ça ? Alors quand même pas une demi-journée, parce qu’effectivement, ce sont des choses qui sont assez bien documentées maintenant via les API. Donc quelqu’un qui sait coder et intégrer des API dans son code, voilà. Surtout avec Stripe, qui est une belle documentation. Ça peut aller vite, mais ça va au-delà de quelques minutes quand même, oui. Ok, d’accord. Pour toi, c’est quoi le scénario le plus what the fuck, le plus… incroyable ou le plus tordu que t’aies vu, que t’aies dû à concevoir ou alors que t’as vu peut-être sur LinkedIn ou en… Voilà, dans ta carrière. Non, peut-être pas incroyable, mais what the fuck, dans le sens où j’ai vu un certain nombre de modules dans Make, il faut savoir que Make c’est des modules que tu branches entre eux, qui vont se déclencher les uns après les autres pour faire des actions, qui vont avoir des inputs et des outputs les uns avec les autres. Souvent, t’as des scénarios qui tournent à 5, 10, 15 modules peut-être, et j’ai bossé pour un client une fois qui avait sorti tous ses workflows de Bubble, donc toutes les automatisations intégrables et intégrées normalement dans Bubble, avec des workflows, il les avait faites dans Make, et quand j’ai ouvert son scénario Make, il y avait 90 modules, ça allait dans tous les sens, mais vraiment c’était bien fait, avec des choses propres, ce n’était pas farfelu son scénario, et pour le coup là il faut s’accrocher à comprendre quel module fait quoi, à quel instant, avec des filtres, avec des conditions, des redirections, Mais ouais, quand tu t’approches des 90 modules comme ça, effectivement, j’ai pu me dire what the fuck quand je l’ai ouvert la première fois. Après, en termes de fonctionnalité, c’était assez simple à se remonter juste des infos et des actions de Bubble dans d’autres systèmes, et après ça revenait dans Bubble pour alimenter la base de données. Ah, exactement. Mais là, tu soulèves un petit problème que je vois souvent sur LinkedIn, des fois quand je vois des scénarios que des makers partagent, c’est Dis-moi si je me trompe, mais là tu viens de le dire je pense, à moins que j’ai mal compris, mais c’est que quelque chose qui était natif dans Webflow, dans Bubble pardon, il l’a enlevé de Bubble pour le mettre directement dans Make. Et là du coup tu vois je comprends pas la logique parce que s’il y a déjà le logiciel qui le fait en natif, pourquoi ne pas utiliser ces automatisations directes en natif et de les refaire sur Make ? Et bien, même moi, il n’y a pas plus d’un mois, je m’y suis mis à faire ça aussi. J’avais mes workflows dans Bubble qui me prenaient la tête, qui n’étaient pas faciles à écrire à l’intérieur, parce que tu peux écrire des choses dans ces workflows-là, donner des consignes, et notamment avec l’intégration d’OpenAI, donc ChartsGPT, pour créer justement, on va le voir après, des contenus textes dans Scribcast. Là, j’ai créé dernièrement le chapitrage. Pour m’amuser à créer des chapitres dans Scribdcast, il faut que je joue avec la durée, les timestamps, les prompts, etc. Et clairement, c’était beaucoup plus facile de les écrire dans un module dédié dans Make. Donc ce que j’ai fait, c’est que j’ai sorti mon workflow Bubble, je l’ai mis dans Make. J’ai un trigger dans Bubble, j’appuie sur un bouton générer le contenu, ça part dans Make, ça génère le tout, et après ça revient enregistrer la donnée dans Bubble. et je m’étais dit jamais je ferais ça, mais au final, je trouve que j’ai une meilleure lisibilité et une meilleure maintenabilité de ce workflow directement dans Make. Et en plus, j’ai un historique… Ouais. Parce que tu as plus de la main. Ouais, j’ai la main et j’ai surtout aussi un historique, les logs sont beaucoup plus lisibles dans Make que dans Bubble. Ok, d’accord. Est-ce qu’on peut tout faire en no-code selon toi ? J’ai envie de dire oui et non. On peut tout faire, Et après, ça va peut-être pas être le moyen le plus simple de le faire à un certain niveau. Peut-être que tu vas devoir trouver des contournements, des bidouilles, entre guillemets, pour pouvoir arriver à un résultat final. Alors qu’en code, ça aurait été fait en Python ou en JS de manière standard et correcte. Là où avec du Bubble, par exemple, tu peux être amené à détourner certaines choses pour arriver à tes fins. J’ai pas vraiment d’exemple en tête parce que j’ai pas rencontré blocage, peut-être pas trop souvent, mais pour moi tu peux tout faire, mais il y a un moment donné où tu vas trouver des limites tout de même, et tu vas devoir essayer de bidouiller, comme je l’ai fait peut-être là avec du make pour sortir mes workflows, certains vont sortir leur base de données sur du Xano pour avoir une base de données plus propre que sur Bubble, plus maintenable et plus véloce on va dire, plus performante, mais en règle générale, avec les plugins qui existent, avec le code que tu peux ajouter aussi, en règle générale, tu peux arriver à tes fins. Ok, mais là, tu me dis que tu sors de Bubble, qui est un outil no-code, pour aller vers du Make, pour avoir plus de visibilité, qui est aussi un outil no-code. Donc, tu arrives toujours à contourner les choses en prenant le problème peut-être à l’envers ou différemment, et du coup, tu arrives quand même à concevoir, enfin, à résoudre ton problème avec du no-code. À aucun moment, en fait, tu te dis, là, je suis dans la merde, il faut que je prenne un développeur. Il y a toujours un système ou une solution avec du no-code. Il y a toujours maintenant, comme je disais, pour aller plus loin, tu pourras intégrer du code et ce qu’on appelle du coup du low code versus du no code. Il y a beaucoup de boîtes maintenant qui recherchent des gens pour travailler sur du bubble, par exemple, ou autre. J’ai toujours exemple avec Bubble. Mais du coup, ils recherchent non pas des product builders comme moi j’ai pu l’être en freelance il y a encore peu de temps, mais ils vont chercher des développeurs, des vrais, qui savent utiliser Bubble. Simplement pour aller plus vite en conception de MVP, de proto, etc. Mais pour avoir cette logique de code qui te permettra derrière d’anticiper certains problèmes et de construire de manière propre et efficace ton produit dès le départ. Bon, les amis, en faisant le montage de cette interview avec Michael Bourgeois, je me suis rendu compte que ma Riverside a complètement craqué et toute ma piste vidéo et audio n’a pas été enregistrée au bout de 18 minutes. Donc, j’ai dû un petit peu bidouiller, refaire les interviews de mon côté parce que je n’avais pas envie de redemander à Michael de reprendre encore 1h30 de son temps pour nous partager tout ce qu’il nous avait déjà partagé. Donc j’espère que ce petit couac ne te dérangera pas. Mais en tout cas, je t’invite à ne pas faire la même erreur que moi, c’est-à-dire à ne pas utiliser une version bêta parce que j’ai utilisé comme un idiot la version bêta de Riverside. Et clairement, cela n’a pas fonctionné. Ne faites pas cette erreur et ne prenez pas des versions bêta pour vos prods et avec des invités aussi prestigieux que Mickaël Bourgeois et Scrycast. En tout cas, je vous laisse continuer cette interview. Ok Mickaël, est-ce que selon toi, tout le monde peut faire du no-code ? Pour moi, tout le monde peut faire du no-code. Pourquoi ? Parce que je l’ai vu tout simplement. J’ai fait du no-code quand j’ai appris à me perfectionner sur Bubble avec Otto lors d’un bootcamp en 2021. Et il y avait avec moi dans une classe, une team, des personnes qui venaient vraiment du monde extérieur, qui n’étaient pas geeks à la base, et qui finalement ont su, bon, un peu difficilement, il faut vraiment s’accrocher, prendre en main l’outil Bubble. Difficilement, pourquoi ? Parce qu’ils n’avaient pas ce mindset et cette logique des algorithmes de base de données, qu’est-ce que c’est une base de données, comment ça fonctionne, les relations entre les données, les algorithmes, c’est quoi le déclenchement d’un trigger, qu’est-ce qu’il va entraîner derrière, etc. Quand tu ne sais pas ça, forcément tu as du mal à comprendre les concepts qui peuvent être impliqués dans des développements de nos codes, que ce soit sur du web app avec Bubble ou des automatisations aussi avec Make. mais ça s’apprend, il n’y a pas de difficulté à apprendre, tout s’apprend, certains auront plus de facilité, et c’est pour ça que je dis toujours aujourd’hui les meilleurs no-coder sont des développeurs, parce qu’ils ont déjà tout ce bagage technique en eux, ils savent comment ça fonctionne, pourquoi ils font les choses en fait, c’est ça surtout, c’est pourquoi tu fais quelque chose, et derrière quand tu sais pourquoi tu le fais, ben tu sais comment le faire, du coup t’as pas de problème, mais ça s’apprend. Ok, très clair. Du coup, est-ce que tu penses que c’est une compétence qu’il faut absolument savoir maîtriser et que tout le monde devrait apprendre à faire du no code ? Pour moi, aujourd’hui, ça fait partie des choses que l’on doit savoir faire, surtout en étant développeur, encore plus. Encore une fois, ça permet de gagner du temps. C’est comme si, je ne sais pas moi, comme si tu étais écrivain, mais que tu t’amusais encore à écrire sur du papier. Alors, ça a son charme. Tu peux prendre ta plume et écrire sur du papier, mais ça va te prendre énormément de temps. Aujourd’hui, les écrivains tapent sur l’ordinateur, et c’est comme ce qu’on voyait il y a 15 ans, 20 ans. Enfin, peut-être pas 20 ans, mais il y a 15 ans, tu mettais sur ton CV, je sais utiliser Word, Excel. Aujourd’hui, tout le monde sait le faire. Maintenant, je pense que les gens doivent mettre en avant le fait qu’ils savent créer des automatisations. Peut-être pas aller jusqu’à créer des webapps, mais au moins créer des systèmes automatisés avec du Zapier. Zapier, pour moi, c’est la base. Tout le monde devrait savoir s’en servir, c’est l’outil le plus simple pour automatiser. Peut-être trop simple à mon sens, parce que c’est pour ça que je suis allé sur du Mac après, mais en tout cas Integromat à l’époque. Et voilà, Zapier, ça reste pour moi la base que tout le monde devrait acquérir, et aussi pouvoir comprendre ce qu’est une API, comment ça fonctionne. Alors, pas pour les boulangers, hein, t’es boulanger, tu t’en fous de savoir comment ça fonctionne une API, mais c’est un métier un peu tech, Vraiment un peu tech, pas trop, mais un peu. Comprendre comment ça marche, comment sont imbriquées les choses. Moi, dans la boîte où je travaille aujourd’hui, il y a beaucoup de choses qui sont branchées entre Stripe et HubSpot. Et ça passe par les API, ça passe par Make. Donc, même les sales savent comment ça marche, savent ce que c’est qu’une intégration API. Ils ne sont pas perdus, les sales, quand on leur parle d’API. Donc ça, c’est, je pense, le point fort à avoir aussi aujourd’hui, c’est de comprendre ce qu’est une API et comment ça fonctionne. Et quel conseil tu donnerais à quelqu’un qui veut commencer à explorer le no-code ? Alors peut-être comme moi je l’ai fait. La manière dont je l’ai fait, je me suis posé des questions. Tiens, comment on fait ? J’ai découvert le no-code comme ça. J’ai découvert le terme un peu plus tard. J’ai découvert d’abord Bubble sur une plateforme de bons de réduction qui s’appelle John Secrets. J’ai vu Bubble développer sans coder, sans une ligne de code, un truc dans le genre. Là j’avais vu, tiens c’est marrant, c’est ce qu’il me faut, donc j’y vais. Et il n’y avait pas le terme no-code Bubble, mais en avant plutôt le terme de programmation visuelle. Et c’est vraiment ça du no-code, c’est de la programmation visuelle. C’est comme avant quand tu avais un ordinateur, tout se passait dans le terminal avec des commandes, tu tapais des choses pour copier, créer un répertoire, copier un fichier, etc. Maintenant tu le fais à la souris, c’est du visuel. Le no-code c’est pareil, c’est de la programmation visuelle. Et donc j’ai découvert ça comme ça, et je me suis formé en regardant des vidéos sur YouTube tout simplement, des gens plutôt anglophones à l’époque, puis francophones, avec Thibaut de chez Otto, pour Bubble en tout cas, et donc j’ai regardé des vidéos YouTube, j’ai acheté une première formation pas très chère sur Udemy, ça m’a coûté même pas 19$, j’ai su créer un CRM sur Bubble pour 19$. J’ai continué en apprenant par moi-même, en testant des choses, vraiment tester et être curieux, c’est la meilleure des manières, et ensuite se perfectionner avec des formations plus poussées au début de camp, comme j’ai pu le faire aussi. C’est vraiment moins cher le no-code versus le développement traditionnel, Encore une fois, ça. Dépend jusqu’où on veut aller. Si déjà on est en mode, on a un produit, on a un product market fit, les gens payent, on a une startup qui est prête à être lancée, etc. autant essayer de développer tout de suite le produit par un vrai développeur qui sera du coup plus stable, plus maintenable peut-être avec si tu prévois aussi d’avoir beaucoup d’utilisateurs et donc beaucoup de records, de lignes, de données. Autant essayer peut-être d’aller sur du produit développé en code quand vraiment tu sais que c’est un produit qui va marcher, que les gens sont là, ils sont au rendez-vous et ils payent. Tant que tu n’es pas sûr que ça ne va pas marcher, tant que tu n’es pas sûr que les gens vont payer, passe par du no-code, parce qu’encore une fois, tu vas le faire tout seul, donc sans ressources supplémentaires, tu vas le faire plus vite, donc ça coûte moins cher, et c’est des abonnements, c’est des logiciels qui marchent avec, c’est du principe de SaaS, donc tu payes un abonnement, Bubble, ça me coûte 32 dollars par mois, pour 32 dollars par mois, je peux développer un produit. Voilà. Du make, c’est pareil, du make, c’est 10 dollars par mois. Au fur et à mesure, tu additionnes tes dépenses, mais ça revient forcément beaucoup moins cher que si tu faisais externaliser par un freelance ou si tu prenais un développeur pour le faire. Alors Mickael, tu as mentionné plusieurs fois Zapier, Make, anciennement Integromat. Est-ce que, du coup, ma question à un million de dollars, c’est Make ou Zapier ? Make. Make parce que, déjà, sur le côté UX, l’ergonomie de prise en main de Make est beaucoup plus sexy, beaucoup plus… Dans la manière de comprendre aussi tes scénarios, c’est beaucoup plus simple avec du Make parce qu’encore une fois, tu as des modules, donc pour ceux qui ne connaissent pas, c’est des boules. que tu vas accrocher les unes aux autres et que tu peux réorganiser. Là où sur du Zapier, c’est vraiment des séquences qui vont de haut en bas, tu vas faire défiler étape 1, étape 2, étape 3. Et sur du Make, tu vas pouvoir faire des boucles itérées, etc. Alors que sur du Zapier, c’est beaucoup plus difficile, voire impossible parfois. Et il y a aussi une question de coût. À scénario égal, Make, ça a peut-être changé il y a quelques temps, mais Make à scénario égal coûtait moins cher que Zapier. Donc pour des questions d’interface, des questions de possibilités et des questions de tarifs, Make, moi quand c’était encore Integromat, j’ai fait le pas de Zapier à Integromat, qui s’appelle maintenant Make. Même pour un débutant, tu conseillerais de partir sur Make tout de suite ou plutôt Zapier ? Peut-être commencer par Zapier pour comprendre les enchaînements, comment ça se passe. Justement, comme ça reste simple, Zapier, tu ne peux pas aller très loin, donc tu vas faire des choses simples et tu vas comprendre les automatismes. Et après, quand tu comprends que tu vas aller plus loin, brancher des API, etc., là, tu peux aller sur DuMec. L’IA et le NoCode, c’est Game Changer ? Clairement. Clairement. Pour la petite histoire, moi, comme je disais, j’ai créé ma plateforme WeLovePodcast pour mettre en relation des prestataires dans l’univers du podcasting et des hôtes de podcast, parce que moi-même, j’écrivais des résumés, j’écrivais des transcriptions à la main, je faisais de la prise de notes, je donnais des idées de titres, j’écrivais la timeline, avec les timestamps, le chapitrage en gros du podcast. Je faisais tout ça à la main. Ça prend du temps, ça coûte cher aux créateurs de podcast, etc. Et déjà à ce moment-là, quand je faisais l’interview de mes premiers clients, certains me disaient, ça serait bien qu’on ait un outil qui puisse faire la transcription, ça marche bien en anglais, ça marche pas trop en français. Si tu me trouves ça, ça serait top. Ça serait bien qu’on puisse créer aussi des postes LinkedIn, etc. Donc aujourd’hui, LIA a pu faire en sorte que je crée l’outil qui répond à ces besoins que j’avais déjà depuis 2021. Le truc qui est bien surtout, c’est qu’il ne faut jamais oublier, avant de se lancer dans un business, dans un SaaS, c’est surtout d’avoir le Product Market Fit. Et toi, tu l’avais déjà parce que tu faisais déjà avec We Love Podcast le chemin à la mano, le travail à la main. Et donc ton Product Market Fit était déjà éprouvé et validé. Oui c’est ça, il y avait d’abord le paiement de la prestation de manière unitaire, donc tu payais pour un épisode, après j’ai mis en place le fait de payer à la quantité, donc souvent c’était x4 parce que tu avais 4 épisodes par mois, et après j’avais mis en place un système d’abonnement pour pouvoir avoir toujours le même prestataire, parce que j’étais pas tout seul sur la plateforme au final, je le faisais à la main, la plateforme j’ai créée pour amener d’autres personnes, d’autres prestataires, et pouvoir répondre à du montage, du mixage audio, là où moi je faisais que de l’écriture, et les podcasteurs, après, pouvaient s’abonner à un prestataire pour que tous les mois, ils lui écrivent quatre résumés d’épisodes, tous les mois, le monteur lui fasse quatre montages, etc. Aujourd’hui, Scribecast n’est que du texte, la plateforme We Love Podcast tourne toujours pour des contenus plus poussés, ou alors faits par l’humain en tout cas, et pour du mixage et du montage audio, mais les deux sont complètement cohérents l’un et l’autre. Est-ce qu’il y a des certifications ou des diplômes dans l’univers du NoCode ? Il y a des certifications, des diplômes non, en tout cas pas reconnus par l’État, mais il y a des certifications d’école NoCode, comme chez Otto. Otto a une certaine réputation, le fondateur de Bubble, Emmanuel, qui aux États-Unis est et aussi présent dans cet écosystème français, notamment avec Otto. Il y en a plein maintenant qui s’y sont mis pour former les gens sur du Bubble ou d’autres logiciels. Moi, c’est ma spécialité, donc je ne parle que de Bubble et de Make. Mais oui, tu peux avoir des certifications. Bubble a sorti lui-même ou elle-même sa propre certification pour pouvoir certifier que les bubblers sont à certains niveaux. Sur Make, j’ai suivi aussi des formations diplômantes, enfin diplômantes certifiantes chez Contournement, donc j’ai des certificats niveau 1, niveau 2, niveau 3, etc. en tout cas, ceinture blanche, noire, bref, chez Contournement, c’est des ceintures. Et j’ai aussi des certifications qui sont émises par Make. Chez Make, tu peux te former. Tu as des systèmes de formation chez Make et je me suis formé. Moi, j’ai le level 4 avancé. Ils ont sorti un niveau 5 que je n’ai toujours pas fini par manque de temps. Mais tu peux te former. C’est en tout cas une manière aussi de montrer à tes clients, si tu es freelance, que tu maîtrises au moins la théorie. La pratique, tu le montres avec ton portfolio. Mickaël, ça fait quasiment 30 minutes qu’on parle de no code et en fait je viens de prendre conscience que je fais du no code depuis plus de 10 ans, j’ai envie de te dire, même peut-être 15, parce qu’en fait mon premier site était en WordPress et WordPress finalement c’est du no code. Clairement, ça te permet de monter un site. On parle d’hébergement quand même, parce que ton site, il faut l’héberger, donc il faut que tu prennes un serveur FTP, tu l’héberges sur OVH. Ce n’est pas du code, mais ça fait un peu partie du dev. Là, aujourd’hui, nos codes récentes, ce ne sont que des outils SaaS, et en règle générale, tu ne fais rien à part payer un abonnement. Voilà, c’est la différence. La grosse différence avec les outils qu’on pouvait connaître avant. On est que toi et moi, tu vois, il n’y a personne qui écoute, il n’y a personne qui regarde ce podcast ou cette interview. Qu’est-ce que tu penses sincèrement de Shubham Sharma ? J’aime bien, j’aime bien, en plus il est sympa, pour l’avoir rencontré en vrai à deux reprises, il est sympa en plus, donc c’est quelqu’un de passionné et qui sait transmettre, qui est très pédagogue, il fait des belles vidéos, il se casse la tête pour faire du beau contenu, donc j’aime bien. Après il y a tout, à la base il était beaucoup orienté productivité, Le NoCode est arrivé ensuite. Entre les deux, il y a eu du Notion. Il était très fan de Notion. Comment je peux avoir un deuxième cerveau et mettre tout ce que j’ai en tête sur du Notion ? Et après, il a connecté l’API Notion à du Zapier, etc. Le NoCode s’est invité là-dedans. Donc effectivement, c’est une personne qui est connue et reconnue dans l’univers productivité de NoCode. Mais je ne pense pas que ce soit Shubham qui va pouvoir te créer une marketplace avec du Bubble ou du Moodle. Lui, il est plus orienté sur des automatisations et de la productivité. Mais j’aime bien ses contenus. Effectivement, il est très connu parce qu’il est très visible. Alors c’est top, merci pour cette magnifique transition, parce que j’aimerais vraiment qu’on parle maintenant un petit peu de contenu. Et ma première question, c’est pourquoi, en fait, il faut créer du contenu ? Bah d’être vu tout simplement, de pouvoir soit montrer ce que tu sais faire, soit faire découvrir ce que tu fais. En fait, on va parler de découvrabilité. Si tu restes dans ton coin, si tu postes pas sur LinkedIn, si tu mets pas des vidéos sur YouTube, si tu crées pas des stories, personne va te connaître, personne te voit. Donc potentiellement, ton talent n’est pas connu des gens et les gens ne vont pas faire appel à toi en tant qu’expert ou personne maîtrisant un sujet. Donc le fait de poster, le fait de faire des vidéos, le fait de pouvoir faire plein de choses en termes de contenu sur du multi-canal va te permettre de pouvoir améliorer ta découvrabilité en tant que personne, donc on parle de personal branding. J’ai commencé comme ça aussi un petit peu sur LinkedIn. Je ne suis pas le meilleur en post-LinkedIn. Je n’arrive pas à poster tous les jours comme certains le disent, etc. Mais c’est vrai qu’à travers mes post-LinkedIn, j’ai eu pas mal d’opportunités. Et toi, à titre perso, sur quelle plateforme tu es le plus actif ? Sur LinkedIn. J’ai beaucoup de mal à faire des vidéos, à me mettre en visu sur YouTube, etc. Ça serait bien, mais je suis plutôt présent sur LinkedIn. Ce qui n’est pas la meilleure des choses, parce que LinkedIn, tu postes du contenu, il est visible à un moment donné, et après, tu es plus visible. Là où sur du YouTube, un peu comme un blog avec des articles, sur YouTube, tu es là, et tu as tes vidéos qui sont là et qui sont présentes. C’est pour moi le gros problème de toutes les plateformes de réseaux sociaux, c’est que tu es dans une roue infinie, tu dois constamment créer du contenu, sinon tu es invisible, et c’est la grosse différence avec le SEO. avec le blogging, avec YouTube, etc. Ou même peut-être le podcast. Donc clairement, pour moi, c’est quelque chose sur lequel je préfère axer sur 2024, parce que depuis quelques années maintenant, j’ai beaucoup misé sur Insta. Et en fait, j’ai arrêté de publier il y a quelques mois sur Instagram. Et le robinet s’est complètement arrêté. Oui, parce que très vite, tu redeviens invisible. Est-ce que tu penses que la création de contenu a changé sur LinkedIn peut-être depuis quelques années ? Ouais, avant sur LinkedIn, moi je l’ai connu LinkedIn en 2011-2012. Clairement c’était pour moi le concurrent de via.do à l’époque, tu postais 2-3 trucs, tes expériences et c’est tout. Maintenant ça a été Game Changer, dès lors que les gens ont compris qu’ils pouvaient devenir des sortes d’influenceurs. et de poster du contenu avec du copywriting, c’est devenu quasiment un art. Il y a des formations sur LinkedIn, comment poster, comment écrire, donc oui, ça a beaucoup, beaucoup changé, alors qu’au tout début, c’était plus, tiens, on participe à un événement, on fait ceci, on fait cela, et on n’amenait pas les gens à faire beaucoup de commentaires, on n’amenait pas les gens à rentrer dans le débat. Là, clairement, aujourd’hui, c’est ce qu’il faut faire. Mais au-delà de ça, c’est aussi se construire une audience. Si tu veux vendre quelque chose, c’est bien de le montrer, mais si tu ne dresses pas ton message à la bonne audience, ça sert à rien. Donc il faut aussi que tu puisses être en relation avec des personnes proches. En tout cas, ta cible, c’est comme ça qu’on appelle ces gens-là, c’est la cible. Il faut que ta cible soit dans ton réseau proche, parce que le contenu que tu vas créer, ça sera pour cette cible-là. C’est un peu le système du Tofu, Mofu, Bofu. Tu vas posséder des contenus, ok, en mode tofu pour tout le monde, et après tu vas descendre en mode mofou pour pouvoir les convertir sur une newsletters parce que c’est ta cible, elle t’aime bien, elle te suit, donc elle va te suivre ailleurs que sur LinkedIn via une newsletters par exemple. Et après, voilà, beau fou. Dans la newsletters, tu vas parler potentiellement d’une formation que tu vas sortir, tu en parles aussi forcément sur LinkedIn, tu vas amener d’autres personnes, mais c’est comme ça que tu fonctionnes, c’est via cet entonnoir-là. Est-ce que tu peux me parler rapidement du multiformat, en gros du recyclage du contenu sur différentes plateformes, dans différents formats, etc.? ? Ouais. Moi, au début, le recyclage, ça ne me parlait pas du tout, et j’ai découvert ça via un podcast que j’écoutais, qui s’appelait et qui s’appelle toujours Indie Makers, de Martin Donadieu, où il interrogeait des gens comme moi, en fait, qui lançaient leurs propres produits, leurs propres sasses, et qui en vivaient. Alors moi, j’en vivais pas, loin de là, mais qui arrivaient du coup à vivre de leurs propres produits développés en mode solo, des Indie Makers. C’est dans sa newsletters que j’ai découvert qu’il avait la manière de pouvoir aussi récupérer des contenus audio et de les transformer dans sa newsletters en chapitres. Donc, il arrivait à expliquer de quoi il parlait dans son audio, etc. Donc, ça me donnait envie d’écouter. Et c’est aussi dans cette newsletters-là qu’à un moment donné, il a demandé, tiens, je cherche quelqu’un pour écrire des résumés. Qui veut être… Qui veut essayer de le faire ? Donc, je l’ai fait pour lui. Un podcast, deux podcasts, etc. Et en créant les résumés, je me suis rendu compte que, ben, finalement, le résumé, c’est propre à Spotify, c’est propre à Apple Podcasts, c’est ta description d’épisode, c’est ce qui va te référencer sur les plateformes, c’est ce qui va te permettre d’être trouvé, mais sur la plateforme de recherche de podcast. C’est ce qui va pas te permettre d’être trouvé sur Google. Donc, on s’était dit, il faudrait aussi que tu puisses faire des contenus type articles de blog depuis tes épisodes. Donc, il avait trouvé un rédacteur de contenu qui écrivait des articles de blog. Là où moi, je faisais la transcription, les timelines, etc. pour son podcast, certains faisaient des articles de blog. Il y en avait même un qui faisait son montage, qui était aussi bon en vidéo, et transformait du coup, comme tu le fais aujourd’hui, la vidéo qui était enregistrée de son podcast en vidéo TikTok, en réel, etc. Donc vraiment, il arrivait à repurposer, en anglais c’est le terme, c’est le repurposing, son contenu audio en vidéo, en texte, en SEO, en mots-clés, de différentes manières. Donc c’est vraiment important de faire du multi-canal et surtout ça te permet d’adresser aussi un public qui n’est pas forcément peut-être sur LinkedIn, donc de les adresser sur Instagram avec des shorts. Enfin voilà, il y a plein de manières de faire et d’être présent sur du multi-canal pour adresser différents types avec un même contenu. J’interromps juste cette interview deux secondes pour vous dire que vous pouvez vous inscrire sur cockpitlab.io.com. C’est gratuit. Vous allez avoir plein de membres sur lesquels vous allez pouvoir vous appuyer pour répondre à vos questions. de e-commerce, de Amazon FBA, de Shopify, de WooCommerce et même de SEO ou de NoCode. Donc, c’est entièrement gratuit. L’idée, c’est simplement de partager un maximum entre nous afin qu’on évolue et devienne meilleur dans ce qu’on fait. Le lien est juste en description ou. Alors encore une fois, c’est cockpitlab.io slash mastermind. Alors, partant de ce constat, pourquoi est-ce que les créateurs de contenu ne le font tout simplement pas ? Ça demande du temps, tout simplement. Si je garde l’exemple du podcast, déjà, enregistrer, créer un podcast, ça prend du temps, parce qu’en amont, t’as ton… déjà, t’as préparation d’épisodes à faire, trouver les invités, préparer l’épisode avec les invités, trouver des questions à lui poser, s’informer sur ce qu’il fait avant. Derrière, après, toi, par exemple, là, t’auras certainement du montage à faire, donc ça prend du temps. Donc, s’amuser à écrire, aussi, écrire, c’est un art. Donc, si t’as pas le temps, et en plus, tu sais pas le faire, ben, tu vas pas le faire. Donc tu ne vas pas aller créer un post LinkedIn sur la base de ton podcast. Tu ne vas pas aller créer un short ou un réel sur la base de ton podcast parce que tu n’auras pas le temps ou pas la compétence. Mickaël, tu viens de nous partager quand même pas mal d’informations, pas mal de valeurs et pas mal d’expériences sur le NoCode, sur la création de contenu, etc. J’aimerais maintenant qu’on parle un petit peu plus de toi, de ton SaaS, de ton logiciel, de Scribecast. Est-ce que tu peux nous dire exactement c’est quoi ? Scribecast ou Scriptcast. Alors, comme je le disais, quand je faisais de la prestation de service en écriture de contenu pour podcast, résumé, transcription, prise de notes, timeline, chapitrage, tout ce que tu veux, mais à base de podcast, on m’a parlé du fait d’avoir des transcriptions avec des outils de speech-to-texte qui marchaient bien, mais en anglais et pas forcément en français. On m’a parlé du fait de pouvoir, comme on vient de le dire ici, reposter des contenus type post-LinkedIn à la base provenant d’un podcast et de sa transcription. D’où les prises de notes que je faisais. Ça prenait beaucoup de temps. C’était techniquement difficile à faire seul. Donc j’avais gardé ça sous le coude et quelques temps plus tard, ma plateforme WeLovePodcast tombe toujours, mais je l’ai un peu délaissé parce que je suis pas très passionné par ça non plus, c’est pas pour moi un enjeu de business. Mais quand j’ai découvert la capacité, la possibilité aujourd’hui de faire ça directement, je me suis dit tiens, c’est le moment pour moi de créer un SaaS. Donc vraiment un système via abonnement qui te permettra de faire les choses seul en autonomie et rapidement, là où avant il fallait que tu passes par une prestation de service. Donc Scrapecast et SaaS, ça te permet de, tu déposes ton audio, comme on l’a fait tout à l’heure, on va voir le résultat, Tu obtiens ta transcription complète et qualie en français, là où les autres en français, comme là on enregistre sur Riverside, je sais qu’ils font aussi la transcription, mais elle est certainement moins qualie que ce que permet de faire Scrapecast, en tout cas c’est le retour que j’ai de mes clients. Et ensuite tu peux générer à la volée ce que tu veux, un résumé, du chapitrage, des mots-clés SEO pour les moteurs de recherche, Apple Podcasts, Spotify. une idée de contenu, je dis bien une idée et pas un contenu complet d’articles de blog ou de newsletters parce qu’après il faut que tu ajoutes aussi ta patte, il faut que tu amènes aussi du sens à ce qui est écrit mais au moins tu as déjà la structure, tu n’as plus qu’à la compléter et ça permet d’avoir tout ça de manière quasiment instantanée et de manière très rapide pour pas très cher du coup par rapport à une prestation de service. J’ai interviewé mes premiers clients sur WeLovePodcast, l’un d’eux, Alex Colivet, de SAS Connection, m’avait parlé de GPT-3. Il m’avait dit, regarde du côté de GPT-3, on parle de PostLinkedIn depuis tout à l’heure, regarde GPT-3, ils peuvent faire des choses. Mais GPT-3, ce n’était pas ChatGPT. GPT-3 c’était juste une API, seulement les développeurs connaissaient ça. Moi j’ai essayé de m’y mettre, je connaissais pas trop à l’époque, j’ai pas réussi à m’y mettre. Quand ChatGPT est sorti, en novembre de l’année passée, j’ai, enfin il y a un an et demi bientôt, je me suis remis dedans, je me suis dit tiens, il y a une API, il faut que j’essaye de la brancher sur les outils que je suis en train de créer. La transcription je l’ai, maintenant il faut créer du contenu additionnel, je vais essayer de faire ce qu’on m’avait dit en 2021. Donc c’est pour ça que mi-2023, j’ai intégré OpenAI directement, il y en a plein maintenant des outils de ce type là, mais j’ai intégré OpenAI dans Scribecast pour générer des contenus additionnels. Donc c’est comme ça que ça marche, c’est à la base j’ai une transcription et derrière j’en ai des contenus additionnels via des outils d’IA générative, mais derrière après tout est un art de pouvoir avoir le bon prompt aussi qui va te permettre d’avoir le bon résultat. Ok, mais du coup quelle est la cible qui pourrait utiliser Scribecast ? Ma cible au départ, c’était complètement la cible que j’avais dans WeLovePodcast, des créateurs de podcast qui n’avaient pas le temps de faire les choses par eux-mêmes et qui passaient par des prestataires. Au lieu de passer par WeLovePodcast, ils passeraient par Scribecast pour les contenus textes. J’ai découvert qu’il y avait une autre cible, voire deux, ce sont les labels, les maisons de production de podcasts. Dans mes clients, j’ai la chance d’avoir OrsoMedia, qui produit une vingtaine de podcasts, donc tous ne passent pas par Scriptcast, mais une bonne partie, et OrsoMedia utilise cet outil pour avoir des transcriptions, justement, parce que derrière, ils aiment bien avoir aussi les sous-titres pour les vidéos, enfin au moins ils ont du contenu texte. ils utilisaient un outil interne et quand ils ont testé, Christopher a testé le CEO Scribecast, il m’a dit ton outil au niveau de qualité de transcription, il est meilleur que ce que j’utilise aujourd’hui, donc je vais te prendre un abonnement. Donc directement il a pris un abonnement pour une année, ça c’est cool. Et troisième cible du coup, ce sont les podcast managers. Il y a beaucoup maintenant de gens qui sont podcast managers, à la base qui étaient et qui sont encore des assistants virtuels, assistantes aussi, virtuelles, et qui ont beaucoup, pour la plupart maintenant, ce rôle d’assistante pour des podcasters, un peu comme je faisais moi-même avant, sans l’être, et qui ont le rôle de pouvoir créer du contenu pour les podcasts, pour améliorer la découvrabilité d’un épisode, d’un podcast, etc. Et donc, elles-mêmes, ou eux-mêmes, pour gagner du temps, utilisent Scriptcast. En tant que développeur de ton logiciel, enfin plutôt en tant que no-coder de ton logiciel SAS ScriptCast, ça a été quoi les plus grosses galères à ce développement ? Pour moi, la plus grosse galère, ça a été les limites qu’avait par exemple le Poney High au départ. Moi, je voulais intégrer Whisper pour faire de la transcription. Je faisais mes tests, ça marchait. Je prenais des petits audios de 10 minutes, des petits podcasts, ça marchait très bien. Mais quand j’ai mis un épisode de plus de deux heures de Matthieu Stéphanie de Génération de YouTube Self, ça a planté. Là, Whisper m’a dit « Non, non, ça ne marche pas. Ton épisode, il doit faire 25 mégas maximum. Il faut le couper. » Pour le couper, voici un code Python. Ah putain, moi je fais du no code, je suis mal barré. Du coup, j’ai dû trouver d’autres solutions pour faire de la transcription. Après, j’ai eu des limites au niveau de la génération de contenu, parce qu’il faut donner à manger à OpenAI pour sortir un contenu. Donc je devais lui donner la transcription complète, ce qui fait 3 pages, 10 pages, en fonction de ce qu’on se dit dans l’épisode. Et là OpenAI me disait non non, tu as une limite aussi, un certain nombre de tokens à ne pas dépasser. Donc je devais découper ma transcription, excusez-moi pour le micro, découper la transcription en plusieurs morceaux, faire en sorte que les morceaux se chevauchent pour pas que OpenAI fasse un oubli de lien entre un chapitre et un chapitre suivant. Donc j’ai dû passer par ça aussi. Maintenant ça va, il y a des limites beaucoup plus hautes en termes de transcription, de tout ce que tu veux en termes de contenu, de token, etc. Donc ça passe en direct maintenant, ça va beaucoup mieux. Et après c’est des tests, intégration de l’API, test, retest, amélioration des promptes, jusqu’à temps que le résultat soit satisfaisant, que mes premiers bêta-testeurs et premiers utilisateurs me fassent des retours, que je modifie encore un peu les promptes pour avoir des retours plus qualités. Alors ma prochaine question c’est, est-ce que tu as tout développé seul ? Ouais, j’ai pour ce produit voulu m’associer avec quelqu’un qui s’appelle Victor Grandchamp, qui est un ami, mais plutôt sur lui sur la partie Growth, Acquisition, Marketing. Et par contre le produit il n’y a pas touché du tout, même s’il s’est développé sur Bubble, il n’a pas touché du tout au produit. Ça c’est vraiment mon petit kiff à moi de développer des trucs et donc je l’ai gardé pour moi. Ok, mais du coup, j’ai une autre question qui me vient, c’est pourquoi est-ce que tu as développé Scribecast sur Bubble et pas sur un autre outil NoCode ? Parce que c’était un outil que je maîtrisais, je faisais déjà du freelancing sur Bubble et j’avais déjà développé WeLovePodcast aussi, je savais que ça pouvait le faire, en termes d’intégration d’API, c’est assez ouvert et assez facile à faire, donc je savais que ça pouvait le faire. Après, tu peux faire ça sur du Noodle par exemple, ou du WeWeb pour le front avec une base de données externe, en Xano, etc. Mais ça vient complexifier les choses et ralentir dans l’exécution. Déjà que je n’ai pas beaucoup de temps pour développer ScrapeCast, j’ai voulu aller sur un produit que je connaissais et où tout était intégré. On parle de no-code intégré versus du no-code modulé où tu as branché des bouts de no-code ensemble. Et là au moins j’ai mon front, j’ai ma base de données, j’ai les exécutions, tout ça au même endroit. Même si aujourd’hui je commence à en sortir sur du mec. L’argent ça a une importance fondamentale quand on lance un projet, quand on est entrepreneur. Et du coup ma question c’est avec quel budget tu as commencé à développer Scribecast ? 30 euros par mois pour pousser la version live de Scribecast. Quand c’est en version test, c’est gratuit. Et après, c’est mes outils que j’utilise, donc des outils de transcription et de génération de contenu, mais ça, c’est à la consommation. Aujourd’hui, du coup, plus j’ai de clients, plus ça me coûte cher. J’ai un beau petit paquet maintenant à donner à chacun d’eux, mais il faut faire de la marge. Là, la marge, j’ai un prix qui n’est pas cher sur Scribecast et ça ne me permet pas d’avoir une marge qui est quand même bénéficiaire, mais pas ouf non plus. Et voilà, il ne faut pas croire que je m’enrichis grâce à Scribecast, c’est avant tout un business qui me permet de m’amuser. Et combien de temps tu as mis pour développer Scribecast ? Encore une fois, comme WeLovePodcast, ça a été plus long que prévu. Pourquoi ? Parce que je n’y étais pas à plein temps. WeLovePodcast, je l’ai fait en 3 ou 4 mois, alors que tu peux le faire en 3 semaines, clairement. Et Scribecast, pareil, je m’y suis mis en juin et j’ai dû sortir la première version bêta, c’était durant l’été. bêta fermée durant l’été, donc un mois et demi, un mois et demi, deux mois, parce que j’ai fait beaucoup de tests justement et beaucoup de crash tests avec les limites que m’imposaient les outils de transcription et OpenAI. Mais après, une fois que j’avais trouvé comment chanter ces limites-là, j’ai poussé la bêta fermée à mes utilisateurs, bêta testeurs, et après la v1 en septembre. Alors, est-ce que Scribecast a changé, ça a été modifié ? Est-ce que tu as fait concrètement des pivots depuis le lancement de Scribecast ? Le business model a évolué dans le sens où c’était un SaaS par abonnement, tu accédais à tes contenus que tu créais dans ScriptCast avec ton abonnement. Le problème c’est que j’ajoutais des contenus additionnels. Au départ je n’avais que le résumé plus les titres, et après j’ai ajouté le chapitrage, l’article de blog, la newsletter. Et ça, moi, ça me demande des frais supplémentaires, vu que tu génères en continu des contenus sur OpenAI. Derrière, ça me coûte plus cher. Donc au final, le premier plan, il est à 15 euros. Mais si tu génères beaucoup de contenus, moi, ça va me coûter peut-être pour la même chose, le même prix, voire plus. Donc j’ai dû ajouter un système de crédit. Aujourd’hui, ton abonnement te permet d’avoir du temps pour transcrire tes contenus audio. Donc une heure d’audio, ça te décompte 60 minutes sur ton premier plan. Et après t’as des crédits IA pour générer des contenus additionnels. Un résumé c’est un crédit, des titres c’est un crédit, etc. Et tu es limité dans le premier plan à 50 crédits, donc 50 contenus additionnels en gros. Largement de quoi faire pour 4 épisodes par mois, je me suis assuré de ça. Mais ça me permettra après d’ajouter encore d’autres choses plus costaudes, plus gourmandes en crédit. Et surtout, les gens n’avaient pas besoin, pour certains, de générer tous ces contenus additionnels, ils ne voulaient que la transcription. Donc je me suis dit, ce n’est pas logique de faire payer la même chose à des gens qui me demandent beaucoup de ressources versus ceux qui me demandent juste de la transcription. Ouais, c’est clairement toujours une galère le pricing, on imagine quelque chose qui peut correspondre à tout le monde, qui va pouvoir satisfaire l’ensemble de nos clients en fonction des plans tout en étant scalable, mais en même temps peut-être de prendre des choses à la carte, etc. Donc c’est vraiment une belle galère et moi-même j’avais Bien galéré et je m’étais bien pris la tête sur mon logiciel SAS pour les vendeurs Amazon. Clairement, c’est une belle prise de tête, surtout quand on a derrière de la consommation et des ressources qui en dépendent. Là, j’arrive sur de la facturation à la conso, c’est ce que je suis en train de développer. Pour ceux qui ont des petits budgets, des petits besoins aussi en termes d’audio, des petits podcasts, un podcast par mois d’une heure, il ne faut pas prendre un abonnement à 15 euros qui permet d’aller jusqu’à 6 heures. J’en ai eu deux comme ça qui ont une charge, deux clients qui ont une charge parce qu’ils n’ont pas assez de contenu qui leur justifie un investissement mensuel. donc je vais aller sur de la conso à la minute et ce qui permettra pour eux d’avoir des petits montants donc la minute au final le ratio minute va coûter plus cher pour eux c’est toujours pareil un abonnement à la minute ça te coûte x là ça va coûter plus cher mais ils vont pouvoir s’y retrouver pour moins de 10 euros par mois voire 5 euros par mois pouvoir créer leur transcription assez facilement et générer des comptes additionnels Alors avoir. Un bon produit, c’est la base, c’est déjà super, d’accord, mais ensuite il faut des clients. Et comment est-ce que toi tu as fait pour mettre en place des stratégies pour augmenter le nombre d’utilisateurs, le nombre d’inscriptions, de leads, et surtout aussi la notoriété de Scribecast ? C’est le plus difficile, c’est le plus difficile. Clairement, les premiers, je suis allé les chercher à la main, dans mes connaissances, via WeLovePodcast, via mon petit réseau autour du podcasting. Après j’ai attaqué Linkedin, Alamano, Facebook, Alamano. J’envoie des DM, etc. Et c’est ce qui marche le mieux. Mais ça demande du temps. Et moi le temps je ne l’ai plus parce que maintenant j’ai un travail. J’étais freelance, ça me demandait déjà pas mal de temps. Maintenant j’ai un CDI, donc clairement la journée je ne peux plus m’occuper de Skycast et de faire de l’acquisition. Donc entre temps j’avais utilisé des outils d’automatisation justement, d’envoi de DM sur Linkedin, voilà, de demande de connexion. ça marche assez bien, mais ça prend du temps tout de même, et encore une fois, pour moi, il n’y a rien de mieux que d’aller chercher les gens à la mano et d’avoir de l’ultra personnalisé, sinon, si tu envoies des emails, ça marche le coldmailing, ça marche, mais il faut faire des vrais coldmailings, des vraies séquences, chose que je n’ai toujours pas faite. C’est comme ça que ça a marché pour moi, c’est aller chercher les gens à la mano, Après il y a eu du bouche à oreille, après il y a eu des interviews de ce type là, comme on fait aujourd’hui, qui ont fait écho. Je suis dans quatre ou cinq podcasts cette année. Voilà, donc effectivement ça permet d’amener les gens par le bouche à oreille. Après ce qui peut marcher c’est le SEO, mais là il faut un blog, et il y a des blogs que je n’ai toujours pas écrits non plus. Ouais, et du coup c’est quoi les outils que tu utilises au quotidien ? Alors au début j’ai utilisé Wallaxy, anciennement Prospectin, que je connaissais parce qu’avant j’étais sales dans une startup, donc j’utilisais ça pour vendre mon SaaS. Donc j’ai utilisé Wallaxy, demande de connexion, DM, etc. On a tenté avec Victor de faire du call mailing avec Instantly. Instantly qui est très simple d’usage, à paramètres, etc. pour faire du call mailing avec beaucoup, enfin pas de la masse, mais certaines limites quand même quotidiennes d’envoi de mail. Je ne les ai pas reprises depuis. Et là, j’aimerais aller sur des trucs plus puissants que j’utilise aussi dans mon quotidien de SalesOps, dans la boîte où je travaille actuellement, qui sont LGM, donc la Growth Machine. La Growth Machine qui marche très bien, où tu peux intégrer aussi maintenant d’envois de vocaux directement sur LinkedIn automatisés. C’est assez puissant. Et pourquoi pas l’Aimlist pour du call mailing. On n’en parle pas, c’est une vraie galère. Il faut trouver les e-mails. Il y a des combines pour trouver les e-mails, mais il faut encore le temps de pouvoir mettre sa liste d’e-mails au propre, etc. Je me suis construit une sorte de mini CRM aussi pour gérer tous mes contacts, donc il faut être au carré. Mais ça demande du temps, et encore une fois, c’est ce qui me manque le plus aujourd’hui. Je tenais simplement à te remercier pour deux choses et à soulever deux choses. regarder de loin au niveau de tes postes LinkedIn ou des messages que tu pouvais répondre sur des postes LinkedIn d’autres, surtout en relation avec le NoCode. Et en fait, moi je taillais DM avec un petit problème que j’avais et sur une automatisation sur un scénario Make. Et ni une ni deux, tu m’as aidé avec grand plaisir. Alors c’est pas parfait, le scénario n’est pas terminé à 100%, mais en tout cas t’as passé du temps et tu m’as bien débloqué en tout cas et tu m’as absolument rien demandé en retour. Donc ça c’est vraiment quelque chose qui est rare de nos jours je pense. Contrairement à certains qui te demandent un TGM de 700€ avant même d’avoir fait un call avec toi. Le deuxième point que je voulais soulever c’est surtout aussi le fait que, à mon sens, tu es un des seuls que j’ai vu faire ça. Même si tu es toujours entrepreneur à l’heure actuelle, que tu as lancé ton SaaS, etc. tu as annoncé il y a quelques semaines que tu reprenais un taf en tant que salarié, en tant que CDI, enfin un boulot, je ne sais même pas si c’est un CDI en fait, comme sales ops pour une boîte et tu l’as ouvertement dit sur LinkedIn et ça je trouve que c’est plutôt agréable à lire. parce qu’il y en a beaucoup, je pense, qui ne le disent pas ouvertement et qui peuvent être un petit peu enjolives les choses. En tout cas, je voulais encore une fois te remercier pour ces deux points. Merci à toi. Merci beaucoup. Bon, Michael, il nous reste 15 minutes avant la fin de cette interview, avant la fin de ce podcast, avant la fin de cette vidéo YouTube. Ça dépend où est-ce que les gens nous suivent, mais en tout cas, on est disponible partout. Et en tout début de vidéo, en tout début d’émission, début d’interview, On a lancé la magie de Scribecast sur un des épisodes de Yomi Denzel et de Oussama Ammar. Est-ce que tu peux nous montrer ce qu’a fait ton logiciel, ton SaaS Scribecast ? 15 minutes effectivement, parce qu’après j’ai mon boulot qui reprend. J’ai un point d’honneur à être ponctuel sur mes horaires de boulot. Pour moi, mes patrons me font confiance, donc absolument, il faut que je fasse ça en 15 minutes. Alors, je vais te présenter à nouveau l’écran et on va voir le résultat ensemble. Alors l’avantage d’être passé par le flux RSA, c’est qu’automatiquement ça reprend la vignette, la cover de l’épisode et le titre, donc ça t’as pas besoin de les retoucher, et c’est classé dans le podcast, tu vois j’en ai plein là pour mes tests, et c’est classé dans sans permission directement. Donc la transcription elle est là, donc assez quali, avec de la ponctuation, avec tout ce qu’il faut quoi, c’est propre, et tu peux la télécharger ou l’éditer. Avant il fallait tout faire dérouler, t’avais la transcription ici, en dessous t’avais le résumé, etc. Fallait faire défiler la page et scroller Ad vitam aeternam, si tu voulais. Mais maintenant j’ai tout mis en mode ruban et menu ici, c’est beaucoup plus clair. et donc pendant qu’on parlait j’ai cliqué sur les boutons générer pour que ça aille plus vite, mais en gros tu vois c’est ça, ici les idées clés, générer, chapitrage, générer, on va le faire ensemble, ça ça demande deux crédits, ça part, c’est en cours, tu vas avoir le résultat dans un instant. Donc les résumés, en gros ça présente le sujet, ça pose une question sur la thématique, ça présente les invités, de quoi on parle, toujours, il y a toujours trois parties, trois paragraphes avec une question à l’intérieur, c’est plutôt un résumé type description qui va permettre d’accrocher un audita quand il va lire ça sous ton épisode directement, il sait de quoi on parle, qui est là, c’est quoi le sujet, et ok j’embraye sur l’écoute. Les intervenants, c’est la même chose que la transcription mais c’est découpé en intervenants et tu peux aussi éditer les intervenants, moi je ne sais pas si c’est le cas ici mais le premier je vais mettre Ousama, ok, ça va renommer l’intervenant A ici en Ousama, automatiquement, voilà. Et tu peux télécharger ça et modifier les lignes une à une si tu le souhaites. riche texte, donc tu peux ajouter du gras, tout est paramétrable. Les titres, le point noir aujourd’hui de Scriptcase c’est les titres, c’est la première chose que j’ai mis en place avec les résumés. Le prompt est à revoir, je le sais, mais tu as déjà une idée de cinq titres. je vais en mettre plus, et ils seront plus qualis la prochaine, prochainement, c’est aussi un de mes travails en cours. Les mots-clés c’est nouveau en fait, t’as des thématiques, en gros si tu prends là les trois premières lignes, tu vois dans cet épisode on parle business banking, finance, financial industry, personal investing, c’est en anglais, mais c’est les thématiques, les topics que tu peux reprendre, parce que l’épisode parle de ça, et c’est vrai, on parle de crypto, etc. Donc c’est les choses qui ont été détectées ici dans l’épisode, économie, etc. Les mots-clés c’est vraiment des mots-clés qui vont te permettre d’être retrouvé par les auditeurs sur les barres de recherche d’Apple Podcast ou de Spotify. A l’inverse des mots-clés SEO pour Google, c’est pas les mêmes choses. Là c’est vraiment, si je tape blockchain, si je tape cryptomonnaie, si je tape entrepreneuriat, je vais trouver cet épisode. Je peux aller plus loin avec des mots-clés qui sont liés. Par exemple, stratégie d’entreprise, recrutement d’équipe, guerre en Ukraine, c’est tous des sujets qui sont traités mais qui sont pas les thématiques principales de cet épisode. Donc t’as des mots-clés principaux et des mots-clés secondaires qu’il faut mettre dans tes contenus pour être retrouvé facilement dans les barres de recherche. Les idées clés, c’est de quoi on parle, la liquidité, le marketing, la blockchain et l’apprentissage continu, la croissance entreprise et recrutement, de quoi on parle sujet par sujet dans cet épisode et il y a un topo derrière. Ça te permet aussi de rebondir sur un sujet clé, de le mettre en avant dans d’autres contenus type PostLinkedIn, etc. si tu le souhaites. Vraiment d’avoir ça sous les yeux et de pouvoir rebondir. Tu veux parler de changements globaux et de gouvernance, ben voilà. Tu sais qu’à l’intérieur, on parle de la Chine et du déclin potentiel de l’influence occidentale. sans écouter. Chapitrage c’est nouveau aussi, c’est en bêta, c’est gratuit, zéro crédit, on va le faire ensemble, on va le tester. C’est ce qui va te permettre d’avoir ta timeline. J’ai eu du mal à le faire. Avant, je le faisais à la main et on me payait pour ça. Là, en banlieue automatisée, j’avais du mal à le sortir. J’ai enfin réussi. J’espère, on va le voir tout de suite. En attendant, je vais pouvoir aller sur réseaux sociaux. Posts LinkedIn, tweets. Tweets, aujourd’hui, il n’y en a qu’un parce que je pense qu’avec Int, on a assez. Je peux le réécrire en le copiant ou en le téléchargeant, il n’y a pas de souci. Mais pour les posts LinkedIn, ici, j’ai mis un générateur de posts LinkedIn en fonction du type de post. humoristique, informatif, etc. du style de poste qui est différent du type instructif, inspirant, introspectif, de la longueur du poste et du type de vouvoiement, de toutouement. Et ça te permet de générer des contenus comme ça, t’en mets autant que tu veux pour un crédit. Et tu vois là, j’ai un poste LinkedIn écrit avec les codes, les paragraphes, les bullet points, les emojis, des hashtags, voilà, une question. Les codes du poste LinkedIn sont repris ici. On revient dans le chapitrage, ça a marché, on le voit, 0 introduction, 50 conclusions et perspectives, on est bien sur un épisode de 50 minutes et 35 secondes donc ça correspond, et tu peux être quasi sûr que si tu vas sur la 23e minute ici et 47 secondes, t’auras un passage qui parle de l’impact transformateur de la crypto. Pour le coup, ça a bien fonctionné, j’en suis très fier, ça tu peux le prendre tel quel et copier-coller dans Spotify et t’auras ton découpage dans Spotify comme les vidéos YouTube par chapitrage. réseaux sociaux on l’a vu, newsletters, tu peux choisir aussi un type de contenu pour ta newsletters, ça va la générer. Je vais revenir dessus après. Article de blog, il est généré avec les balises H2, H1 pour avoir ton contenu propre HTML orienté SEO pour que Google sache lire ton contenu. Et quand tu cliques ici sur éditer, paf, automatiquement ça le met en page, tu sauvegardes, et voilà, t’as tes titres qui sont beaux, t’as ton grog qui est mis en place, tes italics si tu en as, t’as pas besoin de retoucher beaucoup de choses, et là t’as un contenu type structure d’article de blog que tu peux après convertir si tu veux ajouter plus de texte ou d’images dans ton contenu. La newsletters est toujours en cours, le reste on avait vu. Les SRT et les VTT c’est quoi ? Ah ça y est, la newsletters est prête, pareil, je vais l’éditer. Hop, ça j’enlève. Tac, une belle news haters, ici, sans permission, votre rendez-vous incontournable, on parle de Dubaï, de crypto, des haters, de Poutine, on a des bullet points, on a une question, voilà. C’est assez propre. Les SRT, c’est tout simplement les sous-titres que tu peux mettre sur des shirts ou des réels avec les vidéos en mode, c’est des captions en fait, tu as ton timing, tu télécharges le fichier SRT que tu peux après incorporer à ton audio, ta vidéo. Pareil pour les web VTT, c’est la même chose, mais c’est juste une extension différente, ici. Et Media, je ne sais pas si je vais le faire, j’ai mis bientôt, mais je ne suis pas certain que ça a un sens. On verra. Certains le font. Quelqu’un est en train de copier Scriptcast, en tout cas copier. Il a eu l’idée aussi, il ne connaissait pas Scriptcast à la base, je sais qu’il a pompé 2-3 trucs maintenant. Il fait ça aussi, mais est-ce que clairement ça a du sens, je ne sais pas. Parce que là, il y a beaucoup d’outils qui le font gratuitement, type Headliners, etc. Tu vas sur Headliners, tu mets ton épisode et ça te sort la jaquette avec tes sous-titres ici, ta vidéo, ton son. Voilà, je fais un petit plus si je le fais, ça sera bien, sinon c’est pas bien grave. Il y a d’autres choses qui vont venir, mais… Il y a d’autres choses qui vont venir, qui seront autres que du contenu texte, qui seront plus sur de la gestion. Mais je ne veux pas trop en parler tout de suite, parce que comme je viens de le dire, il y en a qui copient maintenant, savent le faire, savent utiliser l’outil NoCode, savent qu’il y a un potentiel marché, donc arrivent aussi à me concurrencer, ça va vite en NoCode, c’est ça l’inconvénient. Ça va vite, c’est pour se faire rattraper. Donc je vais essayer de garder une longueur d’avance, je vais essayer de me différencier. ça passe par le pricing, on l’a vu, je ne suis pas cher, je suis moins cher du marché, on va avoir du pricing à la minute aussi, donc à l’usage réel, et toute une partie gestion et automatisation qui va venir encore s’intégrer dessus, et ça c’est ce que j’aime aussi, et je vais intégrer du make à gogo pour avoir des contenus additionnels, en tout cas de la gestion. Comme tu as pu le faire là, tu m’avais envoyé un notion avec des contenus, des scripts, etc., des questions en amont, demain tu vas peut-être me proposer des contenus à poster sur LinkedIn, etc., donc tout ça, ça va faire partie de ScriptCast dans les prochains mois. Magnifique démo et magnifique travail de ton logiciel surtout quand on pense que tout a été fait en no code donc c’est vraiment exceptionnel et pour tous ceux qui nous écoutent sur Spotify ou sur Apple Podcast je vous invite à aller voir la vidéo sur YouTube pour voir justement cette démo donc voilà Michael, est-ce que pour tous ceux qui sont arrivés jusqu’à la fin de cette interview et qui sont plutôt chauds à utiliser Scribecast, et pour moi en tout cas ils devraient l’être, en tout cas moi personnellement je suis conquis et je l’utilise personnellement, mais est-ce que pour mes auditeurs, est-ce que pour ceux qui suivent Cockpit Lab, est-ce que tu pourrais offrir un petit cadeau ? Oui, je vais offrir un mois offert supplémentaire. Pourquoi ? Parce que quand vous vous inscrivez sur la plateforme, vous avez déjà 15 jours d’essai gratuit avec 1h30 d’audio et 5 crédits IA. Mais si vous voulez aller plus loin, si vous dépassez ce quota ou si vous voulez dépasser les 14 jours après l’essai, Vous aurez un mois offert à la solution Scrapecast avec le code que tu leur remettras, qui pourrait être CodePilotLab50, etc. Il y a tout un tas de codes qui permettra de faire ça, mais on vous le donnera. En tout cas, vous aurez un mois offert. C’est top, merci beaucoup encore Mickaël pour tout ce que tu as partagé durant cette vidéo, durant cette interview et encore une fois je te remercie vraiment et j’espère que cet épisode a plu à tous nos auditeurs donc voilà encore une fois merci et à très bientôt. Merci beaucoup à toi, à bientôt, ciao.