Introduction à l'interview SEO + Blogging Pro avec Vincent Brossas
Tu es passionné par le SEO et le blogging ? Eh bien, tu es au bon endroit ! Aujourd’hui, nous allons plonger dans une interview fascinante avec Vincent Brossas, un expert en SEO. Vincent, c’est ce genre de personne qui peut transformer un simple passe-temps en une machine à cash. C’est un money maker avec des mots SEO comme son blog : Média et Veille marketing digital
Imagine-toi en train de gagner 250 000€ par an simplement grâce à ton blog. Tentant, non ? Allez, voyons comment il a fait. Si tu ne veux pas lire l’article complet, alors regarde / écoute l’interview sur Youtube ou Spotify.
Présentation de Vincent Brossas
Vincent Brossas, c’est un peu le James Bond du SEO et du blogging. Son parcours est à la fois inspirant et impressionnant. Avant de devenir un expert en SEO et en blogging pro, Vincent a parcouru un chemin semé d’embûches, mais aussi de découvertes passionnantes. Il a débuté avec une simple curiosité pour le web et a fini par dompter les algorithmes de Google. Aujourd’hui, il partage avec nous ses secrets pour réussir dans le blogging pro. Son expérience et son savoir-faire sont le résultat de nombreuses années de travail acharné, de formation continue et de passion.
Parcours et expérience en SEO
Vincent n’est pas né avec une souris et un clavier entre les mains. Non, son parcours est plutôt une succession d’aventures et de découvertes. Tout a commencé avec une curiosité insatiable pour le web. Après avoir découvert le SEO lors d’une formation à Bangkok, Vincent a plongé tête la première dans ce monde fascinant. Imagine-toi, jeune, dans une ville exotique, apprenant les secrets des moteurs de recherche. C’est un peu comme un film d’aventure, sauf qu’au lieu de trouver un trésor caché, tu trouves des moyens de booster le trafic de ton site web.
Transition vers le blogging pro
Mais le SEO c’était que le début. Vincent a rapidement réalisé que combiner SEO et blogging pouvait être explosif. Passer du SEO au blogging pro, c’était comme passer de la conduite d’une voiture à la conduite d’une Ferrari. Plus de vitesse, plus de sensations, et surtout, plus de revenus. Il a commencé à créer des blogs de niche, optimisés aux petits oignons pour les moteurs de recherche, et les résultats ne se sont pas fait attendre.
Débuter dans le blogging pro
Le blogging pro, c’est un monde fascinant où chaque clic peut se transformer en euros. Mais avant d’atteindre les sommets, il faut bien commencer quelque part. Et qui de mieux que Vincent Brossas pour nous guider dans nos premiers pas ? Débuter dans le blogging pro, c’est comme partir à l’aventure : il faut de la préparation, du courage et un bon guide. Vincent a commencé modestement, mais avec une stratégie bien définie et une envie de réussir à toute épreuve. Suivons ses conseils pour faire de même.
Comment Vincent a découvert le SEO et le blogging pro
Pour Vincent, tout a commencé avec une formation à Bangkok. Imagine-toi dans cette ville dynamique, où l’innovation est à chaque coin de rue. C’est là que Vincent a eu son premier déclic pour le SEO. Ce stage à Bangkok était plus qu’une simple expérience professionnelle : c’était une véritable révélation. Vincent y a découvert les rouages du SEO et a été immédiatement captivé. Il a ensuite plongé dans le blogging, voyant le potentiel énorme qu’il représentait. Cette découverte a marqué le début d’une aventure passionnante qui l’a conduit au succès.
Formation et premier stage à Bangkok
Alors, comment tout a commencé pour Vincent ? Eh bien, figure-toi qu’il a décroché son premier stage à Bangkok. Oui, Bangkok, cette ville vibrante où la technologie et l’innovation sont en effervescence et les règles d’hygiène douteuses… C’est là qu’il a fait ses premiers pas dans le SEO. C’était un peu comme un baptême du feu : intense, passionnant et, surtout, formateur. Chaque jour, il apprenait quelque chose de nouveau, quelque chose qui le rapprochait de son rêve de devenir un pro du blogging.
Première expérience professionnelle et auto-formation
Après son stage, Vincent ne s’est pas reposé sur ses lauriers. Il a continué à se former, à lire, à expérimenter. L’auto-formation est un élément clé pour quiconque veut exceller dans le blogging pro. Et Vincent l’a bien compris. Il a passé des heures à analyser des sites, à tester des stratégies SEO, à affiner ses compétences. Cette soif de connaissance, cette envie de toujours faire mieux, c’est ce qui fait de lui un expert aujourd’hui.
Stratégies de blogging pro
Vincent Brossas n’a pas juste découvert le SEO et le blogging pro, il a développé des stratégies qui font de lui un maître en la matière. Pour réussir dans le blogging pro, il ne suffit pas de créer du contenu, il faut aussi savoir comment le rendre visible et attractif. Vincent utilise une combinaison de techniques SEO avancées, d’analyse de données et de créativité pour optimiser ses blogs. Sa stratégie repose sur une recherche approfondie des mots-clés, la création de contenu de qualité et la mise en place de backlinks solides. En suivant ses conseils, tu peux toi aussi transformer ton blog en une véritable machine à cash.
La création de sites rentables
La création de sites rentables, c’est tout un art, et Vincent en est le maestro. Un exemple emblématique de son succès est le site lepetitdrone.fr. Grâce à des techniques SEO pointues et un contenu de qualité, ce site est devenu une véritable mine d’or. Vincent met l’accent sur l’importance de choisir des niches rentables et de créer du contenu qui répond aux besoins spécifiques des utilisateurs. En optimisant chaque aspect de son site, il a réussi à attirer un trafic massif et à générer des revenus conséquents. Suivre cette méthode peut transformer n’importe quel site en une source de revenus stable.
Exemple de succès avec le site lepetitdrone.fr
Vincent n’est pas du genre à garder ses secrets pour lui. Il partage volontiers ses succès, comme celui du site lepetitdrone.fr. Ce site, c’est un peu son bébé, son chef-d’œuvre. En utilisant des techniques SEO pointues et en créant du contenu de qualité, il a réussi à transformer un simple site de niche en une véritable mine d’or. Les visiteurs affluent, les revenus publicitaires explosent, et tout ça, grâce à une stratégie bien ficelée.
Techniques SEO appliquées par Vincent
Pour atteindre de tels résultats, Vincent utilise une panoplie de techniques SEO. Optimisation des mots-clés, backlinks de qualité, contenu pertinent… tout y passe. Mais ce qui fait vraiment la différence, c’est sa capacité à anticiper les tendances et à s’adapter rapidement aux changements d’algorithmes de Google. C’est un peu comme un jeu d’échecs où il faut toujours être deux coups d’avance.
Approche de diversification des sites de niches
Diversifier ses sources de revenus, c’est la clé pour éviter les mauvaises surprises. Vincent gère environ 40 000 sites, un exploit qui repose sur une organisation minutieuse et une stratégie de diversification bien pensée. En diversifiant ses sites, Vincent peut lisser les fluctuations de revenus et minimiser les risques. Chaque site cible une niche spécifique, ce qui permet d’attirer un public varié et de maximiser les opportunités de monétisation. Cette approche offre une stabilité financière et ouvre de nouvelles perspectives de croissance.
Avantages de diversifier les sources de revenus
L’un des secrets de Vincent, c’est la diversification. Ne jamais mettre tous ses œufs dans le même panier. C’est un fondamental de l’investissement, mais il faut le rappeler. Je t’invite à lire la Newsletter de Snowball sur les finances personnelles.
En gérant plusieurs sites, il peut lisser les fluctuations de revenus et minimiser les risques. C’est une stratégie que tu devrais absolument adopter si tu veux réussir dans le blogging pro.
Cas de la gestion de 40 000 sites
Oui, tu as bien lu. Vincent gère environ 40 000 sites. Comment fait-il ? Avec une organisation à toute épreuve et une équipe de confiance. C’est un travail colossal, mais les récompenses sont à la hauteur de l’effort. Si lui peut le faire, pourquoi pas toi ?
Les défis et les opportunités du blogging pro
Le blogging pro n’est pas un long fleuve tranquille. Il y a des défis, bien sûr, mais aussi des opportunités incroyables. L’un des plus grands défis est de rester à jour avec les constantes évolutions des algorithmes de Google. Mais chaque mise à jour apporte aussi son lot d’opportunités pour ceux qui savent s’adapter rapidement. Vincent nous montre qu’avec une veille constante et une capacité à pivoter, on peut transformer ces défis en opportunités. Le blogging pro offre une liberté créative et financière inégalée pour ceux qui savent comment en tirer parti.
Importance de la veille SEO
Rester à la pointe du SEO, c’est un travail de tous les jours. La veille SEO est cruciale pour maintenir tes sites en bonne santé et pour rester compétitif. Vincent passe des heures à analyser les dernières mises à jour de Google, à tester de nouvelles techniques et à ajuster ses stratégies en conséquence. C’est un peu comme être un détective du web, toujours à la recherche du prochain indice qui te permettra de devancer tes concurrents. En restant informé et en adaptant tes stratégies, tu peux garder une longueur d’avance dans le monde du blogging pro.
Se tenir informé des dernières mises à jour de Google
Le SEO, c’est un peu comme la mode : ça change tout le temps. Pour rester au top, il faut se tenir informé des dernières mises à jour de Google. C’est un travail de tous les jours, mais c’est indispensable pour maintenir tes sites en bonne santé.
Ajustements et adaptations nécessaires
Chaque mise à jour peut impacter ton trafic. C’est pourquoi il est crucial de faire des ajustements et des adaptations en continu. Un bon blogueur pro doit être réactif et savoir pivoter rapidement.
Les erreurs à éviter en SEO
En SEO, il y a des erreurs qui peuvent coûter cher. Vincent insiste sur l’importance de ne pas négliger les aspects techniques de ton site. Une mauvaise optimisation peut ruiner tous tes efforts. La vitesse de chargement, la structure du site, la sécurité… tous ces éléments doivent être impeccables. De plus, il faut éviter le contenu de faible qualité et les pratiques de black hat SEO qui peuvent entraîner des pénalités de Google. En apprenant de ces erreurs et en adoptant de bonnes pratiques, tu peux maximiser tes chances de succès.
Importance de ne pas négliger les aspects techniques
Un blog réussi, ce n’est pas seulement du bon contenu. Il faut aussi s’assurer que la partie technique soit irréprochable. Vitesse de chargement, structure du site, sécurité… tout compte. Ne néglige rien si tu veux maximiser tes chances de succès.
Stratégies de contenu et d'acquisition de trafic
Enfin, une bonne stratégie de contenu et d’acquisition de trafic est essentielle. Il ne suffit pas de créer du contenu, il faut aussi savoir le promouvoir. Utilise les réseaux sociaux, les newsletters, et n’hésite pas à faire des partenariats pour booster ta visibilité.
Conclusion et conseils pour réussir dans le blogging pro
Pour réussir dans le blogging pro, il faut plus que des compétences techniques : il faut de la passion, de la persévérance et une bonne dose de stratégie. Vincent Brossas nous montre que tout est possible avec la bonne attitude et les bons outils. Entoure-toi de personnes positives, continue de te former et ne perds jamais de vue tes objectifs. Utilise des outils comme scrybecast pour optimiser tes podcasts et explore notre formation Amazon FBA IMPACT pour dominer le SEO Amazon. Avec ces conseils, tu es prêt à conquérir le monde du blogging pro.
L'importance de la passion et de la persévérance
La passion et la persévérance sont les moteurs du succès de Vincent. Sans passion, il est difficile de surmonter les obstacles et de rester motivé. La persévérance, quant à elle, te permet de continuer même quand les choses deviennent difficiles. Vincent nous rappelle que chaque défi est une opportunité de grandir et d’apprendre. Il faut aimer ce que l’on fait et ne jamais abandonner, même lorsque les résultats tardent à venir. Avec cette mentalité, tu peux accomplir de grandes choses dans le blogging pro.
Témoignage de Vincent sur sa motivation
Pour réussir, il faut être passionné et persévérant. Vincent le dit souvent : sans passion, tu n’iras pas loin. C’est cette flamme qui te permet de surmonter les obstacles et de continuer même quand c’est difficile.
Comment rester motivé malgré les défis
Les défis ne manqueront pas. Mais avec la bonne attitude, tu peux les transformer en opportunités. Entoure-toi de personnes positives, continue de te former, et surtout, ne perds jamais de vue tes objectifs.
Les prochaines étapes pour les aspirants blogueurs pro
Si tu es prêt à te lancer dans le blogging pro, commence petit mais pense grand. Utilise un budget limité pour tester tes idées, optimise ton temps et profite des nombreuses ressources gratuites disponibles en ligne. Continue de te former, expérimente de nouvelles stratégies et ajuste tes plans en fonction des résultats. Et surtout, n’oublie pas de t’amuser dans ce processus. Le blogging pro peut être extrêmement gratifiant si tu y mets du cœur et de l’engagement. Bonne chance, et que l’aventure commence !
Se lancer avec un budget limité
Tu n’as pas besoin de millions pour te lancer. Avec un budget limité et une bonne stratégie, tu peux déjà faire des miracles. Commence petit, teste, ajuste, et grandis progressivement.
Utiliser les ressources gratuites et optimiser son temps
Enfin, utilise les ressources gratuites disponibles sur le web. Il y a une mine d’informations à portée de clic. Et surtout, optimise ton temps. La productivité est clé pour réussir dans le blogging pro.
Voilà, tu as maintenant toutes les clés en main pour te lancer dans le blogging pro. Et si tu cherches des outils pour t’aider, ne manque pas de jeter un œil à scrybecast pour optimiser tes podcasts, ou à notre formation Amazon FBA IMPACT pour dominer le SEO Amazon. Bonne chance, et surtout, amuse-toi bien !
Vous êtes-vous déjà demandé comment certains blogs peuvent générer des revenus impressionnants, atteignant jusqu’à 250 000 euros par an ?
Dans cet épisode de CockpitLAB, nous explorons les secrets du succès dans le monde du blogging et du SEO avec notre invité, Vincent Brossas. Préparez-vous à découvrir des stratégies éprouvées pour optimiser votre blog, attirer du trafic et transformer votre passion en une source de revenus substantielle.
Vincent Brossas est un expert en SEO avec plus de dix ans d’expérience dans le domaine. Jeune papa et entrepreneur, Vincent a su combiner son emploi salarié avec ses projets personnels pour se spécialiser dans ce qu’il appelle le “blogging business”. Il a également lancé une formation seo pour aider d’autres professionnels à se lancer dans ce secteur, prouvant que le blogging est loin d’être mort et qu’il a encore de beaux jours devant lui.
Dans cet épisode, Vincent partage des conseils pratiques pour améliorer votre blog et votre référencement naturel. Il explique comment il a commencé avec un budget limité et a progressivement construit un empire en ligne. Vous apprendrez également comment diversifier vos sources de revenus, que ce soit par la publicité, l’affiliation, ou des partenariats directs avec des marques. Vincent insiste sur l’importance de voir votre blog comme une véritable entreprise et de ne jamais cesser de vous former et d’investir dans votre propre développement.
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- Stratégie de contenu
- Optimisation pour moteurs de recherche
- Conseils SEO
- Monétisation de site web
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- Revenus passifs
- Réussite en ligne
- Formation SEO
- Acquisition de trafic
L’importance de se lancer et de persévérer en SEO
Il est crucial de se lancer dès maintenant et de ne pas attendre. La persévérance et le fait de ne jamais abandonner sont les clés du succès. Ceux qui réussissent sont ceux qui passent à l’action et apprennent de leurs erreurs.
Diversification des sources de revenus en SEO
Pour sécuriser ses revenus et maximiser ses gains, il est essentiel de diversifier ses sources de revenus. Cela inclut l’affiliation, la publicité display, les partenariats directs, le consulting, et bien plus encore.
Choisir la bonne niche pour ton blog
Sélectionner une niche rentable est fondamental. Il faut analyser la concurrence, utiliser des outils de mots-clés comme Google Keyword Planner et Ubersuggest, et s’assurer que la niche choisie a un potentiel de monétisation.
Penser à l’internationalisation de ton blog
Ne pas se limiter au marché français. L’internationalisation peut décupler les opportunités de revenus. Penser dès le début à une stratégie globale et à la possibilité de cibler plusieurs langues et marchés.
Créer du contenu de qualité et penser SEO
La création de contenu de qualité est essentielle. Il faut planifier une stratégie de contenu basée sur des analyses de mots-clés et des intentions de recherche, tout en s’assurant que le contenu est utile et pertinent pour les utilisateurs.
Collecte et nurturing des leads pour ton business SEO
La collecte des emails et le nurturing des leads sont cruciaux. Être propriétaire de son audience permet de ne pas dépendre uniquement des plateformes comme Google ou les réseaux sociaux pour la visibilité.
Penser son blog comme une entreprise
Ne pas voir son blog comme un simple passe-temps, mais comme une véritable entreprise. Cela implique de structurer son activité, de prospecter, d’investir dans des formations et des outils, et de toujours chercher à améliorer ses compétences.
Mesurer et ajuster ses efforts SEO avec des Kpis
Utiliser des objectifs clairs et mesurables (OKR) pour piloter son activité. Cela permet de rester concentré sur ses priorités et d’ajuster ses efforts en fonction des résultats obtenus.
Ces insights offrent une feuille de route claire pour ceux qui souhaitent réussir dans le blogging et le SEO, en mettant en avant l’importance de l’action, de la diversification, et de la qualité du contenu.
Bienvenue sur le blog de CockpitLAB ! Aujourd’hui, nous avons le plaisir de vous présenter un épisode exceptionnel de notre podcast avec Vincent Brossas, un expert du SEO et du blogging. Si vous cherchez à améliorer votre référencement naturel et à monétiser votre blog, cet épisode est fait pour vous.
Présentation de Vincent Brossas
Dans cet épisode, nous accueillons Vincent Brossas, un professionnel du SEO avec plus de 10 ans d’expérience. Vincent est spécialisé dans ce qu’il appelle le “blogging business”, une approche qui ne se concentre pas uniquement sur l’acquisition de trafic, mais aussi sur la génération de revenus à partir de ce trafic. En cumulant salariat et entrepreneuriat, Vincent a réussi à créer un blog qui rapporte plus de 250 000 euros par an.
Vincent partage également son parcours, depuis ses débuts en tant que stagiaire dans une agence digitale à Bangkok jusqu’à son retour en France où il a rapidement trouvé un emploi grâce à ses compétences en SEO. Il a même référencé son propre CV pour décrocher son premier poste de chef de projet SEO.
Les fondamentaux du blogging Pro et du SEO
Dans cet épisode, Vincent explique comment il a appris le SEO et le blogging de manière autodidacte. Il insiste sur l’importance de la veille constante et de l’auto-formation pour rester à jour dans ce domaine en constante évolution. Voici quelques points clés abordés :
- L’importance de choisir la bonne niche
- Comment créer un site WordPress et le configurer pour le SEO
- Les techniques de monétisation, y compris l’affiliation, la publicité display, et les partenariats sponsorisés
- Pourquoi il est crucial de diversifier ses sources de revenus.
Choisir la bonne niche
Vincent explique que le choix de la niche est crucial pour le succès d’un blog. Il recommande de faire une analyse de mots-clés pour identifier les opportunités et de choisir une niche qui vous passionne. Il partage également des astuces pour évaluer la concurrence et déterminer le potentiel de rentabilité d’une niche.
Créer et configurer un site wordpress
Vincent recommande l’utilisation de WordPress.org pour créer un site. Il explique comment choisir un thème premium et configurer le site pour le SEO. Il insiste sur l’importance d’avoir un site techniquement solide pour faciliter l’indexation par les moteurs de recherche.
Techniques de monétisation
Vincent détaille plusieurs techniques de monétisation, notamment :
- Affiliation : Diriger du trafic vers des sites tiers et gagner des commissions sur les ventes
- Publicité Display : Utiliser des réseaux publicitaires comme Google AdSense pour afficher des annonces sur votre site.
- Partenariats Sponsorisé : Travailler directement avec des marques pour des articles sponsorisés et d’autres formes de contenu sponsorisé.
La stratégie de diversification
Vincent souligne l’importance de diversifier ses sources de revenus pour minimiser les risques. Il partage son expérience personnelle en expliquant comment il a diversifié ses activités en lançant des logiciels SaaS et en proposant des formations en ligne. Il insiste sur le fait que la diversification permet de stabiliser les revenus et de réduire la dépendance à une seule source de trafic ou de revenu.
Exemples concrets de diversification
Voici quelques exemples concrets de diversification que Vincent a mis en place :
- Consulting SEO : Offrir des services de consulting à d’autres entreprises.
- Formation en ligne : Lancer des cours et des formations en SEO et blogging.
- Logiciels SaaS : Développer et commercialiser des logiciels en tant que service.
Conseils pour les débutants
Pour ceux qui débutent, Vincent recommande de se concentrer sur un seul site et de maximiser ses efforts sur celui-ci. Il partage également des conseils sur la gestion du temps et l’importance de fixer des objectifs clairs. Voici un résumé des étapes pour réussir :
- Choisir la bonne niche : Faire une analyse de mots-clés et évaluer la concurrence
- Créer un site WordPress : Choisir un thème premium et configurer le site pour le SEO.
- Planifier et créer du contenu : Rédiger des articles de qualité et les optimiser pour le SEO.
- Monétiser le trafic : Utiliser des techniques de monétisation comme l’affiliation et la publicité display.
- Diversifier les sources de revenus : Explorer d’autres opportunités comme le consulting et les formations en ligne.
Écoutez l’épisode
Ne manquez pas cet épisode riche en informations et en conseils pratiques. Écoutez l’interview complète de Vincent Brossas sur Cockpit Lab et découvrez comment il génère plus de 250 000 euros par an grâce au SEO et au blogging. Abonnez-vous à notre podcast pour ne manquer aucun épisode.
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Merci de nous avoir lu et à très bientôt sur Cockpit Lab !
SEO, blogging, 5 blogs dont un qui rapporte plus de 250 000 euros de revenus par an. C’est ce qu’on va vous partager à travers cette interview. Je vous laisse écouter l’interview de Vincent Brossas, c’est parti. Bienvenue sur Cockpit Lab. Aujourd’hui, j’ai le plaisir d’accueillir Vincent. Salut Vincent, comment ça va ? Très bien, merci et toi ? Ça va, ça va, merci. Vincent, dans cette interview, dans cette vidéo, dans ce podcast, ça dépend où est-ce que les auditeurs nous écoutent, on va parler de blogging et plus particulièrement de SEO. Est-ce que ça te va ? Yes, c’est parti. Nickel. Alors, le but de cette interview, c’est aussi qu’à la fin, on soit meilleur en blogging et meilleur en référencement naturel. OK ? C’est parti, let’s go. Allez, est-ce que tu peux tout d’abord te présenter ? Oui, avec plaisir. Vincent, je suis jeune papa depuis quelques mois. Je suis dans le SEO depuis plus de 10 ans maintenant. Donc, j’ai tout de suite entrepris en fait directement en cumulant salariat et entrepreneuriat. Et du coup, je suis spécialisé, si on peut dire ça comme ça, en blogging. Et moi, ce que j’appelle plutôt le blogging business parce que c’est l’aspect un petit peu pas que SEO, mais acquisition de trafic, mais aussi trafic qui rapporte de l’argent. Et donc voilà depuis peu, je suis en train de lancer une formation dans tout ce qui est justement le blogging business pour aider d’autres personnes, d’autres professionnels à se lancer dans ce secteur-là parce que contrairement aux idées reçues, ce n’est clairement pas mort et le blogging a encore de beaux jours devant lui. Donc voilà en gros. Tu as fait un parcours dans le SEO, tu t’es formé avec des études SEO ou comment t’es tombé dans le SEO et dans le blogging ? Pas du tout formé au SEO parce qu’à l’époque il n’y avait pas trop de cursus spécialisés. J’ai fait un master marketing management international, donc ça n’a rien à voir. J’avais une toute petite spécialisation marketing digital. J’adorais l’Asie et je voulais absolument travailler en Asie ou en tout cas aller en Asie. J’ai trouvé un peu par hasard un stage dans une agence digitale à Bangkok. en Thaïlande et en fait, j’ai été formé par une personne sur place qui est passionnée et qui est encore passionnée de SEO. Elle s’appelle Antoine Magnan qui aujourd’hui, il n’est plus sur des niches un petit peu type Casino Online, etc. Donc, c’est assez concurrentiel. Donc, c’est vraiment pour moi l’un des meilleurs SEO francophones mais qui n’est pas du tout connu de la communauté, en tout cas très peu connu. Il m’a formé, il m’a transmis sa passion et c’est comme ça vraiment qu’après j’ai développé mes compétences. Après, quand je suis revenu en France, j’ai trouvé directement un boulot dans le SEO parce que j’ai référencé mon CV sur CV chef de projet SEO. Quand tu t’appelais ça sur Google, j’étais premier. Du coup, j’ai été directement contacté par quelqu’un qui m’a proposé un poste de chef de projet SEO alors que je n’avais aucun background là-dedans à part ce stage. Du coup, après au fil de l’eau, j’ai travaillé sur des problématiques un peu techniques. J’ai bossé pour différentes sociétés, principalement des grosses boîtes et un peu esprit start-up, mais aussi grosses boîtes. Là, ça fait vraiment deux ans que je suis à mon compte à 100 % où je suis centré sur l’activité d’édition de site. Je fais du consulting SEO pour quelques boîtes, mais très peu parce que maintenant, je me rends compte que j’ai plus d’intérêt à travailler sur mes propres sites que sur du consulting. Même si le consulting, c’est toujours intéressant pour faire rentrer un peu de cash. Donc voilà, globalement, beaucoup auto-former, beaucoup de veille. Je fais de la veille vraiment de manière très assidue, matin, midi, soir, week-end, nuit, ça dépend des fois. Et ça, c’est vraiment important. Ok, très clair. Comment est-ce que tu pourrais qualifier ton job actuel ? Alors le qualifier, t’entends quoi par là ? En mode, qu’est-ce que je fais au quotidien, comment j’exerce mon temps, etc ? Si jamais on va boire une bière ensemble avec des amis et que quelqu’un te dit « Et toi, qu’est-ce que tu fais dans la vie ? », tu répondrais quoi ? C’est vrai que ça, c’est une question que j’ai toujours du mal un petit peu à répondre parce que je ne sais pas trop comment qualifier mon métier. Mais moi, je dis maintenant de plus en plus, je dis en gros, je travaille dans le marketing digital, je suis spécialisé en référencement naturel et j’explique un peu ce que c’est le référencement naturel. En gros, c’est de positionner un site sur un mot-clé qui est recherché par un internaute qui est ta cible. En fait, j’essaie d’expliquer un petit peu ça et je dis qu’après, j’ai un site spécialisé dans le marketing digital, etc. qui s’adressent aux professionnels, mais c’est vrai que c’est toujours un peu compliqué. Ou alors, j’ai toujours une autre approche où je dis, alors je suis en gros consultant en marketing digital parce que c’est le truc qui parle un petit peu plus aux gens que de dire consultant ICO. Déjà, ils ne comprennent pas du tout ce que c’est. Donc, j’essaie de mettre un truc un peu plus simple pour expliquer, mais ce n’est pas toujours évident à expliquer. par rapport à toi, comment tu expliques ton métier, tout ça. Mais c’est vrai que c’est toujours un peu délicat avec des personnes qui ne sont pas du tout dans le secteur. Ça ne sert à rien d’argumenter ou quoi que ce soit. Il y a un moment où il faut dire les mots clés et passer à une autre discussion, tout simplement. Je suis d’accord avec toi que c’est assez compliqué de l’expliquer. Du coup, Vincent, toi, on peut dire que tu as commencé en quelle année ? Je pense que c’était 2011, si je ne dis pas de bêtises, 2011-2012. Vraiment, donc oui, dans ces eaux-là, le stage, je crois que c’était en 2012 de mémoire. Donc oui, ça fait un peu plus de 10 ans, ça fait 12 ans en fait maintenant. Et donc tout de suite, dès que je suis revenu du stage, j’ai direct, enfin même déjà pendant le stage, je l’enchanterais, mais dès que je suis revenu, en fait, j’ai créé mes premiers sites. J’étais prévu que j’essayais de me positionner sur l’agence web Nantes alors que je n’avais pas du tout d’agence web. J’étais quatrième sur l’agence web Nantes avec un site tout pété. J’ai testé très rapidement en revenant toutes les techniques que j’avais apprises pendant mon stage. J’ai commencé à peu près dans ces eaux-là. Du coup, c’est grâce à ce stage qu’on peut dire que tu as eu le déclic pour commencer à faire du blogging et du SEO. Ah oui, clairement. En fait, avant, ça ne me serait jamais venu à l’idée. Déjà avant, je ne savais même pas ce que c’était WordPress. Je ne savais pas faire un site internet. Tu me parlais de référencement naturel, je ne savais même pas ce que ça voulait dire. Clairement, quand je suis arrivé à ce stage-là, je n’y connaissais vraiment rien du tout. En plus, ceux qui me connaissent savent que je n’ai jamais été quelqu’un trop doué avec l’informatique, trop doué avec tout ça. Et du coup, en fait, à la base, moi, je ne me destinais pas du tout à ça. Je voulais être dans le commerce international ou même j’ai fait des études dans les végétaux d’ornements, truc qui n’a rien à voir en fait. Donc, comme quoi en fait, on peut venir de n’importe où et arriver à faire ce métier-là si jamais on s’y intéresse un minimum, si on est curieux et surtout si on est un peu passionné. Enfin, je pense qu’il y a un côté aussi un peu passion qui fait qu’une fois que tu touches un truc, tu essaies de le penser au max. C’est quelque chose qui revient quand même assez souvent, c’est la passion. Même quand tu fais du blogging dans du SEO ou même dans n’importe quel métier dans du digital, on dit toujours qu’il faut être passionné par ce qu’on fait, sinon on va arrêter. Je suis tout à fait d’accord avec toi. Oui, dis-moi. Non, je dis que c’est vrai que ça aide. Après, passionné, c’est un bien grand mot. Peut-être que juste déjà avoir un minimum d’intérêt, c’est quand même pour moi aujourd’hui indispensable. Si tu n’as pas un minimum d’intérêt dans ce que tu fais au quotidien, je ne vois pas trop comment tu peux gagner de l’argent avec, à moins d’avoir des employés que tu payes et qui font tout à ta place. Mais bon, c’est un peu limite. C’est clair. Après, tu citais Antoine Magnan, c’est ça ? Est-ce que maintenant, il a une passion pour écrire sur du casino en ligne ? Enfin, je n’en sais rien. Oui. Alors, ça, il faut que je leur demande, mais c’est vrai que je ne lui ai jamais posé la question, mais honnêtement, je ne pense pas parce que le connaissant, à la base en tout cas, Historiquement, il n’était pas du tout, pour moi, et ça, ça n’engage que moi, mais je pense que lui, ce qui l’a surtout pas mal intéressé, c’est le côté challenge, parce que c’est l’une des thématiques les plus compliquées en SEO aujourd’hui. Et le côté un peu compétiteur, un peu voilà, et il a toujours eu une âme un peu black hat quand même, plutôt black hat que white hat. Et aussi le côté forcément qui dit compétiteur, dit rémunérateur, dit voilà, tu peux gagner beaucoup d’argent sur ce secteur-là. Aujourd’hui, je sais qu’il a une équipe, il n’est pas tout seul. Et donc clairement, je pense qu’au jour le jour, le casino en ligne, je ne pense pas que c’est ça qui l’excite le plus, mais il a des personnes qui font ça à sa place. Exactement, tout à fait. Du coup, toi, avec quel budget tu as commencé le blogging ? Avec zéro, clairement, parce qu’en plus, je ne viens pas d’une famille d’entrepreneurs, ni d’une famille riche. Du coup, un euro était un euro et au tout début, j’étais vraiment tout juste diplômé. Je venais d’acheter mon premier appart, donc je n’avais pas un sou. J’étais clairement, j’avais tout mis dans mon appart et j’étais un peu all-in. Et je me suis dit tiens, je vais créer ce site-là un peu en mode vas-y, je vais essayer de partager un peu mes connaissances et ma veille que je fais sur le marketing digital, je vais voir si ça prend. Et je voyais qu’on pouvait gagner beaucoup d’argent avec un site parce que je travaillais pour un site où ils vendaient des espaces pub à plus de 20 000 euros la semaine. Je me disais bon, ça me donne une target, ça me donne un peu un objectif. C’est un site qui est un comparateur de prix de produits high-tech. Aujourd’hui, il s’est un peu cassé la gueule, mais il marche toujours. C’est toujours une société qui fonctionne, mais par rapport à ce que c’était, ce n’est plus trop ça. En fait, ça me donnait un peu une ambition, une vision long terme de ce que ça pourrait potentiellement devenir, même si moi, c’était une thématique totalement différente. Du coup, c’est ce qui m’a un petit peu donner un petit peu l’envie d’essayer sans pour autant investir le moindre, enfin pas beaucoup d’argent parce qu’en fait, il te faut juste un serveur qui coûte quelques euros par mois et il te faut après WordPress, ça coûte zéro, wordpress.org, c’est gratuit. Et ensuite après, ce n’est que ton temps en fait. Donc moi, je bossais tous les matins avant d’aller au boulot de 6h30 à 8h, 8h30. voire 9 heures, j’arrivais toujours en retard au boulot, mais vous savez pourquoi. Puis le soir, des fois, je revenais un peu dessus. Puis le week-end, des fois, un peu parce que j’étais célibataire, donc je pouvais me permettre le week-end un peu de bosser. Puis moi, je n’avais pas trop de problèmes avec le fait de travailler un peu plus que les autres. Mais concrètement, c’est comme ça que ça a commencé. Je ne sens vraiment trop investir. Ok. Écoute, je m’y retrouvais un petit peu aussi quand j’ai lancé mon business Amazon FBA. Je faisais ça à côté, je me levais le matin, je faisais un petit peu ça aussi le soir. Donc, c’est clairement ça. Mais est-ce que du coup, tu avais vraiment l’intention de monter un gros projet ou pour toi c’était simplement un petit site business que tu avais sur le côté qui te ramenait quelques euros ou tu avais vraiment l’objectif de monter un gros site et de quitter ton patron pour faire ton propre business ? Alors, ce serait de mentir que de dire que je n’avais pas une ambition cachée derrière, mais au début en fait, j’étais tellement loin de cela que je me disais en gros, de toute façon, c’est impossible, je n’y arriverai jamais. Enfin, un peu le syndrome de l’imposteur toujours. En gros, tu commences, surtout quand je n’ai pas un profil d’école de commerce, on me dit oui, tu vas être le meilleur du monde, etc. Moi, je suis arrivé comme ça. J’ai fait une université. J’ai trouvé mon poste en me référençant sur internet. J’avais zéro background en IC. Donc, j’étais plus en mode j’y vais un peu à tâtons, je vois ce que ça va donner. En fait, au tout début, je voyais que je ne gagnais que de l’argent. Je gagnais 30 euros par mois avec AdSense. Vraiment les débuts. Et en fait, je me disais, je sais que en fait, c’est vraiment ce côté de voir qu’un site qui faisait 300 000 visites par mois, par exemple le site pour lequel je travaillais, vendait des espaces pubs à 20 000 euros la semaine. Je me disais, ok, imagine le CA publicitaire global, le CA avec l’affiliation et tout. Donc, en gros, le site avec 300 000 visites, il rapportait plusieurs millions d’euros à l’année. Et en fait, c’est juste que je me disais, ok, si eux peuvent le faire parce que moi, je suis responsable SEO pour eux, C’est-à-dire que moi, je peux le faire sur le principe parce que je suis le responsable des CEO, c’est moi qui fait les gains de croissance de trafic. Du coup, indirectement, une partie du CA, c’est quand même grâce au travail que je fais. Donc, je me dis, je sais faire un site maintenant grâce à Antoine. Je sais référencer, en tout cas, je pensais savoir à l’époque. Après, je n’étais pas encore très expert, mais je commençais à bidouiller et ça marchait. J’avais quand même eu des performances avec ce site-là. Et je me dis bon ben ok maintenant, est-ce que moi je peux le reproduire de mon côté ? Mais ce qui était étonnant avec la stratégie sur ce site-là, c’est que je ne voulais pas faire de backing du tout. Je me disais est-ce que je peux faire un truc full white hat et que ça marche ? Donc, c’était un peu mon cas d’école aussi. Je me formais avec mon site en me disant est-ce que je peux faire un truc full white hat et que ça me rapporte peut-être un terme de l’argent. Pour répondre à ta question, mon ambition c’était de gagner beaucoup d’argent avec, mais à l’instant T vu que je gagnais zéro, je me disais de toute façon c’est plus un kiff, je vais m’amuser avec, je vais apprendre et je voyais plus comme un mode d’apprentissage que vraiment comme une source de revenus parce qu’en plus j’avais mon salaire et donc je me disais bon, je n’avais pas de pression là-dessus. Mais il y avait quand même un petit truc d’ambition au fond de moi, mais bon un peu refoulé. Ok. Du coup, le site de ton premier site blogging, tu l’as toujours ? Oui, c’est le petit vital.fr. En fait, à côté de ça, j’ai créé d’autres sites, mais en fait, par exemple, j’avais créé un site qui s’appelle lepetitdrone.fr où à ce moment-là, j’étais à fond dans le drone et tout le machin. C’était un peu la tendance. Du coup, le site a commencé à monter. Puis après, j’ai arrêté de l’alimenter puisque je trouvais que je ne le rentabilisais pas assez. Puis surtout, l’autre commençait à prendre un peu plus de poids. Et dans le secteur, en fait, il y a beaucoup de personnes qui se posent la question de la stratégie. Est-ce qu’il faut faire un site et y aller à fond, aux lignes dedans ? Ou est-ce qu’il faut diversifier pour répartir les risques ? Et est-ce qu’il ne faut pas avoir ? Il y en a qui ont peut-être 40 000 sites. Là, je parlais à quelqu’un la semaine dernière qui a 40 000 sites. Alors, ce n’est pas les mêmes structures de gestion, etc. Mais voilà, tu as différentes approches, tout fonctionne, mais il faut le faire bien dans tous les cas en fait. Que tu le fasses sur un site ou que tu le fasses sur 40 000, si tu fais les choses correctement, ça va marcher. Si tu fais les choses mal, ça ne marchera pas. Donc voilà. Super. Et du coup, ce business-là, c’est à l’heure actuelle ta seule source de revenus ? Alors non, parce que moi, je suis vraiment partisan de la diversification et encore plus aujourd’hui. Avec toutes les updates de Google, il y a encore une update le 5 mars du coup 2024. Et là, aujourd’hui, je vois par exemple que quand je regarde mon site, j’ai eu une petite baisse. Je me dis tiens, ok, je sais à quoi c’est dû parce qu’en analysant, il y a des choses que je ne faisais pas correctement. Et en fait, je me dis bon ben ok, c’est bien, mais j’ai un seul site. Imagine, il se casse la gueule. Je me fais hacker ou il se casse la gueule totalement. Si j’ai tous mes œufs dans le même panier, du jour à la nuit, du jour au lendemain, j’ai beau avoir travaillé dix ans dedans, potentiellement, il ne vaut plus rien. Alors qu’aujourd’hui, il a une valeur et ça, on va pouvoir en reparler, la valeur de revente d’un business comme ça, c’est une valeur hyper intéressante. Donc, tu te dis du jour au lendemain, ça peut quand même vaciller un peu avec des updates de Google, quand tu es trop dépendant aux SEO, etc. Et donc là, moi, je suis en pleine stratégie de diversification où je fais du consulting déjà. Donc ça, ça me rapporte quand même suffisamment, même si admettons mon site venait à mourir totalement, rien qu’avec le consulting, en tout cas en perso, je pourrais vivre dessus. Après, là, ce que j’essaie de développer justement, c’est des side business autres. Par exemple, là, je suis en train de lancer deux logiciels SaaS, un en marque blanche et un en vraiment propre entre guillemets. Je suis en train de lancer justement la formation Pro Building Business où ça l’idée c’est d’avoir aussi une autre source de revenus et un peu de faire du coaching. Ça, c’est quelque chose que j’adore, c’est un peu le côté transmettre. Moi, c’est Antoine qui m’a formé, qui m’a transmis. En fait, j’ai envie de redonner cette partie-là parce que pour moi, vu que ça a changé ma vie et en positif, je me dis mais C’est un peu égoïste de le garder pour soi et de ne pas essayer de partager cela avec d’autres personnes. Après, forcément, tu me fais payer parce qu’à un moment donné, 10 ans d’apprentissage, c’est un prix. Et quand tu vois ce que tu peux gagner aujourd’hui avec cela, tu te dis bon, c’est un minimum de valeur quand même. Mais oui, dans l’idée vraiment diversifier et même au sein d’un site internet, il faut toujours diversifier les sources de revenus. Là, typiquement pour le type vital, En gros, aujourd’hui, ce qui me rapporte le plus, c’est les partenariats que je fais en direct avec des marques. Donc, c’est vrai qu’en gros, je m’adresse à des responsables marketing, je leur dis tiens, tu as tel personna, moi mes cibles, c’est ça. Eh bien tiens, si on faisait un partenariat ensemble, si on faisait ça, ça pourrait vous apporter des leads et toujours une vue un peu business. C’est-à-dire que si tu penses que trafic et CEO, tout ça, c’est bien. En fait, tu vas te planter tôt ou tard. Et donc là, l’idée, c’est qu’aujourd’hui, je diversifie vachement les sources de revenus au sein de l’optique digitale. Pour que là, tu vois par exemple l’impact de trafic de la marge core update, même si en gros j’ai perdu 20% de trafic, je suis à plus de 120% de chiffre d’affaires versus le 7-1, donc je m’en fous en fait. Parce que je ne suis pas dépendant du CA publicitaire et du CA issu du trafic pur et dur. Et cela, c’est vraiment stratégique aujourd’hui pour moi. Et je suis en train aussi de développer d’autres business models où l’idée, c’est de sortir du modèle trop dépendant de Google parce que je n’ai plus envie. Là, j’ai rencontré quelqu’un qui a un business 100 % indépendant de Google. Ce n’est que par abonnement. Il fait des millions de chiffres d’affaires. Donc, clairement, je me dis, moi, je veux juste me diversifier un petit peu. Je ne veux pas faire des millions forcément avec cela, mais déjà, tu diversifies un peu, tu répartis ton risque et au moins, si tu as un truc qui se casse la gueule, une brique, tu diversifies et cela se passe bien pour toi sur le long terme. Ok. Du coup, c’est quoi les différents business models que tu as à l’heure actuelle peut-être uniquement sur l’optique digital ? Tu parlais de diversification. Est-ce que tu peux en parler un petit peu ? Comment tu l’as diversifié ? Oui. Alors du coup, à l’instant T, j’ai fait en plus ma répartition de chiffre d’affaires il n’y a pas longtemps. Je ne me rappelle plus parce que j’ai une humeur de poisson rouge, mais en gros dans l’idée, c’est à peu près une vingtaine de pourcents par item. Donc, 20 % publicité display. Donc, display, c’est quoi ? C’est les pubs que tu vois sur Google AdSense, les affichages, on va dire que tu as sur ton site. 20, je dirais, autre pourcent sur de l’affiliation. Donc, l’affiliation, c’est tu diriges des personnes vers un site tiers, ils te commissionnent si jamais soit tu as une inscription, cela dépend des modèles, soit tu as une inscription, soit tu as une conversion, donc le mec achète le logiciel ou ce genre de choses. Ça peut être aussi des fois au CPC. Moi, je ne le fais pas trop, mais il y en a qui vivent très bien sur la vente au CPC de trafic. Donc, ça, c’est les deux premiers trucs. Ensuite, ce que je fais, c’est que je fais des partenariats sponsorisés en direct, donc articles sponsorisés, un peu dispositifs, je dirais macro où j’intègre un peu tout, des visibilités en newsletter, etc. Donc, ça, je dirais, c’est 40-50 % de mon chiffre d’affaires aujourd’hui. Ensuite après, j’ai tout ce qui est consulting, coaching, formation, etc. Cela, je ne le fais pas trop encore, tout ce qui est coaching, formation, mais c’est vraiment quelque chose que j’ai envie de développer. Globalement, c’est un peu les éléments clés. Après, j’essaie de réfléchir. Tout ce qui est article sponsorisé, je le mets dedans en fait. Tout ce qui est par exemple sponsoring, pour moi, c’est vraiment la grosse partie aujourd’hui. Donc, même créer des partenaires en direct avec des marques, c’est sous-coté en fait. En fait, il faut juste prendre le temps de développer ton blog comme un business et c’est pour ça que j’appelle mon truc Pro-Blogging Business. En fait, il faut arrêter de voir cela comme un blog ou comme un site, mais vraiment, c’est une entreprise à part entière. Comment, si toi, tu crées ton site aujourd’hui, tu vas penser qu’avec 1 000 visites, tu peux gagner 2-3 000 euros par mois ? C’est possible en fait. parce que tu as choisi une niche hyper qualitative, parce que ton trafic est tellement qualifié que c’est hyper transactionnel. Et en fait, ce n’est pas le volume de trafic qui est important, c’est vraiment la qualité de ton trafic. Et ça, c’est clé en fait aujourd’hui. Et trop de personnes restent sur, il fait 2 millions de visites, il doit gagner trop de thunes. En fait, oui et non. Parce que s’il fait 2 millions de visites sur des thématiques qui ne rapportent que dalle, sur du people ou des trucs comme ça, il ne va vendre que du trafic display. Enfin, il va se rémunérer qu’avec de la pub display. Les RPM sont très faibles par rapport à une B2B comme moi ou d’automatique. Tout à fait, c’est parfait. Merci pour ta transparence. Quel business model, donc sponsoring, display, affiliation ou je ne sais pas quoi d’autre, tu conseillerais à quelqu’un qui commence le blogging, c’est quoi le meilleur business model à l’heure actuelle ? Je vais te faire une réponse très SEO. Je vais te dire, ça dépend dans un premier temps parce qu’en fait, si tu veux, ça dépend de ta niche. Si tu as une niche, tu as des problèmes d’affiliation en masse. Les problèmes d’affiliation, c’est très bien. Mais si tu as une niche, par exemple, je vais te prendre un exemple, tout ce qui est cheval. Dans le cheval, j’avais recommandé cette niche à une personne. Le problème du cheval, c’est qu’en fait, les acteurs français ne sont pas du tout matures. C’est-à-dire qu’en gros, ils n’ont pas de problème d’affiliation. Donc, il faut dealer des partenariats en direct sauf que du coup, il faut les éduquer déjà à ce que c’est l’affiliation, à ce que c’est le digital, etc. Donc déjà, tu as un gros travail d’éducation. Donc, ça va être plus dur pour toi de faire de l’affiliation alors que c’est un super business model. Mais limite, il faut que tu crées des partenariats en direct avec les marques. Limite, il faut que tu le fasses à leur place, que tu configures limite leur plateforme d’affiliation. Enfin, il faut aller à un niveau, on va dire, où c’est un peu galère. Si tu vas sur une niche à l’inverse où c’est genre hyper mainstream de faire de l’affiliation, je te donne une niche par exemple VPN. VPN, c’est tellement mainstream qu’en fait tous les VPN ont un problème d’affiliation. Donc déjà, si tu te mets sur une niche VPN et que tu ne fais pas de l’affiliation, il y a un problème. Après, tu vois sur cette niche-là, c’est tellement concurrentiel que tu as intérêt à avoir d’autres sources de revenus parce que sinon tu vas te casser les doigts assez rapidement et surtout ça demande un effort d’investissement assez important que tu n’as pas quand tu te lances. Mais en fait, c’est vraiment de te dire Les meilleures méthodes de monétisation vont dépendre de ta niche, de ton secteur d’activité. Aussi là, tu vois, j’ai un ami, je n’ai fait que lui parler du blogging et tout ça. Donc, il aurait enfin lancé son site il y a un an. C’est un anglais en plus. Sur le site anglais, tu as des meilleurs RPM sur le display. Là, ça fait un an qu’il s’est lancé. Il a 1500 visites par jour au moins sur son site. Donc, c’est très bien. Sauf qu’il est dans une thématique où en fait là, pour l’instant, il ne se rémunère qu’avec de la pub. Donc, 1500 visites par jour, ce n’est pas mal. Avec des RPM Mediavine et tout, tu commences à être sur des trucs pas, mais tu n’as pas à gagner plusieurs milliers d’euros facilement juste avec ça. Donc, il faut aller chercher d’autres sources de revenus. Donc là, il fait de la filiation avec par exemple Booking, avec d’autres sites, mais il n’en fait encore pas assez. Donc là, moi je vous le recommande à chaque fois, c’est diversifier tes sources de revenus, ne reste pas que sur du display, ne reste pas que sur de l’affiliation, va aussi limite dealer des partenaires en direct avec tes prospects. Et en fait, tu ne fais que billiard, mais pour l’instant, tu ne le fais pas parce que ça demande plus de travail. Et donc, généralement, on a ce côté toujours, même si ça peut nous rapporter plus, on va sur le plus simple. Et c’est ça le problème en fait, c’est de te dire, Aujourd’hui, moi par exemple, sponsoring, c’est quasiment 40-50 % de mon revenu. Si je ne faisais pas l’effort d’aller voir, de faire ces partenariats en direct, d’aller voir des responsables marketing, de leur vendre un peu l’audience que j’ai, ben en fait, je gagnerais deux fois moins potentiellement. Donc, tu te dis tiens, deux fois moins, c’est quand même pas négligeable. Et en plus, il faut savoir qu’aujourd’hui, je ne fais pas de prospection. Donc, le jour où je vais faire de la prospection, je pense que je peux faire encore plus en sponsoring. Et l’idée, c’est qu’à terme, en fait, limite le display qui est pour beaucoup de personnes une source de revenus quand même assez importante, moi, l’objectif, ce ne soit que peut-être 10 % de mon chiffre d’affaires. Comme ça, je ne suis pas dépendant du trafic de Google, je ne suis pas dépendant de tout ça. Donc, pour revenir à ta question, les sources de revenus idéales vont dépendre de ta niche, toi typiquement dans ta niche. En gros, tout ce qui est formation, par exemple Amazon, eBay, etc. Pour moi, le plus intéressant, c’est de vendre ton propre produit. Donc là, c’est exactement ce que tu fais, c’est très très bien. Et c’est juste qu’après, du coup, il faut que tu diversifies un minimum, il faut que tu fasses de la filiation limite même pour tes concurrents. Tu vois, parce que mettons quelqu’un qui se dit… Ta formation, tu vois, elle ne va peut-être pas répondre à tous leurs besoins. Toi, tu le sais. Enfin, je ne sais pas. Je te donne des exemples, mais dans l’idée, limite tu vas pouvoir capter du trafic depuis tes concurrents, les mots-clés de tes concurrents et le rediriger vers toi, ta formation. Et ce que tu vas partager vers ta formation, tu vas faire de l’affiliation avec tes concurrents. tes concurrents ne sont pas vraiment tes concurrents, tu vois, ça peut être aussi tes partenaires. Donc, ça dépend, tu vois, comment tu vois les choses. Moi, je sais que je suis en train de contacter tous mes concurrents entre guillemets parce que je suis en train de mettre en place de l’apport d’affaires, tu vois, avec eux parce que mes clients peuvent être leurs clients et leurs clients peuvent être mes clients. Exactement. Donc, en fait, c’est de se dire comment tu un peu sors de ton tunnel et te dis tiens, mes méthodes de monétisation à l’instant T, c’est ça, ok. Comment je vais diversifier ? Comment je vais répartir mon risque ? Avec une seule et même activité, tu peux avoir peut-être 10 méthodes de rémunération qui vont toutes te rapporter peut-être 10 % de ton CA. Sauf qu’il vaut mieux avoir ça qu’avoir aujourd’hui comme moi 50 % de mon CA sur une seule méthode. Si demain, ça se casse la gueule, tu fais comment ? 50 % de mon CA, ça commence à se voir. 10-15 %, tu perds 10-15 %, est-ce que ça change ta vie ? Quand tu atteins certains niveaux de chiffre d’affaires, pas forcément. Je ne sais pas si ça répond vraiment à ta question, mais l’idée, c’est un peu ça. Ça répond parfaitement. Ce que tu viens de me dire, ça me fait prendre conscience que quand on dit j’ai un blog, c’est pas simplement être rédacteur et écrire des articles toutes les journées, c’est imaginer des business models, aller chercher des partenariats, faire de l’inbound, faire peut-être aussi peut-être des configurations techniques et de la prise de connaissances, la prise de conscience sur certains partenaires potentiels qui n’ont pas vu en fait le potentiel de ce qu’ils ont et de ce que tu pourrais leur apporter juste en faisant du blogging et du SEO. peut-être même de commercial, d’évangélisateur. Ce n’est pas juste. rédacteur d’un blog. En fait, c’est beaucoup plus que ça. C’est vrai que moi ce que je me disais quand j’ai trouvé le nom Pro-Blogging Business, je me suis dit putain merde en fait blogging limite c’est trop connoté blog tu vois. Et le problème c’est qu’en fait en réalité aujourd’hui tu peux gagner beaucoup d’argent avec un business en ligne on va dire si on met ça un peu plus large. Et ça peut être un annuaire, enfin les annuaires, business model de malade, les amoureux professionnels. Ça peut être un blog, mais il y a des blogs, tu peux encore gagner beaucoup d’argent avec. Ça peut être du coup une chaîne YouTube, ça peut être… Et en fait, autour d’un blog, tu peux avoir beaucoup en fait limite de sources, enfin d’un blog, pas forcément d’un blog du coup, mais d’un site Internet qui rapporte de l’argent. Tu as plein de sources de revenus que tu peux activer, tu as plein de business model en soi en fait. Par exemple, avec moi, mon site là, je suis en train de réfléchir, à faire un annuaire de freelance, à faire un annuaire d’agence, à faire un annuaire de logiciel. Et en fait, ces trois activités-là, c’est des business en tant que tels parce qu’il y a des personnes qui sont spécialisées là-dedans, qui sont spécialisées dans un annuaire d’agence, ça existe déjà, un annuaire de logiciel, ça existe déjà. Et pour donner un ordre d’idée, un annuaire de logiciel, le plus gros acteur du marché, c’est Gartner. qui ont plusieurs années de logiciel, ils font plus de 5 milliards d’euros chiffre d’affaires à l’année. Donc, tu te dis bon ok, une seule activité, c’est un site internet en soi, c’est que des sites internet, ils gagnent 5 milliards. Donc, il y a un moment donné, il faut sortir un peu de son image de site égal, ça ne rapporte pas ou blog, ça ne rapporte pas. Tu as un site qui s’appelle NerdWallet. NerdWallet, ils sont introduits en bourse. Et c’est un site, à la base, ça a commencé comme un blog, ils sont introduits en bourse aujourd’hui. Il y a un moment donné, il faut arrêter de se dire blog égal petit truc que tu fais tout seul de ton côté en mode rédacteur. Ça peut être une boîte à part entière. Tu regardes, tu as plein de grosses boîtes aujourd’hui qui sont parties soit d’un blog ou qui sont parties d’un site internet. Donc, ils ne sont encore qu’un site internet. Tu prends lelynx.fr, c’est un comparateur, c’est un site internet. C’est n’importe qui qui est un peu bon techniquement peut faire un comparateur. Donc, tu as un peu plus de bas à l’entrée quand tu fais un comparateur que quand tu fais un blog, mais dans le fond des choses, c’est la même chose. Donc voilà. Oui, là, ce que tu viens de dire et de soulever, ça me fait quand même penser à quand je discute avec des gens sur Amazon FBA ou même dans le business en général, c’est que tout le monde cherche l’idée miracle, l’idée qui n’existe peut-être même pas encore ou le produit qui n’existe même pas encore. Limite qu’il va falloir breveter. Mais au final, il y a des business modèles et des business qui datent depuis 10, 15, 20 ans maintenant, qui sont simples. mais les mecs ils se sont focus sur une seule activité voire peut-être deux ou trois après en fonction de l’évolution. Il n’y a pas besoin de révolutionner et de réinventer la roue, il suffit simplement en fait de prendre une niche, de bien la structurer et d’y aller à fond et derrière on est capable peut-être pas faire des 5 milliards comme tu viens de citer à l’instant mais au moins de se rémunérer correctement, voire peut-être même de créer une belle petite boîte. Oui, clairement. Moi, en fait, ce que je recommande aujourd’hui et c’est ce que je vais faire moi cette année, c’est que je recommande vraiment ce qu’on appelle « niche down ». C’est en gros de prendre une niche importante, un secteur d’activité qui marche déjà et ne pas réinventer la roue, au contraire. Tu prends du coup un secteur qui fonctionne déjà et ensuite, tu identifies une niche qui est rentable et ensuite tu exploses la niche dans le sens où tu vas mettre le paquet beaucoup plus que les personnes qui sont un peu plus macro vont essayer d’être un peu partout et que toi tu vas mettre le paquet là-dessus. Et il y a plein d’exemples comme ça en fait de sites ou de newsletters ou même la newsletter c’est un business model à part entière, on pourra en reparler. Et du coup, tu as plein d’exemples comme ça où tu reprends limite un truc qui marche à l’étranger, aux US par exemple, qui n’est pas en France encore, ou alors qui est en France mais qui est mal exécuté. Tu optimises un peu et tu vas un petit peu plus loin. Et surtout, tu mets le paquet dessus. C’est-à-dire qu’en gros, là par exemple, Price Minister, quand ils ont lancé ça, ils ont eu un copycat d’un truc qui marchait aux US. Price Minister aujourd’hui qui est devenu Rakuten parce que ça a été racheté par Rakuten, ça a été revendu des millions. Je veux dire, il y a un moment donné, il n’a pas réinventé la roue. Il a juste fait un truc qui marchait à l’étranger, il l’a importé en France. À l’époque, c’était plus facile parce que tu avais, on va dire, moins de concurrence. Mais aujourd’hui, tu veux faire la même chose, c’est un peu plus compliqué. Mais tu as toujours en fait des petits secteurs ou des fois des niches hyper précises où tu peux faire des milliers et des milliers d’euros. Genre, alors que c’est un truc, personne ne va jamais connaître ton site. Je vais te donner un exemple. J’ai rencontré du coup le patron d’un média B2B qui ne fonctionne que par abonnement. Sa niche, c’est tout ce qui est lobbying politique. Je veux dire, qui pense à ça déjà ? Son site est inconnu au bataillon, il fait 8 millions d’euros de chiffre d’affaires à l’année. Tu peux encore une fois te dire, lui en plus, il n’a pas du tout la vision SEO, donc il a zéro trafic SEO, en tout cas hors marque. Il fait 8 millions. Donc, en fait, il faut sortir de notre… Des fois, nous, on est un peu trop biaisé parce que si tu es arrêté dans le domaine du SEO, tu penses que SEO, c’est dans le domaine de FBA. Des fois, tu as tendance à penser que les commerces, etc. Mais dans l’idée, en fait, c’est que tu as plein… Il faut ouvrir un petit peu tes perspectives, ton champ de vision et te dire tiens, qu’est-ce que je peux faire qui peut… Et pour revenir sur le sujet initial parce que j’étais en train de me disperser, mais en gros, l’histoire de prendre une niche, Amazon FBA, c’est une super niche. On en parlait un peu en off tout à l’heure, il y en a qui font des millions et des millions avec une niche comme ça. En fait, tu te dis, c’est peut-être à l’échelle de la France, imagine tu l’internationalises le truc. Tu vois ce que je veux dire, tu fais une formation Amazon FBA et tu es la numéro 1 internationale dans tous les pays. Je ne sais pas combien tu brasses, mais à mon avis, tu brasses pas mal. Et pourtant, c’est une niche ultra précise. Et donc, tu as moins de concurrence que si tu te mets sur une formation e-commerce, par exemple, alors que ça reste une sous-niche du formation e-commerce. Donc, c’est un peu l’idée. Ce que tu viens de dire, je suis totalement d’accord avec toi. J’aimerais juste soulever deux points. Premièrement, c’est le fait de s’ouvrir un petit peu et d’explorer certains autre monde autour de ta petite sphère donc et c’est exactement ce que je dis en fait à des élèves ou à des personnes avec qui ils ont un problème peut-être pour trouver des produits à vendre sur Amazon FB ou quoi que ce soit. Moi des produits j’ai une liste bras comme long comme mon bras et La plupart du temps, je les trouve en fait en discutant avec des gens et qui n’ont pas conscience en fait, mais qui sont spécialisés dans leur thématique. Tu vois, par exemple, rien que mon voisin de derrière, maintenant, il a la retraite, mais il est fou d’astronomie. Le mec derrière chez moi là et son jardin, c’est limite la NASA. Il a des trucs de fou furieux. Quand je vais chez lui, je me dis mais ça, tu l’as acheté sur un site spécialisé, mais tu ne l’as pas trouvé sur Amazon. Non, boom, tac, tu peux le référencer et voilà. Mon beau-père a une société qui fabrique des pièces mécaniques sur mesure. Il travaille pour PSA et d’autres boîtes. Et en fait, il y a des gens qu’ils connaissent comme ça par le bouche à oreille, qui lui ont demandé à fabriquer. Donc lui, il est modélisateur, donc il dessine les pièces et ensuite, il les donne à ses ouvriers, à ses employés pour lancer la machine. Mais en gros, il y a des mecs qui viennent avec des vieilles pièces de moto des années 30 ou des années 40, qui ne trouvent pas ça, en fait, sur le marché, sur Internet ou dans n’importe quel autre garage. Ils lui demandent de concevoir la pièce avec une pièce qui est toute pourrie, qui ne fonctionne plus et qui est cassée. Et je lui dis, mais est-ce que tu es capable de l’industrialiser ? Est-ce que tu peux m’en sortir 100 ? Ouais, pas de problème, tac, on lance la machine. Et en plus, c’est encore plus simple parce que tu n’as pas tout l’import-export de la Chine. Il faut aussi des fois oublier le AliExpress, le Alibaba, etc. Et ça, c’est quelque chose en fait Encore une fois, il suffit simplement de discuter avec les gens pour avoir une idée, de s’intéresser à eux, pas vendre ma merde, mais plutôt les écouter pour ensuite interpréter et voir une niche qu’ils n’avaient pas pensé parce qu’ils n’ont pas le business dans le sang ou parce qu’ils s’en foutent tout simplement d’aller… C’est leur passion en fait, c’est leur bébé. Et donc voilà, toi, avec peut-être tes connaissances SEO, avec les connaissances e-commerce, etc. Tu es capable de prendre une passion de quelqu’un. et derrière en fait d’aller la monétiser sur un business model x, y ou z donc ça c’est vraiment top. Vincent au tout début quelles étaient tes appréhensions avant de commencer en fait tes peurs et qu’est ce qui au final s’est vraiment passé ? Après, je pense quand tu commences et que tu as déjà une source de revenus, tes peurs, déjà, elles sont plus limitées parce qu’en fait, la seule peur que tu peux avoir, c’est perdre ton temps. Sauf qu’en fait, moi, je ne le voyais pas comme ça. Moi, je le voyais comme de la formation. En fait, pour moi, je le voyais ça en mode le temps que je passe. Déjà, je m’éclatais parce que j’adorais ce que je faisais. Et puis, voilà, je n’avais pas peur de passer du temps, même si ça ne marchait pas, ce n’était pas trop… Je dirais que je n’ai jamais eu peur en fait de me dire je vais perdre mon temps. Ça, ça ne m’a jamais trop affecté. La seule peur que j’avais, c’était un peu de perdre la face en mode parce que je l’ai dit. J’ai dit oui, j’ai lancé ce site-là, j’ai partagé autour de moi et à certains potes, je leur avais dit oui, on peut gagner pas mal d’argent avec un site parce que je voyais en gros. Donc en gros, je m’étais un peu trop avancé on va dire sur les échéances. Et un peu en mode, je leur envoyais un peu du rêve parce que oui, vas-y. Je me permets de te couper. Est-ce que tu l’avais dit à ton ancien boss ? Je ne sais plus. Honnêtement, je ne sais même plus. Si, je crois que je l’avais dit. Parce qu’après, j’étais déjà auto-entrepreneur, j’avais déjà Je crois, honnêtement, je pense que je lui avais déjà dit que je lançais ce site-là. Après, pour lui, en fait, il se disait, en gros, c’est un truc de merde. Il n’y a pas du monde qui ne bosse pas parce qu’en plus, à l’époque, il n’y a pas de télétravail. Donc, en gros, il voyait bien que la journée, je ne bossais pas sur mon site. C’est juste que le midi, des fois, je regardais les stats, je me disais, j’ai eu 100 visiteurs aujourd’hui. J’étais trop content alors que ce n’était rien du tout. Mais en fait, au début, vraiment, moi, je m’en revois en fait au tout début. J’étais tout excité quand je voyais 100 visites sur Google Analytics par jour. Après, c’est normal, il faut bien commencer à un endroit. Mais pour revenir à ta question, je me suis un peu avancé auprès de certains amis. on peut faire un truc là, limite venez avec moi et je voulais limite les embarquer dans le truc en mode devenir rédacteur et puis en gros à terme, on va gagner de l’argent. L’idée, c’est que je leur redonne un peu d’argent. Alors, de tous ceux que j’ai embarqué, il n’y en a aucun qui a tenu plus de peut-être 3-4 mois. Honnêtement, c’est ça qui est trop drôle, c’est qu’en fait, toutes les personnes que j’ai un peu embrigadées, on va dire à chaque fois, vu qu’ils ne voyaient pas les retours avant peut-être 3-4 mois, Tu as un truc de genre au bout de trois mois déjà, tu en perds la moitié, je dirais. Et au bout de six mois, s’ils n’ont pas gagné un euro, la plupart, ils abandonnent. Alors qu’en réalité, c’est le moment où là, ça commence. Et tu te dis en fait, ils ont fait le plus dur. Parce que le plus dur, c’est d’amorcer. Une fois que tu as amorcé, après, c’est exponentiel. En fait, tout le monde n’a pas cette vision-là. Et je pense que quand tu n’es pas aussi coaché, accompagné, du coup, tu n’as pas la vision. Tu sais, c’est comme tu as une image. Tu es en train de piocher et tu as une mine d’or derrière. Les mecs, ils s’arrêtent juste avant d’accéder à la mine d’or. C’est un peu le même internet lié à ça. Pour revenir à ça, parce que je pense un peu trop me disperser, mais pour moi, ce qui me faisait peur, c’était ce côté un peu peur en gros de m’être trop avancé publiquement auprès de mes amis et en gros que je me prenne un massif fake, que ça ne fasse jamais de trafic, que je ne gagne jamais d’argent avec. C’était plus ce côté-là, on va dire. Et est-ce que du coup, le fait de l’avoir annoncé publiquement à tes amis, à ton entourage, ce n’est pas ça qui t’a poussé au cul à réussir ? Alors, je dirais que non. Même si aujourd’hui, je pense que si j’annonçais un truc, je le verrais plus comme ça. Mais en fait, à l’époque, vu que j’étais en mode J’ai toujours un côté un peu introverti, un peu si tu veux, je n’étais pas trop ami, même encore maintenant, je ne suis pas trop copain-copain avec tout le monde, machin, etc. Je suis un peu dans mon coin, un peu introverti. Et si tu veux, moi j’étais en mode, je fais mon truc dans mon coin, je m’en fous royalement de ce que les gens peuvent penser parce que je sais que moi dans ma tête, j’avais déjà un petit peu la vision long terme quand même avec le site pour lequel je travaillais. Je savais que ça pouvait marcher. Alors, j’avais une lueur d’espoir, on va dire, et je pense que cette lueur d’espoir m’a quand même bien permis de tenir dans le temps et de rester déterminé. Il y a eu des hauts, des bas. Il y a des fois, j’ai arrêté. Des fois, j’ai fait deux fois un burn-out. Parce que bon, à force de travailler des fois beaucoup, au bout d’un moment, tu te brilles parce que quand tu as des postes à responsabilité, plus tu fais du consulting, plus tu as un site à gérer. et que les gens croient que t’es une équipe d’ailleurs, que t’es tout seul, et que t’es tout seul genre une heure par jour, tu te dis, ok, en fait, c’est que je travaille plus que le commun des mortels aussi. Donc, il y a un moment donné, ton cerveau n’y suit plus. Donc, il y a eu des phases, tu vois. Et c’est aussi ça, la réalité derrière des fois des réussites. Et ça, on n’en parle pas forcément. C’est qu’en fait, tu as des hauts et des bas. Des fois, tu es au fond du trou et tu te dis, putain, je me souviens qu’en fait, les seuls qui réussissent, c’est ceux qui n’abandonnent jamais en fait. C’est comme dans un combat de boxe, tu te prends une mandale dans la gueule, deux mandales, etc. Si tu abandonnes, tu es sûr que tu n’as pas gagné le match en fait. Enfin, c’est logique. C’est comme un marathon, si tu abandonnes au premier kilomètre, tu ne vas jamais le finir ton marathon. Donc après, c’est une histoire de mindset et je pense que j’ai eu très tôt ce côté où tu vois, je ne sais pas si c’est lié à mon enfance ou quoi, mais j’avais un côté du coup très introverti, je n’avais pas trop d’amis. Du coup, je me suis peut-être forgé une sorte de carapace ou un peu un côté genre en gros très solitaire et j’ai toujours été très solitaire. Du coup, en fait, je me suis toujours dit en gros, il n’y a que moi qui peux m’en sortir tout seul. Il n’y a que moi qui peux faire en sorte que ça marche. Dans les sports, j’ai toujours été sur des sports très solitaires, je faisais du badminton en compétition. et toujours à être en gros très dur avec moi-même, etc. Et donc, pour moi, si je perds, c’est de ma faute, ce n’est pas de la faute de quelqu’un d’autre. Et je ne veux surtout pas te dire, c’est de la faute de quelqu’un d’autre. Et donc, du coup, ce côté-là, je pense, ça m’a permis de durer dans le temps parce que quand tu es un peu déterminé, que tu n’as pas envie de perdre la face parce que tu n’as pas envie de te dire que ton site, il a fait un flop, du coup, tu fais ce qu’il faut entre guillemets pour essayer de faire en sorte que ça marche. Après, tout le monde n’a peut-être pas cette vision-là, mais moi, c’est ce qui m’a fait tenir, je pense, dans le temps, c’est un peu ce côté-là. T’As mentionné aussi quelque chose qui pour moi est très important c’est le fait que le fait que tu sois salarié pour ta première société là et que tu voyais les 20 000 euros par semaine que ton boss vendait en publicité ça t’a prouvé que le business model fonctionnait et que c’était possible et moi souvent en fait c’est une question que je réponds souvent à des gens c’est que est-ce qu’on peut vraiment gagner de l’argent avec Amazon FB, avec KDP, avec le print-on-demand, etc. Et en fait, tant qu’ils n’ont pas vu concrètement que c’était possible, on est comme entre guillemets un vendeur de rêves, et c’est peut-être, dis-moi si je me trompe, le fait que tes potes que tu avais essayé d’embrigader avec toi dans tes projets, en fait, ils n’avaient pas la même vision que toi de ton boss et de la société pour laquelle tu bossais. Et du coup, en fait, au bout d’un moment, tu t’essouffles en disant ça ne marche pas, ça ne marche pas, ça ne marche pas. Alors que toi, tu as la vision des chiffres qui continuent d’augmenter peut-être et que plus tu bosses et plus ça augmente. Et je pense que c’est quelque chose quand même qu’il faut prendre en compte et que tant que tu ne l’as pas vu, en fait, tu n’y crois pas forcément. Je suis totalement en phase avec toi sur ce côté-là parce que pour moi, il y a ce côté très humain de dire, tu vois ceux qui disent oui, tu peux gagner genre 10 000 euros par mois avec ça. Après, tu as beaucoup de fake, c’est ça le problème. Tu as beaucoup d’arnaqueurs, tu as beaucoup de mecs qui te font venir rater des choses alors qu’ils ne sont même pas à 1% de ce qu’ils vendent. Moi, je trouve qu’il y a un côté un peu double tranchant à montrer des chiffres. Tu vois, moi, je l’ai fait sur mon compte Instagram. J’ai partagé des captures écrans concrètes de ce que je gagne, etc. Et il y a des fois des gens qui me disent, genre Andro, tu ne devrais pas faire ça, tu ne devrais pas monter tes chiffres, tu ne devrais pas machin et tout. Mais en fait, ce qu’ils ne comprennent pas, c’est qu’à chaque fois que je fais ça, bizarrement, j’ai beaucoup plus d’intérêt. pour ce que je propose. Parce qu’en fait, comme tu dis, tu n’y crois pas tant que tu ne vois pas. Après, des fois, même en montrant les captures, ils vont te dire tu l’as trafiqué, etc. Il y aura toujours des personnes qui ne croiront pas. Mais en fait, moi, à un moment donné, mon business fonctionne très bien. Je ne suis pas vendeur de formation. Donc, si jamais tu ne prends pas ma formation, ça ne va rien changer à ma vie. Par contre, ça peut changer la tienne. Donc, à un moment donné, c’est tu crois ce que tu veux. Et pour moi, les gens qui ne sont pas dans ce mode-là, de se dire ouais genre Amazon FBA ça marche pas, KDP ça marche pas, c’est que soit ils ne sont pas assez matures déjà pour être tes clients potentiellement, soit en fait ça ne sera pas des personnes qui vont réussir parce que déjà quand tu as ce mindset un peu négatif, Honnêtement, je ne sais pas, mais moi personnellement, si tu as un mindset négatif de base et tu ne dis pas qu’il y a un potentiel, en fait, retourne être salarié et retourne dans ton confort, on va dire habituel parce que c’est ce qui est peut-être le mieux pour toi. Et moi, je ne suis pas en train de dire que salarié, ce n’est pas bien. Moi, mon frère est salarié, j’ai essayé de le mettre sur cette partie-là. Il a commencé, il est arrivé à un stade où il commence à avoir du trafic et tout, mais il s’est arrêté parce qu’il a un poste à responsabilité et tout. Mais dans l’idée, en fait, pour moi, c’était dommage parce qu’en plus, il est passionné et tout, ça aurait trop bien marché. Il n’a pas ce mindset et cet esprit de se dire, j’investis aujourd’hui pour gagner demain beaucoup plus que ce que je gagne aujourd’hui en tant que salarié. Et surtout, c’est encore plus dur quand tu es en salariat confortable où tu gagnes très bien ta vie. En fait, tu dis, mais attends, je ne vais pas bosser quatre heures par jour pour gagner 10 euros par mois au début. Et c’est logique, si tu veux, ça paraît logique parce qu’en fait, ce qu’ils ne comprennent pas, c’est que ces 10 euros par mois au début peuvent se transformer en 10 000 euros par mois, 100 000 euros par mois et tu en as qui arrivent à ces niveaux-là. Et c’est un peu tabou de parler d’argent en France, mais honnêtement, Moi, quand je vois ce que des personnes gagnent avec des simples blogs ou des sites internet, etc., je me dis mais pourquoi il n’y a pas plus de monde qui le fait, tu vois. C’est pourquoi. Et j’imagine qu’avec Amazon KDP, avec Amazon FBS, c’est la même chose. Enfin, toi, tu vois ce que tu as réussi à gagner avec tout ça. Donc, tu sais. Enfin, toi, tu le sais parce que tu l’as vu sur tous tes chiffres, mais c’est vrai que c’est difficile de faire passer le message sans passer pour un vendeur de rêve ou un mec qui veut vendre sa sauce, quoi. C’est sûr, en plus moi j’avais le logiciel pour les vendeurs Amazon donc je voyais en plus les chiffres d’affaires et les marges que faisaient d’autres vendeurs que moi donc j’avais l’expérience aussi les chiffres que d’autres et plusieurs centaines vendeurs francophones faisaient. Et clairement, je n’étais pas le meilleur. Donc, j’ai déjà, moi, mes propres chiffres qui parlent. Mais en plus, je me dis, en fait, finalement, ce que j’ai fait, c’était un dixième de ce que d’autres ont fait et qui… En fait, qui me boostait, en fait, moi, perso, plutôt que de me dire… Voilà, c’est ça, exactement. Vincent, où est-ce que tu as perdu le plus de temps et qu’est-ce qui a été le plus compliqué à ton démarrage ? Alors, moi, je dirais le plus… Clairement, C’est l’histoire d’apprendre à bien gérer un site internet, à savoir sur quels mots-clés écrire. Par contre moi, je me suis beaucoup dispersé en fait au début où en fait au début, je ne faisais que des articles d’actualité parce que c’était le plus rapide à faire. Sauf que les articles d’actualité, c’est très bien, mais c’est une durée de vie d’aller un, deux, trois jours max. Et donc en fait, et même encore aujourd’hui, j’en fais encore aujourd’hui, mais parce que c’est un autre objectif. Mais le problème, c’est que quand tu fais ça, Ton trafic, tu ne le construis pas sur le long terme. Du coup, ton audience et ton business model, c’est très court terme. Aujourd’hui, si j’avais à repartir de zéro sur un nouveau site, Je ferais un hybride, 80% de sujets un peu orientés longue traîne SEO, mais toujours avec une vision un peu UX. Il ne faut pas penser que SEO, parce que là, clairement, maintenant, aujourd’hui, ça ne marche plus du tout. Mais des sujets qui sont recherchés par les internautes, donc faire une analyse de moquée vraiment très précise. Et avant, au tout début, je ne savais pas faire une analyse de moquée vraiment ultra nettée, comme je sais faire aujourd’hui, par intention de recherche, par vraiment persona, etc. Étape du parcours d’achat, tout ça, machin. Et l’idée, c’est que là, si j’avais à recréer un site aujourd’hui, j’irais dix fois plus vite parce que j’ai acquis toutes ces compétences au fil de l’eau. Et donc, comment je les ai acquis ? En faisant de la veille. Alors moi, je n’ai jamais acheté de formation parce qu’à chaque fois, je ne sais pas, je n’avais pas confiance ou je trouvais que les personnes, elles étaient trop à me vendre leur sauce, etc. Donc, je n’ai jamais acheté de formation. C’est un peu marrant parce que du coup, je vais vendre quelque chose que je n’ai moi-même jamais acheté par le passé. Maintenant, j’en ai acheté. Mais en tout cas, au début, quand je me suis lancé, je n’en avais pas acheté aussi parce que je pense que j’avais un côté très frugal et très genre le moindre euro que je mets, j’ai envie que ça me revienne et je n’avais pas la culture de l’investissement. Je ne comprenais même pas ce que c’était d’investir de l’argent en bourse ou tout ça. Pour moi, c’était hyper obscur. Aujourd’hui, je n’ai aucun mal pour investir dans des salariés, investir dans des prestataires parce que pour moi, je ne vois plus ça comme une charge, mais comme un investissement. Et donc, les formations, c’est pareil. Et donc, pour revenir à ta question initiale, Ce qui m’a fait perdre le plus de temps, c’est déjà de ne pas m’être formé, et donc du coup de partir de zéro. Alors que quand tu te formes, en fait, tu aspires limite les connaissances de quelqu’un qui a 10 ans d’expérience, mais en deux deux, en fait, tu passes du niveau zéro au niveau déjà 50 et tu es déjà, on va dire, par rapport au commun des mortels, tu as pris un gros step. Là, par exemple, je me fais coacher par un coach business. qui a atteint, enfin qui a vendu une boîte qui fait aujourd’hui 550 millions de chiffres d’affaires. Donc clairement, c’est un mec pour moi qui est un idéal en tout cas de target à atteindre. Et en fait, en une heure de son temps, ce qu’il m’apporte, c’est peut-être 20 ans de son expérience en fait. Et donc ça, ça n’a pas de prix. Alors même s’il me coûte 300 euros de l’heure ou plus, mais en fait, tu te dis que ce n’est rien par rapport au temps que tu gagnes en fait. Et le temps, c’est de l’argent, etc. C’est les coûts d’opportunité, etc. Donc moi, je dirais que ce qui m’a le plus ralenti, c’est le fait de passer qu’une heure ou une heure et demie par jour sur mon site. de ne pas maîtriser WordPress comme il faut au début. Non, j’ai mis du temps à vraiment le maîtriser nickel même si ça prend quand même assez vite. Et de ne pas trop avoir de stratégie claire, on va dire, d’acquisition et pas assez diversifiée aussi. C’est-à-dire que j’ai tout misé sur le SEO et aujourd’hui, je m’en mords un peu les doigts parce que par exemple les réseaux sociaux, j’ai toujours mis ça un peu de côté alors qu’aujourd’hui, c’est de plus en plus de poids en fait. Et donc du coup, il faut que je rattrape mon temps perdu, etc. Mais dans l’idée, oui, et puis passer miser peut-être sur la partie newsletter alors que la newsletter, tu es propriétaire de ton audience alors que réseaux sociaux, tu es locataire, tu es locataire d’une audience. Donc, je dirais ce côté un peu trop proche de mes sous m’a beaucoup impacté au début et surtout ce côté pas passer assez de temps, parce que j’étais salarié, j’avais le confort du salariat. Du coup, quand tu n’as pas la pression de l’argent, tu mets plus de temps à atteindre les objectifs. Quand tu as zéro euro et que tu dois absolument gagner 1000 euros à la fin du mois pour faire vivre ta famille, tu vas te sortir beaucoup plus les doigts du, si je peux me permettre, que quelqu’un qui est salarié qui gagne 10 000 euros par mois en tant que salarié, il s’en fout en fait du blogging, il s’en fout royal. Il y a aussi l’effet de toujours rechercher le dernier hack, la dernière astuce, l’objet brillant. Carrément, je suis la personne type qui se fait des fois un peu trop happer par les chaînes e-objects, etc. Après aujourd’hui, justement, même depuis le début d’année, ce que j’ai fait pour éviter cela, Je me suis créé, et ça je ne l’avais jamais fait, alors ça fait quand même 10 ans que j’ai mon site et mon activité. Je me suis créé des OKR, donc des Objectives Key Results. En gros, je me dis tiens, c’est quoi mes objectifs de l’année chiffrés, clairs. Et après, je mets des sous-objectifs chiffrés aussi pour atteindre cet objectif. On va dire global. Et je m’en suis défini, je crois, à 8 ou un truc comme ça parce que j’aime bien le chiffre 8 aussi. Et dans l’idée, en gros, tu te fixes déjà des targets précises et tu te dis pour les atteindre, il faut que je fasse ça, ça, ça, ça. Donc, si ça sort de ce cadre-là, déjà, tu sais que tu commences à t’éloigner et donc ce n’est pas bon. Ensuite, ce que je me suis fait, c’est que je me suis fait une sorte de projet de vie. Ça, je n’avais jamais fait aussi. Pourquoi je fais tout ça en fait ? Est-ce que c’est pour gagner de l’argent ? Non. Clairement, je vois ça comme une compétition. L’argent, c’est plus genre me dire que j’ai fait mieux que le mois dernier, c’est génial. Mais moi, mon moteur, ce n’est pas l’argent. Il y en a, ça va être l’argent. Il y en a, ça va être d’autres choses. Moi, mon moteur, c’est de gagner. le plus possible pour pouvoir redonner le plus possible. Là, je soutiens une association qui aide des enfants aux Philippines qui ont été victimes d’inceste, etc. Moi, ça me touche beaucoup ce genre de trucs. En gros, tous les mois, je soutiens huit enfants aujourd’hui. Moi, mon objectif, c’est de me dire si j’en soutiens 16, si j’en soutiens 32, qu’est-ce que ça va impacter si tu veux. Et je me dis, moi, c’est une petite partie de ce que je gagne, que c’est un impact sur huit personnes déjà aujourd’hui. Je me dis, ok, ça, c’est un impact positif sur huit personnes qui ont plus subi des choses horribles. Si je travaille un peu plus, peut-être que moi, ça ne changera pas mon niveau de vie parce que je ne suis pas quelqu’un qui dépense beaucoup. Mais par contre, j’ai défini un peu ce why, ils disent le why de Simon Sinek et pour me motiver aussi, pour me dire tiens, tu ne le fais pas pour toi. Aujourd’hui, j’ai un fils, je me dis tiens, j’ai envie de lui transmettre quelque chose en fait. Avant, je n’avais pas cette vision-là. Je me disais oui, ok, j’ai acheté ma maison, c’est super, oui, j’ai une belle voiture, c’est super, oui. En fait, mais tu te rends compte quand tu l’atteins, ce n’est pas ça qui te motive au quotidien. Moi, c’est de passer du temps de qualité en famille, c’est-à-dire du temps déjà libre que je n’avais pas forcément quand j’étais salarié que je pouvais mener les deux activités. Je n’avais plus de temps libre en fait pour moi. Genre, je ne sais pas, tu veux aller faire un golf, c’est un peu cliché, mais tu veux aller te balader dans la forêt un après-midi en pleine semaine. Quand tu es salarié, tu ne peux pas, à moins d’avoir pris un jour off. Quand tu es indépendant, tu peux y aller, hop, tu reviens, tu rebosses à 18 heures, etc. Et donc tout ça, moi, je l’ai défini comme un peu ce qui me motive et ce qui va me garder un petit peu dans mon cadre. Et après, tu te dis, pour éviter l’échalier objectif, tu reviens sur tes objectifs qui résultent et sur ta vision long terme. Donc, ma vision long terme aujourd’hui n’est pas du tout ce qu’elle était il y a deux ans et c’est ce qui va me permettre d’éviter. Tu vois, par exemple là typiquement, tu me parles d’Amazon FBA, moi ça me donne trop envie de tester. Mais en fait, ce n’est pas du tout dans ma vision long terme. Donc, je me dis non, stop. Et surtout que j’ai été responsable e-commerce avant et que moi le e-commerce, je ne veux plus en faire aujourd’hui. Donc, du coup, je me dis bon, tu vois, ce n’est pas ma vision long terme. Donc, même si ça m’intéresse, j’ai envie de tester, je suis curieux, tu vois tout ça, je dis non. Et donc après, il faut avoir un peu une force d’esprit pour se dire Est-ce que je suis dans mon cadre ? Est-ce que je m’éloigne ? Et si je m’éloigne, il faut avoir la force de dire, genre TikTok en ce moment, il y a toute une hype sur comment gagner de l’argent avec TikTok. Pour moi, c’est une hype qui, enfin je veux dire, c’est temporaire et super, mais tu ne vas pas gagner non plus sur le long terme. Tu ne vas pas revendre un business juste parce que tu fais de la pub sur TikTok. Voilà, il faut savoir un peu se dire, est-ce que tu es dans ton cadre ou est-ce que tu sors de ton cadre ? Et si tu sors de ton cadre, essaie de te recentrer. Ce n’est pas facile. Moi, je suis le premier à me divaguer pas mal, mais oui. Exact. Tout à fait. Franchement, c’est énorme ce que tu viens de partager. J’aimerais juste rebondir sur le fait que tu n’as pas envie de faire de e-commerce ou tu n’as pas envie de faire de Amazon FBA parce que ce n’est pas dans tes océans en ce moment, en tout cas sur cette année. Par contre, j’aimerais simplement rebondir sur le fait que tous ceux qui veulent faire du Amazon FBA, du e-commerce ou un autre business, je pense en fait qu’il faut quand même qu’ils s’intéressent au SEO ou au blogging parce que c’est une compétence fondamentale pour n’importe quel business. En tout cas, c’est comme savoir parler, c’est comme savoir écrire, c’est comme savoir vendre, c’est une compétence qui sera utile et ce n’est pas pour vendre des services, mais je pense sincèrement que c’est une compétence qu’on devrait même peut-être apprendre à l’école parce que c’est la base et c’est quelque chose en plus qui ne coûte pas d’argent entre guillemets parce que ça demande du temps, ça demande peut-être des freelances, des outils, etc. Mais entre guillemets, tu n’as pas besoin d’acheter de stock, tu n’as pas besoin d’acheter de tout ce que tu veux. Et même en fait, quand je vends mes produits sur Amazon, Tu es obligé d’écrire un titre, tu es obligé d’écrire des bullet points, tu es obligé d’écrire de la description. Ça, en fait, c’est du SEO. Donc, je pense sincèrement que le SEO, c’est une compétence de base que tout le monde J’ai même envie de te dire, même si tu fais du TikTok business, t’es obligé d’incorporer dedans des mots clés, des descriptions. Alors après, t’as des hooks vidéo, etc. etc. pour faire que l’algorithme te kiffe ou pas. Mais il y a quand même une partie de SEO et je ne suis pas certain que ça s’arrête d’ici peu. Toi, ça fait 10, 15 ans, 10 ans maintenant que tu fais ça. Je ne suis pas certain que ça s’arrête demain, donc clairement si on a un petit peu de temps devant nous, apprendre le SEO et les fondamentaux, peut-être pas devenir expert ou quoi que ce soit, mais au moins les bases, En tout cas, c’est une compétence que de un, tu vas pouvoir mettre sur ton CV, de deux, tu seras utile dans presque n’importe quel business. Et même si tu es salarié, en fait, c’est quelque chose qui te serait utile et qui ne se démordera pas parce que je ne suis pas sûr que, dis-moi si je me trompe, mais que les gros fondamentaux du SEO d’il y a dix ans ont changé. Non, clairement pas. En fait, il y a des tendances, il y a des trucs. Mais en fait, quand tu regardes réellement ce qui fait que ton site cartonne, c’est un bon contenu. de l’autorité de domaine, donc ça, c’est via Netlinking, tout ça, des partenariats que tu peux faire, etc. Et honnêtement, déjà, ces deux points, déjà, sont très bien. Après, tu as l’aspect technique. On me dit toujours, oui, il faut des bonnes fondations, tout ça. Ça, c’est clair. Si ton site, il est tout pété, il n’est pas indexable, il n’est pas crawlable, etc. Bon, voilà, clairement, voilà. Mais ce n’est pas le fait de passer d’un score PageSpeed Insight de 80 à 100, que ton SEO, il va exploser, tu vois. Et pour rebondir sur ce que tu as dit, ce qui est pour moi hyper intéressant, C’est en fait ce côté même pour les SEO, les SEO devraient s’intéresser au e-commerce. Les SEO devraient sortir de leur bulle on va dire SEO parce que typiquement là, tu parles d’Amazon SEO, de TikTok. Sur TikTok, tu fais du SEO. En fait, à partir du moment où tu as un moteur de recherche, tu as du référencement à faire. Et sur une marketplace, moi j’ai bossé donc pour un city commerce, je faisais du SEO sur les marketplaces. Mais comment je le faisais ? C’est que j’optimisais du coup mon flux de produits, etc. Et en fait, même pour Amazon, tu as plein d’actions SEO à faire pour que tu remontes mieux naturellement sur Amazon. Moi, j’ai travaillé aussi là-dessus du coup pour ce city commerce. Et si tu veux, pour moi, tant que tu as des marketplaces, tant que tu as des plateformes qui ont un moteur de recherche, tu auras toujours du référencement. C’est juste qu’on parle souvent de référencement Google, mais en fait, il n’y a pas que ça. Et en fonction de ton business, tu as aussi l’ASO, donc tout ce qui est Apple Store Optimization, tu as plein de trucs en fait. Tu as des tonnes de SEO. Et le dernier point que je voulais relever par rapport à toi, et tu parles des e-commerçants qui doivent s’intéresser aux SEO, mais on va dire les SEO, Aujourd’hui, quand tu crées un site internet, tu ne peux plus penser que SEO et que genre trafic issu de Google. En fait, comment tu monétises ? On parlait des différents moyens de monétisation tout à l’heure. Par exemple, je vais te donner un exemple concret. En gros, tu as un site aux US qui s’appelle Epic Gardening. Je te donne cet exemple-là, c’est dans le jardinage. En fait, lui, il a commencé comme un blog. un blog sur le jardinage, sur comment, voilà. Et ce qu’il a fait, c’est que progressivement, il a plugé en fait une boutique en ligne à son blog et en fait, il a été encore plus loin, il a créé ses propres produits à terme. Ce qui fait qu’au lieu d’avoir des marges, je ne sais pas, je dirais 20, 30, 40 % en vendant les produits des autres, il a 100% de la marge qu’il peut espérer avoir en faisant ses propres produits. Et surtout, il garde son client à 100% dans son écosystème. Et en fait, il est passé d’un blog qui serait munéré avec du display, avec du sponsoring, tout ça, à une vraie marque et à une vraie marque e-commerce. Et maintenant, une vraie marque de produits de jardinage. En fait, c’est comment tu fais passer en fait ton blog d’un blog à ça. En fait, c’est juste pour avoir la vision business tout simplement et surtout sortir de ton cadre. Tu l’as très bien dit, en gros, tu as la partie SEO, tu as la partie commerce, mais tu as plein d’autres trucs à penser. Il faut juste s’ouvrir un petit peu à tout ça. Et ce n’est que comme ça aujourd’hui, je pense que tu fais un business qui marche et un vrai business, pas juste un blog ou pas juste un e-commerce Amazon FBA, enfin voir un peu la bill piquer. Clairement, c’est un très bon conseil. Souvent, on pense qu’il faut d’abord faire un produit, alors que des fois, c’est juste construire une communauté, construire un petit peu de flux, un petit peu de visiteurs. Ensuite, au fur et à mesure, tu plugs un nouveau business model, un nouveau business model, un nouveau business model, et derrière, c’est terminé. Moi, à titre perso, quand je vendais mes produits de barbe, sur Amazon FBA, j’avais un système qui permettait de rentrer dans une séquence e-mail, donc j’avais un système qui me permettait de récupérer l’adresse e-mail de mes clients Amazon. Et derrière, en fait, je sélectionnais un ou deux produits que j’avais l’idée de commercialiser sur ma marque, mais que je n’avais pas encore Je n’étais pas encore certain. Donc en fait, je prenais un ou deux produits qui étaient déjà en vente sur Amazon. Dans ma séquence email, je rajoutais mon petit lien d’affiliation traqué. Et en fait, en fonction des chiffres que je voyais, que ça convertissait ou que ça ne convertissait pas, j’envoyais du trafic vers potentiellement un concurrent, même si ce n’était pas vraiment un concurrent. Et derrière, ça me validait le marché ou ça ne me validait pas le marché. Donc clairement, en fait, c’est quelque chose aussi sur lequel, juste en voyant les chiffres monter, descendre ou tout ce que tu veux, même si ce n’est pas toi le propriétaire de la marque, tu es capable ensuite, ce n’est pas le plus dur d’aller sur Alibaba et créer ta propre marque, c’est clairement pas le plus dur, le plus dur c’est d’avoir le trafic, le plus dur c’est d’avoir la visibilité, d’avoir la confiance de tes visiteurs et de tes clients et une fois que tu as ça, tu peux leur vendre entre guillemets tout ce que tu veux. totalement en adéquation avec ce que tu viens de dire. C’est hyper smart là. Je t’avais dit pour tester un peu le marché, moi je trouve ça hyper. Intelligent ce que tu as fait. Ouais, ouais, après, en fait, le problème, tu vois, c’est un petit peu ce que tu disais en tout début d’interview, c’est aller aussi faire des partenariats avec tes concurrents, etc. Je veux dire, il y a des produits sur lesquels je sais qu’il y a un énorme potentiel, mais je sais très bien que je n’irai jamais. Est-ce que je mets ça à la poubelle et je le laisse mourir ? Non. J’ai peut-être un intérêt à aller faire un partenariat avec quelqu’un qui a déjà le produit, qui a peut-être manque de temps ou peut-être manque de ressources ou manque de vision ou de hack ou tout ce que tu veux, d’aller faire un partenariat avec lui et voilà. Et si demain, ça se passe moins bien ou quoi que ce soit, ou que finalement j’ai les ressources financières, temporelles ou tout ce que tu veux pour lancer moi-même ce produit. Ecoute c’est go. Donc voilà. Sans vendre du rêve Vincent, c’est quoi tes revenus, ton chiffre d’affaires actuellement ? Alors je vais te parler du coup de l’année dernière. Là en gros sur l’année dernière j’étais à plus de 250 000 euros de le chiffre d’affaires avec du coup mon site et mon activité, on va dire, principale. Je ne te donne volontairement pas un chiffre précis parce qu’il y a quand même un minimum de personnes qui peuvent aussi s’intéresser à ce genre de données. Après, là aujourd’hui, je te dis, je suis à plus 120 % de chiffre d’affaires versus N-1. Donc, ça donne un peu un ordre d’idée de là où j’en suis aujourd’hui. Donc, si tu fais le calcul sur le début d’année, en gros, ça part vraiment très fort. Et l’idée, c’est que Encore une fois, c’est à combien on est aujourd’hui et quel est notre potentiel ? Moi, je suis, on va dire ma cible, j’ai une personne que je suis et qui, je sais, il a plus de 100 000 euros par mois. Et si tu veux, je sais que c’est possible puisqu’il est dans la même thématique que moi, etc. Donc, je sais que c’est atteignable. Maintenant, l’idée, c’est qu’est-ce que je dois faire pour aller chercher cette target-là ? Et encore une fois, ce n’est pas une question d’argent parce que là, on parle de chiffre d’affaires, il faut regarder la rentabilité vraiment à la fin. Et souvent en fait, moi je trouve que ce qui est un peu perturbant pour des personnes, c’est quand tu regardes le résultat net, tu peux regarder le résultat net, même là, tu peux regarder le résultat net d’OVHcloud qui est une des plus grosses boîtes d’hébergement web en Europe. En fait, tu regardes leurs résultats nets, ils perdent de l’argent. Est-ce que ça veut dire pour autant que c’est une petite boîte ou c’est de la merde ? Non, c’est juste qu’ils réinvestissent tellement que du coup, en fait, ils investissent dans leur croissance de plus tard. Moi, jusqu’à présent, j’ai eu cette vision toujours à me dire, admettons s’ils gagnent 250 000 euros, je vais garder 250 000 euros. C’était ma vision parce que j’avais peur et je n’avais pas beaucoup d’argent historiquement, etc. Plus tu deviens à l’aise financièrement, plus le montant d’argent que tu as en fait importe peu. Et en fait, c’est plus tu te dis, ok, c’est quoi ton objectif ? Est-ce que c’est de passer des étapes ? Est-ce que tu as toujours des plafonds des fois qui sont un peu durs à casser ? Et dès que tu les casses, hop, tu te dis, ok, maintenant c’est quoi le next step ? Alors, tu as des côtés comme ça, des fois ils sont un peu, tu ne te réjouis jamais de ce que tu as, donc ça, c’est un peu dommage. Donc moi, j’essaie de prendre conscience, on va dire, de la chance que j’ai aujourd’hui. Et en fait, je me dis, Moi, je me fixe toujours des objectifs qui sont cohérents vis-à-vis de ce que je peux atteindre. Je ne vais pas me fixer un objectif totalement décorrélé. Là, tu vois, sur le premier trimestre, par exemple, j’avais été un peu pessimiste, je me dis le premier trimestre, là en plus, il y a plein de trucs qui se passent, pas forcément positif. Au final, ça se passe très bien, tant mieux. Mais par exemple, j’avais prévu de lancer la formation, je ne l’ai toujours pas fait. Après, tu ne peux pas couvrir tous les lièvres à la fois. Donc, j’ai choisi mes combats et pour l’instant, ça marche. Mais l’idée, c’est que sur le long terme, comment je vais atteindre ces 100 000 ou plus de 100 000 euros par mois ? c’est qu’en gros, je vais diversifier mon activité, je vais investir du temps aujourd’hui pour en gagner, enfin gagner de l’argent demain et en fait, du temps et aussi de l’argent. Et aujourd’hui, là, j’investis beaucoup plus que ce que j’investissais par le passé dans des freelance, dans des sous-traitants, dans des salariés, dans des formations, du coaching, etc. Et en fait, je me rends compte que Tout ce que j’ai investi aujourd’hui, ok, à l’instant T, ça ne me rapporte peut-être pas autant que ce que j’ai investi, mais sur le long terme, c’est un investissement sur l’avenir en fait. Du coup, là, si on parle chiffre, c’est bien, mais en fait, il faut toujours remettre les choses dans le contexte et se dire, pour une personne qui nous regarde, Moi, j’ai commencé, j’ai gagné 30 euros par mois, tu vois. Donc, il y a un moment donné, il faut se dire, il faut bien commencer à un endroit et il ne faut pas se comparer à des personnes qui gagnent 100 000 euros par mois tout de suite. Il faut juste se dire que tu peux atteindre ça sur le très long terme. Mais même si ça met 10 ans, est-ce que tu… Enfin moi, regarde, là, ça fait 10-12 ans que je le fais, je gagne du coup, là en ce moment, plus de 30 000 euros par mois, etc. Tu te dis, Ok, c’est 30 000 € par mois, c’est très bien, c’est génial. C’est du chiffre d’affaires, il faut voir après ce qu’il te reste à la fin du mois. Je te rassure, il reste quand même suffisamment. Mais tu te dis, c’est très bien, mais c’est quoi en fait ? Qu’est-ce qui a permis d’atteindre ça ? c’est les 10 ans de travail en arrière. Et ce n’est pas du jour au lendemain où tu arrives à ça. Et en fait, c’est le problème, je pense, de ceux qui veulent se lancer dans des secteurs comme ça, c’est qu’ils croient que genre en 5 mois, ils vont atteindre 10 000 euros par mois. Ce qui peut être le cas sur le fait du consulting, mais globalement, ce n’est pas viable. Enfin, je veux dire, il ne faut pas se mettre dans la tête, tu commences, tu prends une formation, hop, tu atteins 10 000 euros par mois de profit, je veux dire, parce que là, si on veut parler vraiment de choses concrètes, c’est plutôt de profit. Et ce n’est pas possible ou alors c’est possible si tu as investi comme un gros bourrin parce que tu as 100 000 euros, tu as eu un héritage, tu as eu quelque chose, tu peux investir en pub, tu peux investir dans de l’humain, dans des salariés et tout. Là, tu peux peut-être atteindre 10 000 euros par mois plus rapidement. Mais il ne faut pas non plus dire voilà ça va être du jour au lendemain, je prends la formation, je suis riche et puis je n’ai rien fait, surtout je ne travaillais pas et ça tombe tout seul. Ce n’est pas comme ça que ça marche. Donc pour moi les chiffres, il faut faire attention et surtout un peu dans tout ce qui est business qui ont des taux de marge qui sont très faibles, Je parle par exemple du e-commerce standard. Amazon FBA, je ne connais pas, mais e-commerce standard, je le sais quand je bossais pour un site e-commerce qui faisait, je ne sais plus, je crois qu’il faisait 50 millions d’affaires annuelles au global sur la boîte, mais le e-commerce ne faisait pas 50 millions, il faisait 4 millions, je crois, un truc comme ça ou 4-5 millions. L’idée, c’est qu’en fait, on regardait tous nos coûts, les frais logistiques, les frais à la charge sociale, etc. Et en réalité, oui, ça fait beau de dire ça gagne 5 millions à l’année, mais en réalité, il restait pinasse. Je gagnais beaucoup plus, moi, en étant indépendant. J’avais plus de profit avec mon activité d’indépendant qu’avec un e-commerce à 5 millions. Donc, en fait, il faut se dire En fonction de ton activité, le chiffre d’affaires, ce n’est pas ce qu’il faut piloter. Il faut piloter ton reste net dans ta poche après impôt aussi parce que la France, c’est génial pour cela, on se fait bien tabasser. Dès que tu commences à gagner un peu d’argent, tu te fais bien tabasser. En fait, c’est quoi que tu pilotes ? C’est ton profit net par mois. Et moi maintenant, je ne regarde que cela. Le CA, c’est bien pour faire joli sur des courbes, sur des trucs, mais ce n’est pas ce qui te fait manger à la fin du mois. C’est pour ça aussi que j’aime bien ce que tu fais, ce que tu proposes et ton mindset parce que je suis un ancien contrôleur de gestion donc ça me fait toujours bien rigoler quand on parle de chiffre d’affaires sur LinkedIn ou sur tous les réseaux ou quoi que ce soit mais derrière c’est clairement la marge donc tu peux faire 40 millions de chiffres d’affaires si t’en dépenses 40 en charge, je parle pas en investissement comme tu viens de le dire et bien en fait ça sert strictement à pas grand chose Donc, à part se palucher dans des dîners mondains, mais sinon, ça sert pas à grand chose. Donc, clairement, je suis totalement d’accord et totalement en indico sûr avec toi. Juste, encore une fois, sans vendre du rêve, mais je sais que… En fait, c’est juste pour montrer, c’est pas pour se la péter, parce que je te connais un petit peu. C’est simplement pour montrer, encore une fois, que c’est possible et c’est ce que j’aimerais insuffler à tous ceux qui nous écoutent. C’est… Encore une fois, c’est possible sans… En. Travaillant bien évidemment mais sans avoir tout à l’heure tu mentionnais quelqu’un qui avait 40 000 sites ou quoi que ce soit toi tu fais 250k en 2000 l’année dernière donc avec combien de sites ? Honnêtement, en fait, il n’y en a qu’un seul qui me rapporte de l’argent. Enfin, les autres, en fait, c’est des side-projects où en gros, j’ai testé des trucs, je me suis dit tiens, je vais tester ça, puis après, j’abandonne parce que du coup, ce n’est pas mon focus. Et tu vois, on parlait du shiny object. Typiquement, quand je me suis mis sur les drones, shiny object. Quand je me suis mis sur la voiture électrique, c’est un site que j’ai fait avec mon frère justement, sur la voiture électrique, alors, ça partait super bien. Mais là, du coup, je l’ai full automatisé, je fais un test. Du coup, je l’utilise en mode test. Full auto, contenu IA, traduction en mode gros, dégueulasse, tout ça. Je vois que le trafic, en plus, il est grand. Je me dis que ce n’est pas possible. En fait, moi, je teste beaucoup les déclarations de Google. Quand on dit ne faites pas de spam, ne faites pas de machin. Oui, parce qu’eux, ça les fait chier de devoir nettoyer entre email la merde que d’autres personnes vont faire. Mais dans l’idée, moi, je suis toujours dans une approche testée. J’ai des sites qui me servent plus à tester. Mais en gros, un site qui me rapporte vraiment de l’argent, aujourd’hui, j’en ai vraiment un. Et en fait, là justement, ce que je veux faire, c’est diversifier un minimum parce que là, je l’ai vu avec la marge core update, petite baisse, etc. Donc, je me dis bon, c’est un peu. Et puis, je suis un mec qui prêche pour cette paroisse-là de dire, ayez au moins deux, trois sites au cas où vous vous faites défoncer sur un site. Et donc du coup, là, ce que je veux faire aujourd’hui, c’est un groupe de presse B2B. Alors, je reste dans mon alignement, on va dire, par rapport à mon site initial et je veux créer là, tout à cette année, je veux lancer 8 autres sites parce qu’aujourd’hui, j’ai les moyens et j’ai les ressources pour le faire que je n’avais pas il y a 10 ans, tu vois. Donc en fait, pour moi, concentrez-vous déjà sur un seul site. Et si vous faites les choses correctement sur un seul site, vous allez forcément gagner de l’argent. C’est qu’en fait, toi, par MakeCockpitLab, tu peux gagner, on en parlait tout à l’heure, tu peux gagner des centaines de milliers d’euros, voire des millions avec uniquement ce site-là. Et tu te dis, tu pourrais le transformer en média limite dédié à la niche. e-commerce Amazon, voire même peut-être plus. Mais dans l’idée déjà, c’était le leader de l’information sur Amazon FBA, Amazon KDP, gagner de l’argent sur Amazon, etc. et vendre sur Amazon au global. Mais tu as de quoi faire, mais des centaines de milliers d’euros, les doigts entre guillemets dans le nez. Sauf que ça ne va pas se faire comme ça en un claquement de doigts. C’est une vraie stratégie globale qu’il faut mettre en place et tout. Mais tu n’as pas besoin de 50 sites pour ça. Tu n’as besoin que d’un seul site que tu gères super bien. Et après, tu vas avoir toute une stratégie. Là, ce que tu fais avec le podcast, c’est déjà super. Ce que tu fais sur les réseaux sociaux. Pour moi, tu as déjà la stratégie. C’est juste qu’après, il faut accélérer forcément sur tout ça et quand tu es tout seul, tu mets plus de temps que quand tu es négué et ça, c’est normal. Pour moi, il y a plein d’exemples de sites où ils ont un seul site et c’est une machine de guerre. Moi, je suis une petite goutte d’eau par rapport à certains sites. Je suis dans un groupe qui s’appelle Keops Digital. Alors eux, ils ont une stratégie vachement de rachat. Donc, ils ont racheté Presse Citron, Zéronet, Journal du NIC, tout ça, machin. Donc là, ils ont un groupe qui est hyper thématisé, hyper siloté, tech, etc. Ils explosent tout sur la thématique parce qu’ils sont silotés, ils sont focus que sur cette thématique, ils explosent tout. Et tu les vois sur toutes les requêtes. Après, tu as Frandroid aussi en face, tu as Les Numériques, tout ça. Enfin, tu as les gros sites aussi en face. Mais ce que je veux dire, c’est que genre Les Numériques, analyser le site lesnumériques.com, Et si vous arrivez à déceler un peu le chiffre d’affaires qu’ils font, vous allez voir que pour moi, c’est des dizaines et des dizaines de millions d’euros qu’ils font en affiliation et qu’ils font en publicité, tout ça. Il y a un seul site lesnumériques.com et pour autant, ils font des millions. Donc, posez-vous entre guillemets les bonnes questions. Il y en avait un qui disait cela, posez-vous les bonnes questions. Mais en gros, l’idée, c’est de se dire qu’avec un seul site, tu peux déjà tout exposer. Avec 10, tu peux tout exposer, mais tu peux aussi beaucoup te disperser. Et si toi, tu fais un petit peu de travail sur 10 sites et que tu n’as aucun site que tu chouchoutes, Peut-être que tu vas gagner 500 euros avec tes 10 sites, alors ouais c’est bien, tu vas faire 5 000 euros par mois, c’est pas mal. Mais en fait, ça se trouve que tu aurais mis ton focus sur deux sites, peut-être que tu ferais 20 000, peut-être que tu ferais 30 000, peut-être que tu ferais 2 000 aussi, ce qu’il ne faut pas non plus. Mais dans l’idée, c’est les strates. Alors là, tu vois, tout à l’heure, on parlait de diversification, mais à contrario, là tu viens de dire de se focus sur un seul projet, un seul site. Alors, quand je parle de diversification, c’est surtout de sources de revenus. C’est qu’en gros là, admettons avec un seul site, je ne sais pas quantifier le nombre de sources de revenus différentes, mais je fais du consulting. Il y a un truc que je ne sais pas parler tout à l’heure, c’est que je fais de la newsletter aussi en mode consulting pour des entreprises tierces. Par exemple, je leur envoie une veille mensuelle. où en gros, parce que moi je fais de la veille quotidiennement, donc du coup voilà. Donc, je leur envoie une veille mensuaire, une grosse boîte, une grosse grosse boîte et en gros, je leur fais une note de synthèse de veille. Donc ça, c’est une source de revenu à part entière, mais qui a été issue de mon site parce qu’ils m’ont trouvé grâce à l’optimisateur. Donc en fait, ce que tu veux, c’est, il faut se dire qu’avec un seul site, ok, tu as un seul site, mais aujourd’hui, demain, je n’ai plus mon site, je le revends admettons, je revends mon site, grâce à ce site, j’aurai quand même toujours des sources de revenus parce que je l’ai créé à l’instant T et puis aussi une fois que tu revends un site, tu peux investir ton argent, etc. Mais tout ça pour dire c’est qu’en fait, tu peux avoir un seul site et diversifier tes sources de revenus avec des sources de revenus qui ne sont pas ultra dépendantes de ton site à l’instant T. Genre le consulting, c’est grâce à mon site aujourd’hui que j’ai des prestations de consulting parce qu’en fait, ça me donne de la visibilité en individu même si je ne me mets pas trop en avant. Mais c’est grâce à ça, c’est grâce à ça que du coup, j’ai été bien vu aussi dans certaines boîtes dans lesquelles j’étais et du coup, qu’ils me recommandent aujourd’hui des missions de freelance SEO, tu vois. Parce que en fait, si tu as bien travaillé en tant qu’employé et qu’il s’est implémenté à ton compte, ils vont te recommander. Donc, ça fait du boucharage et c’est indirectement grâce au site aussi, etc. Et donc, l’idée de diversification aujourd’hui, moi, ma vision de la diversification, c’est plus de diversifier les activités. Donc, admettons, je te parlais du logiciel SaaS, je te parlais de la formation, je te parlais en fait d’avoir différentes briques. Et pourquoi je te parle de ça ? C’est parce que, par exemple, moi, l’objectif que je veux faire, c’est un groupe de presse B2B. Et eux, comment ils se rémunèrent ? C’est avec de l’événementiel, avec du média, avec de la formation, de la vente de data, du sponsoring. En fait, tu regardes, ils ont peut-être 7 ou 8 sources de revenus différentes qui sont des activités à part entière. Faire un événement, c’est une activité à part entière. Faire un podcast, c’est une activité à part entière. Faire une newsletter, c’est une activité à part entière. Et en fait, tout ça, tu peux siloter. Genre Snowball, il gagne je ne sais plus combien de millions avec une seule activité, c’est que des newsletters. Donc, tu te dis si toi, à l’échelle de ton site, tu fais toutes les petites activités et que c’est une activité, limite tu le vois comme une petite boîte à part entière, en fait, tu as déjà diversifié et pourtant tu as un seul site. Tu vois ce que je veux dire ? Donc, c’est un peu l’idée. Moi maintenant, je veux aussi développer d’autres sites parce qu’aujourd’hui, j’ai plus de ressources et de moyens que j’avais avant. Mais si en gros tu commences, pour moi, c’est mets le focus sur un seul truc, fais-le bien et quand tu sais faire bien une chose, tu peux le faire sur d’autres sites. Une fois que tu as appris le process et que tu sais faire, commence à en faire d’autres. Mais pour moi, c’est step by step. Tu ne vas pas te mettre sur des milliers de trucs alors que tu ne sais même pas faire un seul truc bien. Tout à fait, mais du coup en fait si tu as une heure par jour sur un petit site business ou quoi que ce soit, donc ça fait cinq heures par semaine sans compter le week-end, tu conseilles de se focus sur un seul site plutôt que d’avoir cinq sites et à savoir une heure par site par semaine. Donc tu vas maximiser tes ressources, tes efforts sur un seul site et une fois qu’il aura bien pris, soit tu augmentes, tu réinvestis du coup, tu décuples avec des freelances, avec des prestats, etc. Ou soit du coup, tu vas aller sur d’autres sites internet, mais en tout cas, pas du tout tout de suite et pas au commencement. Oui, clairement. Moi aujourd’hui, avec le recul, ma strat, de me focaliser sur un seul site, pour moi, ça a été au final gagnant, même s’il y a plein de fois où j’ai hésité, je voulais lancer plein d’autres sites. Un peu, on revient à l’objet brillant. Mais si tu veux, moi, je le vois aujourd’hui dans la communauté SEO francophone. Franchement, 80 % des personnes que je suis, ils sont en train de passer de genre avoir une trentaine de sites ou une centaine de sites ou 500 sites ou je ne sais pas quoi, à se focaliser sur quelques plus gros sites. Et mettre le paquet dessus parce qu’en fait, tu te rends compte qu’aujourd’hui avec les updates de Google, En fait, tu as de moins en moins de place pour des sites médiocres ou pour des sites de moyenne qualité. Donc en fait, vu que les standards augmentent, tu ne peux pas avoir les niveaux de standards de qualité demandés par Google sur 10 sites à la fois si tu es tout seul à bosser dessus. C’est impossible, même avec l’IA, même avec tout ce que tu veux, même avec des rédacteurs, même avec des prestats, même avec des salariés. En fait, c’est quasiment aujourd’hui une mission impossible. Donc moi, ce que je recommanderais aujourd’hui et si je devais repartir de zéro aujourd’hui, ce que je ferais, Si je mettrais mes 5 heures de travail, si je n’ai que 5 heures de travail dans la semaine, je les mettrais sur un seul projet et on en parlait un peu en off tout à l’heure. je ferai un peu ma matrice Eisenhower où je dirais urgent important et je fais mes cinq heures de travail sur l’urgent important. Et tant que l’urgent important n’est pas prêté, je ne passe pas à autre chose et je ne veux même pas, je reste dans ma bulle et je limite, moi je coupe toujours mon téléphone la journée. En fait, je ne veux aucune distraction. Les réseaux sociaux, c’est bloqué. J’ai une extension Chrome qui si je passe plus de 30 minutes sur les réseaux sociaux, je suis bloqué. Au moins, Je coupe toute distraction parce que sinon, tu avais le fait de passer une heure à faire de la veille sur Twitter et avoir plein de syndrome de l’objet brillant, etc. Parce qu’en fait, tu vois tout le monde qui dit qu’il gagne 10 000 euros à droite, à gauche, max, etc. Donc, tu creuses un peu le truc et tu as perdu deux heures de ta journée, tu vois. Super, mais en fait, tes deux heures, elles valent de l’argent, tu vois. Donc, et si, oui, juste un point pour revenir là-dessus. Moi, un truc qui m’a aidé, j’ai lu un livre sur la gestion du temps il n’y a pas longtemps, Et en fait, le mec il disait, genre calculer en gros, genre en fonction de ce que tu gagnes, tu prends ce que tu gagnes à l’année en net et tu le divises par le nombre d’heures travaillées. Ça donne un peu genre combien entre guillemets ton temps à deux valeurs. Et tu te dis, si admettons tu sous-traites cette action-là et que ça te coûte moins cher que ce que toi tu coûterais indirectement le fait de dire, admettons, si tu vaux 100 euros de l’heure et que la tâche à sous-traiter vaudrait 20 euros, tu as plus d’intérêt à la sous-traiter qu’à toi de passer ce temps. Parce que si jamais, admettons, je ne sais pas, tu fais du consulting et tu peux rapporter 100 euros de l’heure, il vaut mieux que tu fasses cela. Et donc sur tes cinq heures travaillées, il faut vraiment bien les investir entre guillemets si tu n’as que cinq heures dans la semaine. Et donc voilà, revenir à ça, pour moi c’est focus sur une seule et même activité et tu mets le paquet dessus et tu donnes tout ce que tu peux pour exploser là-dedans. C’est ma vision, je ne dis pas que c’est ce qu’il faut faire. Je pense que tu as raison et je pense que tu ne peux pas avoir de résultat sauf miracle ou sauf coup de chance si tu t’éparpilles, si tu fais un petit peu de ça, un petit peu de ci, un petit peu de ça, si tu passes une heure sur les réseaux sociaux, parce qu’il y a un mec qui t’a dit qu’il fallait maintenant faire x, y, z alors que tout à l’heure tu mentionnais Snowball, Yohann Lopez, il fait 450k juste avec une newsletter, il n’a pas fait autre chose. En tout cas, pas pour l’instant, il va le faire peut-être next step, on ne sait pas. Mais voilà, il a mis le paquet sur une newsletter et basta. Toi, tu as mis le paquet sur un website, un site et puis basta. Et en gros, je pense que c’est… On n’est pas tous des Elon Musk, on ne peut pas tous avoir cinq gros sites de business parallèles. C’est l’anomalie du club. Exactement. Et clairement, en fait, je suis…. Je. Suis victime de ce « il faut faire 50 tâches différentes », un peu de ci, un peu de ça, un peu de réseaux sociaux, un peu de SEO, un peu de YouTube, un peu de podcast, un peu de plein de… En fait, il faudrait tout faire, mais on ne peut pas tout faire. Et clairement, ce focus sur un seul. Truc. C’Est ce qui sera à mon avis game changer sur n’importe quelle activité. Et tout à l’heure tu mentionnais aussi tu vois la partie formation, si tu achètes une formation Amazon FBA, une formation SEO, une formation Dropshipping, une formation IA, une formation TAC, sincèrement tu n’auras jamais le temps de toutes les suivre et surtout de toutes les mettre en pratique. Donc à quoi ça sert de toutes les acheter et au final on n’a jamais le temps de tout faire, c’est impossible. Donc ça ne sert à rien d’acheter 50 formations différentes ou quoi que ce soit, ou même acheter 50 livres différents. Si tu n’en lis déjà pas un en six mois, ça ne sert à rien d’avoir une bibliothèque des fous furieux. Tu perds ton argent, tu perds ton temps. En plus, ça te frustre. Clairement, je suis totalement victime de ce que tu viens de dire, mais je sais qu’est-ce qu’il faut faire pour se soigner. Et encore une fois, je suis en adéquation avec ce que tu viens de dire. Question à un million de dollars, je pense, ou d’euros ou de bitcoin, tout ce que tu veux. Est-ce que cette année, est-ce qu’à l’heure actuelle, c’est encore possible de gagner de l’argent sur Internet ou c’était valable que dans les années 2000-2010 ? Alors moi, ma réponse, ça n’a jamais été aussi simple de gagner de l’argent sur Internet qu’en fait les sources de revenus aujourd’hui. Pour moi, il y en a, c’est juste incalculable le nombre de méthodes que tu peux mettre en place pour gagner de l’argent sur Internet. Par contre, il y a quand même de plus en plus de concurrence. Donc là, clairement, il faut… Pour chaque, on va dire, niche que vous allez choisir, que ce soit se mettre sur TikTok pour gagner de l’argent avec la pub, que ce soit se mettre sur YouTube, que ce soit vendre des formations, que ce soit faire du SEO, etc. En fait, il y a tellement de sources, Amazon FBA, KDP, etc. En fait, c’est juste qu’il faut se dire, c’est quoi l’état, on va dire, de la concurrence et comment je peux faire mieux qu’eux ? Est-ce que je peux faire mieux qu’eux ? Et si la réponse est oui, tu te focuses sur ça et tu exploses le truc. Après seulement, tu vas te dire pour rejoindre et pour revenir un peu sur ce que tu as dit à l’instant. Après seulement, tu vas dire ok, j’ai tout explosé sur Amazon FBA, maintenant limite je suis un peu lassé, j’ai envie de passer à autre chose, tac, tac, tac. Allez vas-y, je vais tout exploser sur Amazon KDP ou je vais tout exploser sur le dropshipping ou je vais tout exploser sur le dropshipping SEO ou sur le e-commerce. En fait, tu as tellement, tellement, tellement, tellement de moyens de gagner de l’argent sur internet que limite tu peux te perdre. Quand tu débutes, moi là les quelques personnes avec qui je discute par rapport à ma formation et tout ça, ils ont du mal à choisir la niche. Alors ça, c’est un sujet, tu vois. Choisir une bonne niche, ce n’est pas facile. Mais déjà, choisir une bonne entre guillemets, un bon business en ligne entre guillemets, c’est quoi ? Moi, ce que je dis, c’est genre les influenceurs pour moi, mais genre ça, c’est voué à mourir. C’est ce côté genre, enfin moi, je déteste les réseaux sociaux déjà de base, mais tu vois le côté un peu genre vendre. Du flan, c’est un peu méchant, mais tout le monde ne vend pas du flan. Mais les influenceurs B2C, alors là, il y a toute une lance qui se passe sur les influenceurs B2B. Mais les influenceurs B2C, pour moi, la plupart, ils ne vendent honnêtement pas grand-chose, en tout cas pas de performance, pas de performance pour la boîte. Et du coup, pour moi, c’est voué à quand les marques vont finir enfin par se rendre vraiment compte que leur retour sur investissement n’est pas aussi bien que s’ils faisaient du Google Ads ou du SEO ou du SEA ou plein d’autres choses. Pour moi, il y a certains business models qui sont plus sur la tangente baisse et tu en as d’autres, comme le blogging, qui sont un peu oubliés parce qu’il y a tellement de tendances qui se passent. Même Amazon FBA, ce n’est pas trop connu. En fait, c’est des trucs comme ça où genre au contraire, moi des fois, je me réveille, je me dis, mais attends, est-ce que vraiment j’ai envie de faire une formation là-dessus ? Est-ce que je me dis, moi, je suis très bien. En fait, vu que dans tous les cas, tu ne peux pas cibler toutes les niches, à un moment donné, tu ne peux pas être partout non plus. En fait, tu te dis, Aujourd’hui, ça n’a jamais été aussi facile de gagner de l’argent sur internet, mais à la fois, il y a un côté concurrence qui fait que les attentes et le niveau que tu dois atteindre pour gagner de l’argent sur internet est quand même supérieur. C’est-à-dire qu’avant, notamment dans le domaine du référencement naturel, tu pouvais tout automatiser quasiment et tu arrivais à gagner de l’argent. Aujourd’hui, ça peut encore se faire et avec l’IA en plus, tu as des méthodes qui permettent de le faire, mais généralement, ça ne te tient pas longtemps en fait. C’est des business un peu, tu vois, qui sont voués à se faire dégommer tous les six mois. Donc après, tu peux gagner beaucoup d’argent comme ça parce qu’en fait, il faut toujours te redoubler, machin et tout, donc c’est un peu usant. Et moi, j’ai une approche où je vois plus la vision à long terme. Je préfère gagner moins aujourd’hui, mais sur le long terme gagner plus et surtout parce que moi, mon ambition, ce n’est pas gagner de l’argent à l’instant T, c’est plus le côté je m’éclate et puis j’ai la vision à long terme. Donc, je dirais pour revenir et pour essayer de rester un peu plus synthétique, ce que je n’arrive pas à faire, ça n’a jamais été aussi simple, mais d’un côté, il y a plus de concurrence, il y a beaucoup de moyens. Donc, il faut arriver à trouver sa niche et à mettre le paquet dessus et à ne pas s’arrêter tant qu’on n’a pas gagné de l’argent parce qu’en fait, il y en a plein qui abandonnent avant de gagner de l’argent, ce qui est un peu dommage. Très clair. Non, non, très clair. J’ai deux questions qui me viennent. Moi aussi, j’ai ce problème-là quand j’accompagne des élèves ou même des grosses boîtes qui recherchent à diversifier ou à chercher une autre niche. Quel conseil tu pourrais leur donner pour choisir une bonne niche, que ce soit sur Amazon FB avec un produit ou que ce soit sur le SEO et sur le blogging ? Alors moi, pour trouver des niches, déjà, ce que tu as dit tout à l’heure pour moi, en fait, c’est sortir de ton tunnel et parler à des gens déjà. Déjà, si tu n’avais pas parlé à ton voisin, tu n’aurais jamais pensé à toute cette niche astronomie. La niche astronomie pour moi, même en SEO, c’est une super niche qui n’est à mon avis pas concurrentielle et qui est à mon avis peu concurrentielle et qui peut être, si quelqu’un écoute là, il a envie de se lancer sur la niche peu concurrentielle, je pense que ça peut être intéressant de creuser un peu. Donc, comment aujourd’hui tu analyses une niche c’est que moi déjà je regarde, est-ce qu’il y a des concurrents ? S’il n’y a pas de concurrents, limite moi ça me fait peur parce que je me dis, il n’y a pas de concurrents, je ne vais pas pouvoir voler tout l’armoclet, je ne vais pas pouvoir, ça va être plus chiant entre guillemets, ça va être plus compliqué. Moi, j’aime bien, je suis un peu un feignant, donc j’aime bien partir pas de zéro, tu vois. Donc, si j’ai des concurrents, limite je suis content parce que je me dis, ok super, si j’ai 3, 4 concurrents et que ça fait quelques années qu’ils sont dessus, ça veut dire qu’ils en vivent potentiellement ou qu’ils gagnent de l’argent. Donc, une fois que tu as ça déjà. Juste à te couper parce que ça c’est quelque chose de très très très très important, c’est qu’en fait les gens se disent et souvent en fait se disent il y a déjà quelqu’un, il y a déjà un acteur, deux acteurs, trois acteurs sur ce business model, sur cette niche là, donc du coup en fait je n’y vais pas. Alors pour moi c’est l’inverse. Je pense que c’est une erreur. C’est l’inverse, mais après, il faut regarder aussi, est-ce que tu n’as pas un concurrent qui écrase le marché, tu vois. Genre Apple, bon, il y a Apple et Samsung, mais après, si tu es autre qu’Apple et Samsung, bon, ils galèrent un peu quand même. Enfin, Xiaomi, tout ça, machin, ils essayent, mais Huawei, machin. Donc, dans l’idée, c’est de se dire un peu cette approche-là. Est-ce que tu as déjà des concurrents ? Oui ou non. Si tu en as, moi, c’est un point positif. Si tu n’en as pas, est-ce que c’est une niche qui est tellement sous-cotée ou sous-connue que du coup, ça peut avoir le coup d’être le seul acteur ? Ça, c’est vraiment au cas par cas. Moi, j’avais trouvé une niche comme ça. Je ne l’ai pas fait parce que c’est une syndrome de l’objet brillant, mais honnêtement, c’est une niche. En gros, c’est dans la vente de bateaux, mais un bateau très spécifique. C’est vraiment un truc très spécifique et tu n’avais zéro personne dessus. Et en fait, les constructeurs de ce type de bateaux-là, ils galèrent à avoir des leads. En fait, vu que tu n’as personne sur les roquettes, c’était le bon point qui remontait sur ces roquettes-là. Je dis, what the fuck ? Et donc, en fait, c’est des bateaux qui valent plus de 100 000 €. Donc, tu te dis d’avoir avec le mec une commission, je ne sais pas, de 5 à 10 %, tu regardes le volume de recherche, tu te dis, tiens, Si je lui envoie 2-3 leads à l’année, déjà j’ai 5 à 10 000 euros par lead, c’est cool quoi, enfin qui convertissent je veux dire. Donc encore une fois, c’est de se dire étape 1, tu regardes la concurrence. Étape 2, s’il n’y a pas de concurrent, tu creuses un peu plus parce qu’il y a peut-être quand même du potentiel. Et étape 3, moi je fais toujours des analyses de mots-clés. Moi, c’est mon dada, j’adore ça. Analyse de mots-clés et j’utilise quoi pour ça ? Tu as des outils gratuits, donc tu as Ubersuggest. Ubersuggest, je trouve ça un peu trop limité, mais surtout Google Keyword Planner, vous allez là-dessus. Alors, idéalement, il faut dépenser un peu d’euros sur Google Ads pour avoir accès à toutes les datas, mais déjà, ça donne un peu un ordre d’idée. Tu peux utiliser Google Trends pour voir si la tendance de recherche est plutôt à la hausse sur les dernières années ou à la baisse. Et déjà, ce ne sont que des outils gratos. Donc, tu n’as pas besoin de débourser un euro pour faire une analyse. Et limite, c’est des analyses de marché que tu vas faire, mais à l’échelle de Google. En fait, du Google, c’est 92 % des parts de marché. de la recherche en France aujourd’hui en tout cas. En fait, tu as des données mieux que des études de marché et c’est gratuit. Donc moi, je fais toujours ça en fait. C’est toujours ma source de découverte de niches prioritaires. C’est mon ami Google. Et après, un peu de curiosité, parler à des gens. Comme tu dis, t’intéresser à sortir de ton cocon. Et aussi, moi, ce que je regarde beaucoup maintenant, c’est qu’à chaque fois que je sors dehors, je regarde toutes les entreprises qu’il y a dehors. Je me dis tiens, ça, il lui fait quoi ? Du sablage ? Ok. Sablage, est-ce qu’en SEO, ils sont bons ? Non, ils ne sont pas bons. Tiens, tu crées un annuaire sur tous les sableurs de poutre. C’est hyper spécifique, genre les couvreurs. Moi, j’ai bossé pour un couvreur, il galère à avoir des lides. Tu crées un annuaire de couvreurs spécialisé que là-dedans. Franchement, tu regardes tout autour de toi les business un peu traditionnels, tu as des idées de niche à gogo en fait. Enfin, c’est juste ouvre les yeux, sors de ton cadre digital et pour moi, ça marche pour vous. pour le e-commerce comme pour du business en ligne et dont la thématique est si haut, pour moi, je vois des opportunités. Tu regardes même ton bureau, tu as déjà plein d’idées de niches. Moi, je vois là, j’ai une lampe en hiver quand tu as pas assez de luminosité parce que moi, en plus, mon bureau est au nord, donc je n’ai pas trop de luminosité. Donc, j’ai une lampe qui me donne des trucs lumineux, une luminothérapie. Ça, c’est une niche. juste ouvre les yeux, tu regardes tout autour de toi dans ta maison, je crois voir, je ne sais pas si tu as un aquarium, mais en gros…. C’est la tortue de mon fils et je peux te dire qu’il y a une énorme niche sur les tortues. Mais comme tu le dis en fait, sur ton bureau, il y a énormément de niches et c’est le conseil que je donne gratuitement à toutes les personnes qui cherchent des niches aussi, c’est que au lieu de scroller Instagram, même si Instagram, TikTok et tout ça, c’est aussi une source inépuisable de niches, en fait. Mais putain, mais va scroller Amazon, va scroller Alibaba, va scroller Aliexpress et tu verras qu’il y a des niches de passer de produit en produit, en produit, en produit, en produit. Ensuite, forcément, il faut faire des recherches. Comme tu disais, Google, tout simplement, Keyword Planner et Ubersuggest ou autres logiciels ou Google Trends, ça te donne déjà une bonne idée. Et l’autre solution aussi, c’est tout simplement en fait Moi, c’est quelque chose que je fais régulièrement et j’aimerais le faire aussi en… Alors ça, c’est pour tous mes concurrents, s’ils veulent le faire avant moi, allez-y à fond. En fait, d’aller dans la rue. Parce qu’en fait, j’ai une grosse question qui revient souvent, c’est est-ce que, comme on le disait tout à l’heure, est-ce qu’on peut encore gagner de l’argent sur Internet ? Est-ce qu’on peut encore gagner de l’argent sur Amazon FBA ? Et ça, en fait, depuis 2015, j’ai cette question qui revient tous les ans. 2015, 2016, 2017, 2019, 2025, 2030, on aura cette question. Et en fait, j’ai juste envie de dire, aller dans la rue, demander aux gens où est-ce que vous avez fait vos derniers achats e-commerce, tu verras que 80% du temps ça sera Amazon, ça sera Mano Mano, ça sera Temu maintenant, ou Shihin, ou ce genre de, ça reste 4-5 mastodontes, mais comme 92% des requêtes sont faites sur Google, je pense que 92%, je n’ai pas le chiffre exact, mais que une bonne partie sont sur, enfin que Amazon, Donc voilà, il y a encore toujours un business. Et derrière, en fait, la question, c’est qu’est-ce que tu as acheté sur Amazon ? Tu regardes, si le mec là, il a acheté sur Amazon, c’est qu’il y a d’autres personnes qui ont aussi ce problème là, qui ont aussi eu l’idée d’aller regarder sur Amazon et d’acheter sur Amazon. Encore une fois, ne réinvente pas la roue, ne va pas inventer des produits qui n’existent pas avec des investissements coûteux en moules, en brevets ou tout ce que tu veux sur Alibaba en plus avec la Chine je veux dire tu perds ton temps et ton argent à essayer de breveter des choses ça sert strictement à rien en termes de propriété intellectuelle donc prends un produit qui fonctionne et qui marche et puis essaye de faire encore une fois ça tu l’as dit tout à l’heure et je pense que c’est aussi un petit peu l’idée générale dis moi si je me trompe du core update de Google, c’est de faire mieux que la concurrence, de faire de la qualité et de ne plus faire un petit peu les choses à moitié. Donc, je pense que c’est valable un petit peu partout et dans tous les domaines, dans tous les secteurs. Ma deuxième question que j’avais tout à l’heure, c’est bon, on a notre idée de niche. La question fondamentale, et là, c’est une question un peu plus perso, c’est est-ce que tu penses Est-ce qu’il vaut mieux se lancer sur la France parce qu’on a un auditoire francophone ou plutôt anglophone ? Et ça, c’est une question un peu perso que je me pose et j’ai ma propre réponse, mais j’aimerais bien ton avis. Alors pour moi, je suis en plein dedans aussi, donc du coup, je n’ai pas forcément la réponse toute faite, mais si tu veux, pour moi, Un constat que je vois, c’est que forcément, tu te lances sur le marché anglophone, le potentiel, il est juste décuplé fois je ne sais pas combien de pourcentages, mais c’est énorme. Après, la concurrence est plus féroce, c’est sûr, et tu as intérêt aussi d’avoir un anglais quand même assez irréprochable parce qu’on va dire que tu t’adresses à des Anglais qui sont au Royaume-Uni ou à des Américains, autant, je vais dire à l’oral, ils vont être un petit peu permissifs, sauf si tu as un accent dégueulasse. Autant à l’écrit, si tu fais des fautes et que ce n’est pas lisible, ils vont se barrer direct de ton site. Donc, tu as intérêt d’avoir un niveau de qualité si tu t’adresses au marché anglophone qui est irréprochable. Donc moi, je dirais, si tu vois que tu as en gros un potentiel sur le marché français, et que tu as les moyens de faire ça correctement sur d’autres marchés, fais-le parce qu’en fait, l’international pour moi, c’est sous-côté en fait. Le côté même des marchés qui sont nettement moins concurrentiels que la France, genre l’Espagne, l’Italie. Là, on en parle beaucoup dans la communauté SEO de cette partie-là. En gros, même la Turquie, des pays comme ça qui sont quand même des gros marchés. Le Brésil, le Portugais du coup, gros gros marché, mais moins concurrentiel. En fait, tu te dis, Aujourd’hui, admettons-toi ta formation, tu as des méthodes qui pourraient te permettre de l’internationaliser avec peu d’efforts, typiquement avec des logiciels IA, etc. Sauf qu’après, il faut la médiatiser ta formation parce que c’est bien de l’avoir, mais il faut aussi la médiatiser. Moi aujourd’hui, la stratégie que j’ai pour mon groupe Médias B2B que je suis en train de créer, c’est de cibler les huit langues les plus parlées dans le monde. parce que j’aime bien le 8 encore une fois. Et donc, du coup, je vais créer 8 médias en 8 langues. Et en fait, l’idée, c’est que je vais intégrer l’internationalisation dès le début parce qu’en fait, c’est plus dur d’internationaliser un projet que tu as déjà lancé en full français que de dès le début de le faire en full international. Parce que dès le début, en fait, tu penses à ce que tu dois faire même d’un point de vue SEO pour que ton site soit conforme aux normes SEO internationales avec les href langues et tout ça. Et donc, du coup, C’est plus compliqué de faire évoluer quelque chose que tu n’as pensé qu’en mode français. Et surtout, tu vas penser admettons si tu cibles l’arabe parce que du coup l’arabe, ça ne se lit pas comme nous de gauche à droite, mais plutôt de droite à gauche. Donc, il faut penser que ton site doit être compatible. En fait, si tu l’as en tête dès le début, si tu veux cibler le japonais, le japon c’est un marché hyper intéressant aussi. et peu concurrentielle. Donc, en fait, ce que c’est ça, c’est que est-ce que toi, ton produit, il a vocation à cibler plein de marchés ? Si oui, pour moi, je dirais que oui, il faudrait que tu intègres l’internationalisation dès le début, au moins dans ta réflexion, même si tu ne le fais pas à l’instant T, mais au moins tu l’as pensé et tu l’as prévu pour que genre dans 6 mois, 1 an, tu puisses lancer progressivement les verticales par langue et tu priorises, on va dire, les différentes langues. Là moi aujourd’hui dans mon secteur, si je veux lancer mon site à l’international, forcément le plus gros potentiel, c’est le marché anglophone. Et là, je voyais des personnes qui font le trafic que je fais tous les mois, ils gagnent quatre fois plus en RPM le display. Et tu te dis avec le même trafic, il gagne quatre fois plus. Tu te dis, mais putain, what the fuck, c’est bon. En fait, le travail, c’est le même quasiment pour avoir le même trafic. Limite, c’est plus facile aux US parce que le volume de recherche est beaucoup plus élevé. Donc, il suffit que tu aies un article qui performe. En gros, la part de voix, vu qu’elle est plus importante, du coup, tu vas avoir beaucoup plus de trafic. Et vu que tes RPM sont plus élevés, en tout cas sur la partie de display, c’est beaucoup plus intéressant. Donc après, comme on l’a vu tout à l’heure, il y a plein de sources de revenus, il ne faut pas voir que le display. Mais forcément, c’est pareil, si tu as un site international, avec un seul et même client, genre moi dans mathématiques et logiciels, je vais pouvoir lui vendre deux fois parce que je suis présent sur le marché français et anglais. Et si je suis sur dix langues, je vais pouvoir potentiellement avec un seul prise de contact vendre dix fois. Alors, peut-être pas un volume non plus énorme parce qu’après son budget va être limité, mais dans l’idée, tu te donnes plus d’opportunités. Après, ça coûte plus cher, il faut maintenir toutes les langues d’un coup, donc ce n’est pas les mêmes coûts, pas le même travail, etc. Après, c’est un peu fait un ratio genre est-ce que tu es capable d’avoir le même standard de qualité sur de l’anglais, du français, de l’allemand, du chinois, etc. Et ça, ce n’est pas évident. Je dirais que c’est un peu entre deux. Ce n’est pas évident. Je suis totalement d’accord avec toi. Ça, c’est une question aussi que je me suis beaucoup posée là depuis peu, Quand j’ai lancé le logiciel AMZ Cockpit, on était franco-français avec 99% de clients francophones. Donc on avait des Français, des Luxembourgeois, des Belges, des Canadiens, mais ça restait francophone. Et je sais pertinemment que si j’avais lancé une feature, plus une traduction, plus du contenu en anglais, ça aurait fait x10, x50, x100 sur mon MRR et c’était inévitable. Et c’est clairement une question qu’il faut encore une fois se poser, mais avec des contraintes aussi budgétaires de connaissances, parce qu’écrire en anglais, ce n’est pas la même chose que dans ta langue natale pour un francophone. Mais c’est les sujets qu’il faut, je pense, ne pas oublier parce que c’est un potentiel juste beaucoup plus important que juste la France. Et la France, même si on a l’impression d’être un des top pays, sincèrement, on est très loin de certains pays. Et comme tu disais aussi, du Brésil ou de la Turquie ou ce genre de pays un petit peu émergents, parce que c’est un peu péjoratif, mais sincèrement, un potentiel juste incroyable avec un pouvoir d’achat qui est en train de tout péter et il ne faut pas l’oublier. Alors est-ce que c’est la priorité ? Est-ce que c’est second step ? Est-ce que voilà encore une fois c’est quelque chose que tu dois ne pas oublier mais pas faire tout de suite ? Ça c’est une réflexion que tu dois avoir peut-être Je ne sais pas, en amont, en dessous. C’est quelque chose en fait qu’il faut réfléchir, qu’il ne faut pas oublier. Mais encore une fois, c’est à quel moment tu le mets dans ton business. Oui, d’intégrer dans ta strata dès le début, pour moi, c’est une bonne chose. Après, c’est est-ce que tu le fais dès le début ou pas ? C’est ça la question. Là, par exemple, il y a les sites que c’est en train de créer. Donc là, j’ai déjà un peu la structure, tout ça, machin, c’est nickel. Et tu vois, par exemple, typiquement, avant, mon site, par exemple, le digital, je l’ai fait en premier. Je me suis fait avoir, je ne peux pas l’internationaliser. De toute façon, le nom, je ne l’avais pas prévu pour l’internationaliser. Du coup, là, je suis en train… En fait, dès le début, le nom de marque, entre guillemets, je le pense international. je prends le point com en priorité et si je n’ai pas le point com, ça veut dire que je ne peux pas le faire. Donc du coup, en fait, dès le début, j’ai la réflexion, ce qui fait que du coup, derrière, ça va être fluide, ça va être facile. Là, aujourd’hui, je ne peux pas internationaliser le petit digital facilement. C’est-à-dire qu’il faudrait que je fasse une redirection vers le petit digital.com et même le petit digital.com pour moi, ça ne parle pas du tout aux gens. Peut-être digital, à la rivière, ça parle, mais même déjà le petit digital, je n’aime pas du tout de bonne marque, mais ce n’est pas grave. Mais dans l’idée, tu vois, en gros, Il faudrait tout repenser, s’il y a de la complexité, etc. Alors que si tu l’intègres dès le début, c’est beaucoup plus fluide. Et ce que tu as dit, pour moi, c’est totalement vrai. Sur un logiciel SaaS, si tu l’intègres dès le début, c’est le jour et la nuit, clairement. Je pense, tu connais l’aimlist ? Oui. Je pense que s’il a réussi, c’est simplement parce qu’il était en version anglaise et qu’il maîtrise la langue de Shakespeare et qu’il a il fait des calls, il fait des démos avec les US et je me rappelle qu’il avait dit quand il avait fait son lancement à Psumo, non c’était quoi, c’est Hunter, c’était l’Amérique et c’était les US qui l’avaient drive et qui lui ont fait ses premiers euros en subscription. Et encore une fois, c’était un logiciel, je pense que par photo la partie US et je m’en rends compte de plus en plus de logiciels français commencent à venir sur la partie internationale. Je pense à Walaxie, anciennement Prospectin, qui, sincèrement, le français est quand même assez compliqué comme client. Franchement, il faut cravacher pour lui faire sortir la CBI. Oui, mais clairement, mais ça tu as totalement raison. Puis nous, on a une culture, on n’est pas trop payé, machin, etc. Aux US, tu apportes de la valeur, ils n’ont aucun mal à sortir la carte bancaire. Moi, c’est ce côté de se dire si tu penses que français, dans tous les cas, tôt ou tard, tu vas être capé en termes d’audience ou en termes de chiffre d’affaires, des trucs comme ça. Si tu penses international, déjà avant d’arriver à être le leader international d’une thématique, tu as intérêt à te lever tôt. Et surtout en plus de ça, si tu prends 5% des parts de marché, tu as un plus gros gâteau. Forcément, tu vas toujours faire plus que si tu avais 80% des parts de marché en France. Donc clairement pour moi, la vision internationale, c’est hyper important. Et surtout, comme on disait tout à l’heure, tu as des niveaux de concurrence des fois par pays qui vont faire que ça se trouve que tu vas être très nul en France en termes de parts de marché. Mais si tu es leader en Pologne, tu es leader en République tchèque, tu es leader en Turquie et tu es leader au Brésil, à la limite, ton chiffre d’affaires en France, tu t’en fous. Et ça ne t’empêche pas au final de réussir. Et surtout que c’est moins concurrentiel. C’est clair. La Pologne est vraiment très sous-côté. J’ai un bon contact chez Amazon et clairement, Il y a des agences polonaises qui brassent quelques millions juste en accompagnant des retailers polonais sur la plateforme et sur la marketplace Amazon. Et les mecs, ils se gavent comme des porcs. Donc, clairement, il y a des marchés extrêmement sous cotés. Et il ne faut pas croire que la France est le centre du monde. Et tu vois, ça me fait penser aussi à des clients ou même des gens qui n’ont pas pris ma formation, mais qui me demandent des conseils que je donne gratuitement comme un débile, mais bon là c’est le hormosie qui parle. Ils ont un produit qui fonctionne bien en France, ils ont fait tout ce qu’il fallait, optimisation, etc. Ils sont arrivés à un cap où ils ne peuvent pas vendre plus et ils me disent je vais lancer un deuxième produit. Je dis mais c’est débile, tu peux lancer d’autres marchés, donc tu vois tu as d’autres marketplaces, l’Allemagne, les UK, l’Italie, l’Espagne, la Suède, etc. Ou même les US avec le Canada ou même le Japon ou les Émirats. ou d’Australie. C’est encore plus simple, j’ai envie de te dire, d’aller lancer le même produit sur une autre marketplace parce qu’en fait, tu as déjà ton fournisseur, tu as déjà la qualité qui est au rendez-vous, la logistique, il va falloir un petit peu l’adapter. Tu as juste des traductions à faire, ce n’est pas compliqué, plutôt que de tout retaper sur un nouveau produit, faire du sourcing, enfin bref, je te passe les détails. Et en fait, les gens se disent non, je suis français, je vends en France et c’est parfait. Donc il y a d’autres problèmes qui vont arriver avec la TVA etc etc mais ça c’est des problèmes de riche j’ai envie de te dire et d’expansion et clairement pour moi en fait une fois que tu as un produit que tu as capé au niveau des ventes sur la France si tu as commencé par la France au lieu d’aller chercher un autre produit à vendre et d’étendre ta gamme, ta niche, je pense, en tout cas c’est mon avis perso, qu’aller le proposer sur d’autres marchés, c’est beaucoup moins chronophage et beaucoup moins gourmand en ressources, que de reprendre un nouveau produit avec la trésorerie que ça va demander, etc. Donc clairement je suis totalement en adéquation avec toi. En gros, tu as validé ton product market fit. Tu sais que ça marche sur un marché. Pourquoi ça ne marcherait pas sur l’autre ? Après, des fois, tu as des spécificités, mais dans l’idée, tu as déjà ton product market fit. Donc, c’est plus facile. Encore une fois, il faut prendre ça avec des pincettes parce que j’avais une cliente aussi qui vendait des patins à glace sur Amazon. Clairement, en fait, il n’y avait aucun intérêt à aller en Espagne vendre des patins à glace parce que ce n’est pas du tout dans leur culture, ce n’est pas du tout dans leur mentalité. Mais par contre, aller au Canada et aller aux US, c’est quelque chose de juste incroyable en termes de vente et c’est ce qu’elle a fait et elle a tout explosé. Vincent, est-ce que tu penses qu’il faut mieux publier sur les réseaux sociaux ou plutôt créer des articles de blog et des pages SEO, blogging ? Alors, tu m’aurais dit cela il y a deux ans, je t’aurais dit les réseaux sociaux, ça ne sert à rien parce que moi, je n’ai jamais aimé les réseaux sociaux. Mais aujourd’hui, en fait pour moi, c’est indispensable d’avoir une stratégie globale. Là, on en parlait à une conférence il n’y a pas si longtemps que cela, la semaine dernière où en gros, c’est maintenant tu ne peux plus penser Mono-canal, pour moi, il faut penser multi-canal. C’est-à-dire qu’en fait, une personne qui va convertir chez toi, il ne va pas forcément juste venir du SEO et après convertir. Il ne va pas forcément juste venir de l’Instagram et après convertir. Il va peut-être te découvrir via le SEO. Après, tac, il va te suivre sur Instagram. Il va voir tes contenus tous les jours, il va se dire, ah, pas mal, machin et tout, tac, tac. Après, il va retaper ta marque sur Google, Copytelab et là peut-être qu’il va convertir, admettons. Donc, en fait, ton point de contact initial, ça peut peut-être être le SEO, mais ça peut peut-être être Instagram, ça peut peut-être être YouTube, ça peut peut-être être autre chose, ton podcast, etc. Parce qu’en fait, maintenant, il faut se rassurer les gens. Tu es obligé en fait de, tu vois, on parlait tout à l’heure des vendeurs de rêve, etc. Mais si les personnes n’ont pas confiance en toi et ça se gagne la confiance, tu vois, ce n’est pas que juste en montant des screenshots de chiffres d’affaires qu’ils vont gagner la confiance, tu vois. Et donc, dans l’idée, c’est comment ça se passe et avec tous ces points de contact-là aujourd’hui. Donc, aujourd’hui, je ne serais plus aussi catégorique de dire les réseaux sociaux, ça ne sert à rien. Au contraire, je te dirais limite, tu vois, investis, Je ne dirais pas 50-50 de temps parce que pour moi, les réseaux sociaux, tu loues ta visibilité. C’est cela qui m’énerve le plus avec les réseaux sociaux. C’est qu’en gros, le jour où ils changent leur algo, mais c’est comme Google, mais c’est différent quand même. C’est que le jour où ils changent leur algo, en fait, tu as beau avoir 100 000 abonnés, peut-être qu’en fait, tu ne vas toucher même pas 0,1 % de tes abonnés alors que tu as mis 10 ans pour avoir 100 000 abonnés. Donc en fait, c’est cela qui m’énerve un peu avec les réseaux sociaux. C’est ce côté, tu n’as pas un moteur de recherche à part sur TikTok ou YouTube où là pour moi, c’est ce que je préfère parce que du coup, tu as un moteur de recherche. Mais genre sur Instagram, tu as un moteur de recherche, mais il n Je ne sais pas qui utilise le moteur de recherche de Facebook, mais je suis sûr qu’il y en a beaucoup qui l’utilisent. Aujourd’hui, pour moi, tu ne peux plus trop te passer pour moi d’une stratégie de 360 degrés. Du coup, je dirais, allez moi, je vais prêcher peut-être un peu plus sur les SEO parce que c’est un peu mon cœur de métier. Je dirais que fais peut-être aller 60 % de SEO, 40 % de réseaux sociaux, mais par contre, type des réseaux sociaux sur lesquels tu peux influencer un peu la recherche, tu peux jouer un peu sur la recherche, typiquement TikTok. YouTube pour moi, c’est mes deux prio personnellement sur cette année parce que je peux faire du SEO sur TikTok et YouTube. Et je sais que les jeunes d’aujourd’hui, ils recherchent sur TikTok limite plus que sur Google. Et pareil pour YouTube, des personnes comme toi et moi, je pense que tu as plein de fois recherché des choses sur YouTube. et tu vas davantage convertir après avoir vu une vidéo YouTube. Limite comme ça, nous on parle, etc. Limite les personnes vont avoir davantage envie de nous faire confiance aujourd’hui ce qu’ils nous ont vu en vidéo que si on avait fait un article de blog pour parler de la même chose. Déjà, ils n’auraient jamais lu tout ce que là, cela dure je ne sais pas combien de temps, mais ils n’auraient jamais lu la moitié de ce qu’on aura écrit. Mais dans l’idée, c’est que tu ne peux plus maintenant pour moi te passer d’être multimodal et multicadeau d’acquisition. Encore une fois, je suis totalement d’accord avec toi. Je reviens un petit peu sur ce que j’ai pu… Je suis aussi mitigé, entre guillemets, parce qu’avant j’étais focus 100% SEO. Mon premier site WordPress date de 2008, j’ai regardé la dernière fois. Ensuite, tu es arrivé là il y a quelques années à faire beaucoup d’Instagram. parce que c’était la hype, parce qu’il y avait quelque chose de plutôt bien. Mais au final, et c’est ce que je t’avais expliqué la dernière fois, c’est qu’il y a quelques mois, j’ai arrêté. Pendant un an et demi, deux ans, on a publié tous les jours sur Instagram des beaux trucs, je pense, et ça nous a fait grimper à 22 000 abonnés, donc c’est plutôt bien. Mais depuis quelques mois, j’ai arrêté de publier sur Instagram Et en fait, le robinet de lead, c’est de t’arrêter. La visibilité sur Instagram, c’est de t’arrêter du jour au lendemain. Vraiment, c’était on off quasiment. Et c’est ce qui me dérange un petit peu versus le SEO. Donc, quand je mets le SEO, comme tu l’as dit, c’est articles, c’est pages, c’est Google, mais c’est aussi potentiellement beaucoup YouTube. Tu vois, parce qu’en fait, maintenant, comme tu le disais, les jeunes ou même de temps en temps quand j’ai un truc un peu plus visuel, un peu plus technique, je n’ai pas envie de me taper un article de blog ou du moins, même si j’adore lire, un tuto, un problème technique, un truc à modifier sur mon WordPress ou un truc comme ça. limite je préfère quand même regarder une vidéo youtube que me taper un long article de blog qui va m’expliquer parce qu’il a bien fait son travail l’existence de tout et n’importe quoi sur la sémantique pour son concours etc etc alors qu’une vidéo youtube va quand même beaucoup plus à l’essentiel donc c’est clairement ce que j’ai envie de revenir et c’est ce que j’ai envie aussi de partager un petit peu à travers cette interview c’est que shiny object c’est bien faites un petit peu de tiktok faites un petit peu d’instagram faites un petit peu de même de linkedin ou quoi que ce soit même si les… enfin tout ça ça a une durée de vie très… enfin c’est comme un papillon c’est quelques heures de vie quelques jours maximum mais contrairement à un article à une belle page bien optimisée qui va te prendre peut-être pas forcément plus de temps parce que tu sais un beau carousel un beau reels sur instagram sur tiktok ou quoi que ce soit ça demande quand même beaucoup quelques heures de travail, même si ça ne dure qu’une minute au final, mais sur le long terme, clairement, en fait, il n’y a pas photo. Donc YouTube, podcast, peut-être aussi Spotify et tout l’univers podcasting, c’est des systèmes où tu as un système de recherche, comme tu disais tout à l’heure, en fait, dès qu’il y a une barre de recherche avec de l’indexation et des choses sur lesquelles tu vas pouvoir recracher un contenu d’il y a quelques années, Je pense que c’est là dessus qu’il va falloir un petit peu focus votre énergie et voilà. Et c’est un peu la même chose sur Amazon encore une fois. Ton produit n’apparaît pas comme ça à la tête des gens, même s’il y a des recommandations ou quoi que ce soit. La plupart du temps, c’est une recherche qui amène sur un comparatif, qui amène sur peut-être une inscription à une newsletter, peut-être sur un truc comme ça. Donc, c’est un petit peu le concept du Beaufu, Mofu, Tofu, un truc comme ça, je ne sais plus exactement. Et il va falloir un petit peu l’amener dans ton funnel, lui apporter un petit peu de confiance. et derrière amener à la conversion et tout ça en fait ça se travaille mais ça ne se travaille pas sur de l’éphémère je pense, à moins que tu as envie de faire des arnaques et que tu as envie de monter un énorme projet, faire un truc qui a une durée de vie de quelques semaines, de quelques mois, dans ce cas oui n’investis pas sur le SEO ce serait complètement débile et bien au contraire qu’il ne faudrait pas le faire mais si tu veux vraiment avoir, enfin je veux dire depuis des années que tu as ton blog, on peut même appeler ça un blog le petit digital. Clairement, si tu avais accès que à ta stratégie sur Instagram ou sur Facebook, je pense que tu n’aurais pas la même réussite et que tu n’aurais pas les mêmes chiffres qu’à l’heure actuelle. Clairement, je suis totalement aligné avec ce que tu viens de dire. Il y a aussi ce côté, tu vois, en gros de te dire que tout ce que tu as fait par le passé pendant ces dix ans te serve encore aujourd’hui en fait. C’est en fait pour moi, c’est ce que j’essaie de comparer, c’est qu’un site internet, tu capitalises. Tu capitalises, alors ça ne te rapporte pas beaucoup à chaque action que tu fais aujourd’hui, mais sur le long terme, en gros, c’est limite du revenu. Alors, j’ai du mal à dire revenu passif parce que ce n’est jamais vraiment passif, mais aujourd’hui, je m’arrête de travailler pendant un mois, mon revenu ne va quasiment pas changer. Et donc, ce n’est pas le on-off comme tu parles avec Instagram, tu vois. Par contre, aujourd’hui, c’est plus difficile de se passer de tous ces autres leviers, tu vois, notamment parce que là, tu l’as très justement dit, les personnes ne souhaitent plus trop juste lire un article, c’est qu’ils veulent peut-être un contenu vidéo dans l’article, ils veulent ce genre de choses. Donc, il faut encore une fois voir un peu plus large et arrêter aussi de faire ce que tu as très justement dit, en gros de mettre du contenu pour mettre du contenu, juste pour plaire à Google. Ça, ça n’existe plus déjà parce que là, avec ces dernières mises à jour, en gros, il flingue tous ces articles-là, il les flingue. parce que toute la suroptimisation, il dégage. Tout ce qui impacte l’expérience utilisateur, ça dégage. Mais oui, c’est vraiment un vrai sujet. Et dernier point que je voulais ajouter par rapport à cela, c’est qu’en gros, peu importe ce que tu fais, que tu fasses du SEO, que tu fasses du social media, que tu fasses du podcast ou quoi, la data la plus importante aujourd’hui à récupérer, c’est l’e-mail. un email et si tu peux l’avoir, le numéro de téléphone. Aujourd’hui, si tu as cela, en fait, tu deviens propriétaire de ton audience et tu n’es pas locataire de visibilité auprès de Google et tu n’es pas locataire de visibilité auprès des médias sociaux et tout cela. Parce qu’en fait, ils te font miroiter que tu as 100 000 abonnés et tout cela. Mais en réalité, tu as les emails de qui en fait ? Tu as les emails de personne. Donc, si jamais tu voulais contacter tes 100 000 abonnés, tu ne peux pas. Tu ne peux pas, tu n’as pas la main, tu vois. Et en SEO, c’est pareil. Ton trafic qui vient sur ton site, si tu ne lui demandes pas son email, tu ne sais pas qui c’est. Donc, tu ne peux pas les contacter non plus. Donc, il faut vraiment avoir une vraie stratégie de collecte pour moi qui est hyper importante et il faut le faire le plus tôt possible. Limite, toi, dans un podcast, là, moi, je réfléchis à lancer un podcast aussi, c’est de faire limite, tu vois, une coupure au milieu du podcast et de dire tiens, au fait, n’hésite pas à t’abonner à la newsletter de COPITLAB, machin et tout. Ni une ni deux, j’interromps cette interview avec Vincent pour vous demander de vous abonner, que ce soit sur YouTube ou sur la plateforme de podcast de votre choix. Mais surtout pour vous dire que vous pouvez rejoindre mon mastermind gratuit qui parle de SEO, de no code, mais surtout de Amazon FBA, Amazon KDP et Amazon Merchandiment. C’est complètement gratuit et il suffit d’aller sur cockpitlab.io slash mastermind ou de cliquer sur le premier lien dans la description. Je vous laisse reprendre l’interview avec Vincent. Moi, je veux faire ça parce que je me dis en fait, il faut faire du lead nurturing maintenant. Il ne faut pas juste voir ça comme tu balances ton contenu et après tu arrêtes. En gros, il faut entretenir la relation avec ton audience et créer une vraie communauté et tout ça. C’est exactement ce que j’essaye de faire au fur et à mesure. Et encore une fois, je pense que le dernier truc que j’aimerais parler sur ce sujet, c’est aussi ne pas oublier la partie recyclage. Parce qu’en fait, une vidéo YouTube, tu vas pouvoir la découper en article de blog ou inversement. Et ensuite, de ça, tu vas pouvoir faire plusieurs carousels, plusieurs post-LinkedIn. Oui, ça demande beaucoup plus de temps, c’est sûr et certain, mais au final, ton contenu va pouvoir aussi s’auto-booster parce que plusieurs reels, tu vas les emmener sur ta vidéo YouTube ou tu vas pouvoir les emmener sur ton article de blog avec un pop-in derrière, une pop-up qui se déclenche pour récupérer l’adresse email. C’est autre chose que tu ne peux pas faire en fait sur Instagram, etc. Donc, il ne faut pas oublier aussi toute la partie recyclage, toute la partie de 1 contenu égal 10 autres contenus différents. Et c’est comme ça, comme tu le dis, que tu vas avoir une vision et une stratégie 360. Mais quand tu es seul, c’est quand même assez chaud, assez compliqué. Surtout que c’est des métiers complètement différents. Tu vois, un rédacteur SEO, il ne sait pas forcément monter une bonne vidéo YouTube. Il ne sait pas forcément bien gérer le logiciel pour faire du podcasting. Il ne sait pas forcément monter un Reels ou monter un truc comme ça. ou faire un carrousel tout simplement. Donc, c’est vraiment complètement des métiers différents. Et quand tu es solo preneur un petit peu, je ne sais pas si on peut le dire, que tu n’es plus solo preneur, mais au tout début de l’été, avoir cette stratégie multicanale 360, ce n’est pas simple, surtout quand on débute et qu’on ne gagne pas suffisamment d’argent pour payer des freelances, pour pouvoir payer des prestats, etc. C’est quand même assez compliqué, même s’il y a des logiciels qui te découpe des longues vidéos en short etc etc c’est pas quali, c’est pas encore nickel nickel à mon sens j’en ai testé quelques-uns franchement ça vaut pas un bon petit montage à la mano mais ça reste que mon avis perso et ça fait le taf qu’il faut mais est-ce que maintenant il faut faire les choses Est-ce qu’il faut bâcler ou est-ce qu’il faut faire les choses proprement ? C’est un autre débat. Vincent, est-ce que tu peux me parler un petit peu de MFA, de Made for Amazon ? Oui. Alors, le Made for Amazon, c’est un business model qui a très bien marché jusqu’à présent, clairement. Donc, en fait, c’est un business model qui consiste à faire un site internet qui va gagner de l’argent grâce à l’affiliation Amazon, donc le programme partenaire Amazon. Donc, en fait, historiquement, c’est un peu des articles de style meilleur aspirateur robot, meilleur aspirateur créneau, etc. Et en fait, ça, ça a très bien marché jusqu’à il y a peu. Et en fait, maintenant, Google, il préfère mettre en avant sur ses requêtes des e-commerçants directement et donc typiquement potentiellement aussi Amazon. Donc, si vous faites du FBA, vous avez plus de chances de remonter qu’avant du coup sur ces requêtes-là. Et l’idée, c’est qu’en fait ça, ça s’est un peu fait tabassé, mais ça marche encore si tu le fais correctement. C’est-à-dire qu’en gros, si tu ne parles pas que d’Amazon, si tu ne fais pas que des liens vers Amazon, ça peut fonctionner. Donc, on n’appelle plus ça l’Human for Amazon du coup parce que ce n’est pas full Amazon, mais tu vas rediriger par exemple vers du C-discount, vers du mano-mano. En fait, Google, ce qu’il veut aujourd’hui, ce n’est pas que l’internaute soit obligé d’aller sur Amazon. Il faut qu’il ait plusieurs options d’achat. Donc, si tu fais une page d’affiliation qui cible les meilleurs ordinateurs portables et que tous tes liens pointent vers Amazon, tu risques de te faire déglinguer. Par contre, si tu fais une page qui va mettre Amazon en premier, en deuxième, tu as Cdiscount, en troisième, tu as, je ne sais pas, Rakuten, etc. Là déjà, tu es plus dans les canales de Google en gros. Donc, ça peut encore fonctionner même si Google préfère sur ces requêtes-là, honnêtement, faire remonter des e-commerçants que faire remonter des sites. Donc, oui, c’est à peu près ça. Est-ce que tu as peut-être 2-3 sites d’exemples de MFA pour donner un petit peu de concret à nos auditeurs et surtout à ceux qui nous regardent sur YouTube ? Oui. Après, c’est vrai que peut-être de mettre les URL ou peut-être via le montage. Je vais mettre les impressions d’écran, mais juste peut-être citer quelques sites. Du coup, je ne dirais pas que c’est un MFA parce que maintenant, c’est un des plus gros sites de France sur la thématique. Mais genre lesnumériques.com, typiquement, si vous regardez, ils font des tests de produits. Mais ça, c’est la version MFA Kali parce que MFA, il y a plein de manières de le faire. Il y a la version dégueulasse et il y a la version Kali. Donc, la version Kali que je recommande davantage, vous regardez les numériques.com. Les numériques.com, ils font des tests de produits, des vrais tests. Et ensuite, vous regardez, ils ont des box qui vont rediriger les internautes officiellement le meilleur prix, mais après des fois, c’est aussi les partenaires avec lesquels ils ont les meilleures commissions. Mais généralement, je pense qu’ils font un classement par prix de mémoire, mais je ne sais plus. Ça fait longtemps que je ne les ai pas regardés. Donc, ça, c’est un exemple concret. Là, ils gagnent, eux, clairement des millions d’euros avec ça. Donc, ça marche très bien. Par contre, ça demande un travail conséquent. Ce n’est pas juste une personne dans son garage qui fait ce site-là. Ensuite, vous avez des sites un peu plus agrégateurs du type, alors eux, je ne les ai pas regardés récemment, mais je sais qu’historiquement c’était la MFA qui avait le vent, enfin qui ne marchait pas trop mal. Ça s’appelle maisonae.fr, donc maison et ae.fr. Et donc eux, typiquement, c’était, alors là, je ne les ai plus en tête, enfin je regarde limite, je les avais mis un peu de côté, Je regarde un peu à quoi ça ressemble. Là, typiquement, on va sur la page. Là, on n’a pas la capture écran, mais en gros, on voit directement, il y a le titre de la page, la meilleure poussée de prio en 2024. Et juste en dessous, en plus, ce qui est drôle, c’est mis à jour le 2001-2023. En gros, ils disent en 2024, alors que ça a été mis à jour en 2023. et genre directement le meilleur choix, un truc Amazon qui est poussé. Donc là, c’est du vrai mettre fort Amazon comme on aime ou pas, mais en tout cas voilà. Et donc du coup, s’ils vont regarder un petit peu, ils redirigent que vers Amazon. Et donc là typiquement, je n’ai pas regardé ce qui s’est passé pour eux, mais potentiellement, il y a un risque qu’ils se soient fait un petit peu taper sur les doigts. Ou si ce n’était pas le cas, tôt ou tard, le risque c’est qu’ils se fassent taper sur les doigts. Après, ils font quand même les choses proprement. Leur site est bien fait. L’UX n’est pas mal. Donc, il y a peut-être des chances que ça passe encore. Mais en tout cas, si ça ne suit pas, les gars ne la disent vraiment de Google. Donc, voilà. Donc, ça, c’est un autre exemple. Un autre exemple, c’est un peu moins quali. Bon, là, je suis resté dans la thématique du début. parce qu’en gros, c’est un petit peu mon quotidien en ce moment. Mais du coup, l’agenda s’appelle top-produits-bb.com. Et là, c’est pareil, c’est du full. En gros, c’est du full Amazon la plupart du temps et en fait, c’est des comparatifs, des listings de produits, etc. Et honnêtement, la plupart du temps, ce n’est pas très quali. Donc, moi, je dirais que cette approche-là du SEO, elle est vouée à disparaître en tout cas parce que ce n’est pas basé sur des tests vraiment produits réels. Donc, si vous avez des exemples à prendre, prenez des exemples de sites qui font des vrais tests de produits, qui parlent en connaissance de cause, qui vont limite faire un test vidéo et un test écrit parce qu’il faut plaire un peu à tout le monde. On en parlait tout à l’heure sur les différents modes de découverte. Et donc voilà, il y a le made for Amazon historique, il y a ce qu’il faut faire aujourd’hui et ce n’est plus vraiment du MFA, c’est plus du made for user et après avec commission auprès d’Amazon, Cdiscount, tout ça. Est-ce que toi, du coup, tu conseillerais de faire du MFA en 2024 ? Non, je ne conseillerais pas de faire du full MFA. Par contre, si vous faites du MFA et autres partenaires d’affiliation, carrément, ça marche toujours. Ça marche toujours, c’est juste que ça marche moins bien parce que Google priorise les e-commerçants en fait. Donc, idéalement, ce qu’il faudrait faire, c’est faire un peu le modèle du MFA, mais après vendre vos propres produits. Du coup, soit avec votre boutique en ligne, soit avec Amazon FBA. Donc, en dirigeant l’équipe mondiale d’affiliation, vous la dirigez vers votre boutique Amazon FBA. Pour moi, il faut faire maintenant un hybride. Avant, ça marchait très bien le EBFA. Aujourd’hui, c’est un peu plus compliqué. Très clair. On arrive sur la fin de cette interview. Est-ce que tu peux nous donner exactement la stratégie et les étapes pour gagner 5 000 euros par mois avec le blogging ? Oui, alors du coup, je vais donner cinq étapes concrètement. Après, j’ai fait une vidéo aussi sur ma jeune chaîne YouTube où il y a une seule vidéo uploadée, mais où il rentre un peu plus dans le détail. Mais là, l’idée, c’est de le synthétiser vraiment parce qu’on n’en a pas beaucoup de temps. Donc, en gros, si je devais vous donner cinq étapes, Claire, c’est déjà, il faut trouver votre sujet, votre niche. Donc on en a parlé tout à l’heure, il y a plein de moyens de trouver des niches. Là, pour rebondir sur Amazon, vous prenez le domaine d’Amazon, vous le mettez dans un outil d’analyse de mots-clés comme SEMrush, comme Ahrefs, comme SRanking, comme tous les outils qui existent. Vous regardez sur quels mots-clés il se positionne. Et en fait, vous avez déjà des idées de niches à gogo. Clairement, c’est gratuit. Je vous le donne gratuitement comme ça. Mais clairement, après, ce n’est que du B2B aussi. Donc, après, pensez B2B aussi. C’est intéressant B2B. Ça gagne beaucoup plus accessoirement. Et voilà. Et c’est moins concurrencier aussi, généralement. Donc, voilà. Donc, ça, c’est la première étape. Qu’est-ce qui vous intéresse ? Qu’est-ce qui vous passionne ? Et après, vous filtrez un peu toutes vos idées et vous essayez de regarder, comme on a dit tout à l’heure, les concurrents, tout ça, machin. Essayez de poser un peu, faire une mini-analyse de marché. Ensuite, deuxième étape, c’est quoi ? vous allez devoir créer un site. Donc, on parle de blog, mais en soit c’est un site internet, ça peut être un NVR, ça peut être un site internet, ça peut être un blog, ça peut être voilà. Et donc pour ça, le meilleur moyen, c’est d’utiliser aujourd’hui, enfin pour moi le meilleur moyen, c’est d’utiliser wordpress.org. Et ça, c’est très important, c’est d’utiliser wordpress.org parce que c’est gratuit. Il vous faut juste un serveur. Donc, vous l’hébergez sur un serveur, ce n’est pas compliqué. Administrer un site WordPress, c’est comme utiliser Word au quotidien. Ce n’est pas plus compliqué que ça. Une fois qu’on a compris un peu comment ça marche, je synthétise, mais il y a des aspects plus techniques que d’autres, mais dans l’idée, c’est ça. Ça, vous n’avez pas besoin de savoir coder pour faire ça. Vous pouvez acheter un thème premium sur un site comme ThemeForest. Vous l’uploadez, vous importez toute la démo. Vous avez juste à modifier les couleurs, tout ça. Ça prend honnêtement une journée, vous avez votre site, mais au look professionnel. Ensuite, une fois que vous avez fait ça, on va dire que vous avez la base. Maintenant, il faut alimenter votre site avec du contenu. Donc, il faut faire une analyse de mots-clés et il faut un peu planifier votre stratégie de contenu. Donc là, c’est là où l’expertise, on va dire, est un peu plus nécessaire. C’est qu’on ne peut pas avoir les stratégies de contenu qui nous tombent tous cuits comme ça dans la main. Alors, on peut demander à TGPT. mais on va être quand même vite limité. Donc, il faut vraiment avoir une approche très SEO pour la peine. Pensez à intention de recherche, pensez Persona, il faut penser à ses lecteurs cibles, etc. Donc, on planifie nos articles et après, on priorise. On ne va pas créer des articles où il y a trop de concurrence pour notre site. On a un jeune site, il nous faut des idées d’articles qu’on est capable avec un jeune site d’atteindre. C’est-à-dire qu’on ne va pas créer du contenu sur comment vendre sur Amazon si on vient de créer notre site. On va créer un contenu sur peut-être une sous méthode, je ne sais pas, par exemple, déjà comment vendre sur Amazon MBS est moins concurrentiel que comment vendre sur Amazon tout court. Par contre, il faut le voir dans la stratégie globale et donc, il faut prendre en compte un petit peu tout l’univers sémantique. Donc une fois qu’on a ça, qu’on a un peu notre stratégie et on a peut-être une centaine d’idées de sujets, on va commencer à créer ces contenus, etc. Et comme tu me disais très justement, on va recycler ces contenus et on va avoir cette stratégie un peu globale pour promouvoir son blog sur différents canaux, donc via YouTube, via TikTok, via Instagram, etc. Même si pour moi, ce n’est pas ce que je ferais à l’instant T dès le début, mais en tout cas, c’est ce qui peut rapporter de la visibilité à l’instant T, limite dès le lancement, alors que le SEO, ça va prendre un peu de temps. Je dirais, vous n’allez pas avoir vraiment de retour sur votre travail avant peut-être six mois, un an minimum. Ça dépend de la concurrence de votre niche, ça dépend de plein de facteurs, mais dans l’idée, c’est ça. Ensuite, une fois qu’on a du trafic qui vient sur notre site, on commence à avoir un peu de visiteurs, il faut monétiser ce trafic parce que c’est bien beau, mais même avec 100 visiteurs par jour, vous pouvez commencer à gagner de l’argent. Après, plus votre trafic va être qualifié, plus vous allez gagner de l’argent. Pour gagner 5 millions d’euros par mois, il faut quand même un milieu de trafic. Je dirais, allez, ça va dépendre des niches. Il y a des niches avec 1 000 visiteurs par jour, vous pouvez atteindre 5 000 euros par mois. Et il y a des niches, par exemple, comment vendre sur Amazon FBA et si tu vends ta formation avec 1 000 visiteurs par jour très ciblés, tu peux clairement faire plus de 5 000 euros par mois. Enfin, il n’y a pas de sujet là-dessus. Et donc, en fait, tout va encore revenir à votre niche, votre sélection de niche qui est hyper importante. Si vous avez eu du trafic sur des requêtes très informationnelles, ce n’est pas quelqu’un qui veut acheter des poissons dans le cadre de l’aquariophilie. Donc, monétiser son trafic avec toutes les sources de revenus qu’on a évoquées un petit peu en partie avant. Donc, l’affiliation, la publicité de display, des partenaires en direct avec les marques, du sponsoring, de la vente de liens. Vous pouvez faire une newsletter sponsorisée, enfin, une sponsorisation de newsletter une fois que vous avez une base d’abonnés, sponsoriser une vidéo YouTube. Il y a plein de moyens de gagner de l’argent avec votre activité. Donc, c’est un peu de lister tout et de se dire tiens mon focus admettons, je vais me focaliser sur deux ou trois sources de revenus et je vais mettre le paquet dessus et après j’ouvrirai à d’autres sources de revenus. Et enfin, le cinquième point pour moi qui est stratégique et on en a déjà pas mal parlé là pendant le podcast, c’est en fait de ne pas penser blog, de ne pas penser site internet, de ne pas penser genre petite activité ou quoi. C’est juste qu’en fait, vous êtes en train de créer une entreprise. Et ça, il faut se le mettre dans le crâne dès le début parce que si vous vous dites, je suis en train de créer un blog, déjà c’est péjoratif par rapport à ce que vous êtes en train de construire. En fait, vous minimisez un peu ce que vous êtes en train de faire parce qu’en fait, en réalité quand on dit, si moi je parle de mon site, je dis j’ai un blog, Des gens se disent qu’ils gagnent. J’ai posé la question une fois sur LinkedIn, j’ai dit combien vous pensez que je gagne avec mon blog ? J’ai utilisé exactement le terme blog ou je ne sais plus comment j’ai mis ça, genre combien pensez-vous qu’on peut gagner aujourd’hui avec un blog ? Enfin, c’est un truc comme ça. Et genre en gros, la plupart des réponses, c’est genre entre 500 euros max par mois, genre un blog, tu ne gagnes que dalle. En fait, quand tu leur mets en face la différence entre ce qu’ils pourraient gagner avec un vrai blog, juste un blog et ce que eux, leur perception, Ce n’est pas possible. En fait, c’est une image trop mal connotée, tout ça. En fait, la différence encore une fois, c’est penser business et penser entreprise. Si toi, ton business, on parlait de la vente de bateaux, ton business, c’est de vendre des bateaux, si tu développes un blog, associé qui va cibler toute ta niche vente de bateaux, imagine ce que ça peut te rapporter. C’est énorme en fait sur de la niche comme ça où genre une vente, c’est peut-être 100 000 €. Et donc, tu as plein de niches comme ça où des fois en une seule vente, tu peux faire 100 000 €, tu peux faire, alors peut-être pas plein de niches un peu, ce n’est pas fréquent quand même, mais bon, tu as des niches où après le cycle de vie d’un client va être long et par contre le jour où ça convertit, ça rapporte. Donc, il faut se dire dès le début comment je peux penser mon site comme un business. Déjà, il faut prospecter parce qu’il y a un moment donné, si tu veux gagner de l’argent 100 000 € par mois le plus tôt possible, commence par prospecter le plus tôt possible. Même encore aujourd’hui, je ne le fais pas. Ça, c’est un truc que je veux faire cette année parce que pour moi, si tu gagnes 30 000 € par mois et que tu prospectes, tu penses que tu peux gagner facilement le double. Peut-être pas, mais tu peux gagner. En tout cas, tu gagnes forcément plus en prospectant que tu vas gagner sans prospecter. Donc, pensez en gros que font les entreprises aujourd’hui pour gagner de l’argent. Elles prospectent, elles ont des commerciaux, elles ont des équipes opérationnelles, elles recrutent, elles ont des prestataires. En fait, si tu commences à penser ça dès le début, tu vas plus facilement arriver à moyen terme en fonction de ce que tu vas investir et tout. Et là, je parle d’investissement aussi, c’est aussi clé. C’est que si tu investis en toi déjà, tu prends une formation, déjà c’est un investissement. Il faut que tu le rentabilises, ça va te donner encore plus envie de gagner de l’argent. Et surtout, tu t’investis dans toi et toi, c’est ce qui va faire que ton business marche ou ne marche pas. Si tu n’investis pas dans toi déjà, je ne vois pas comment ça peut marcher sur le long terme. Donc voilà, moi je dirais que c’est les cinq étapes clés pour réussir et pour… Alors 5 000 euros, c’est une étape, mais voilà, tu peux déjà commencer à 500 euros par mois, après 1 000, après 2 000, après 3 000, après 5 000, après 10 000, etc. Et c’est quel objectif tu te fixes, mais il faut que ce soit des objectifs atteignables. Voilà. Je ne sais pas si tu avais des questions complémentaires à ce sujet. Pour moi c’est top. Et puis cette petite step by step et cette stratégie pour commencer, comme tu l’as dit, 5000 euros c’est qu’un objectif, c’est qu’un palier qu’on peut atteindre plus ou moins facilement en fonction de l’effort qu’on y met. Et je pense que le plus gros Et le meilleur conseil que tu viens de donner, c’est vraiment d’imaginer que ce n’est pas un simple blog, c’est vraiment un business qu’on est en train de construire et que comme dans tous les business, si tu n’investis pas dans différents domaines, que ce soit sur toi, que ce soit avec des outils, que ce soit avec des prestats ou que ce soit avec des partenaires, etc. En fait, tu resteras un petit blog et c’est la différence entre je pense un blog et dis moi si je me trompe, mais en gros, une fois que tu as passé un beau palier, en fait, on ne dit plus un blog, on dit un média et c’est clairement ce que tu es en train de faire. Et en fait, tu n’es plus dans la cour des petits, tu passes dans un autre dans une autre stratosphère et on n’utilise plus le même mot. On utilise le mot média et du coup, ça fait toute la différence. Mais c’est parce qu’en amont, on a fait des investissements. Encore une fois, ça me fait bien rire quand Tu vois des gens sur LinkedIn surtout dire comment passer de 0 à 10 000 ou comment passer de 0 à 100 000 euros par mois. En fait, il y a un moment où il n’a pas fait 0, 10 000, il n’a pas fait 0, 100 000, il a fait 0, 100, 0, 200, 200, 300, 300, 400, etc. C’est toujours un petit peu rigolo et en tout cas, je pense qu’il faut le prendre avec un peu de recul et que impossible de faire un pas de géant tout de suite d’abord tu vas avec des petits pas de souris et voilà mais en tout cas dis moi si je me trompe mais le plus important c’est de se lancer Exactement. C’Est exactement ce que j’allais dire, c’est qu’en fait, la seule différence entre ceux qui réussissent et ceux qui ne réussissent pas, c’est que ceux qui réussissent, à un moment donné, ils se sont lancés et ils ont fait des choses. C’est-à-dire que tu peux avoir tout en tête, tu en as plein qui disent « ouais, moi j’ai telle idée géniale et tout », mais ils ne vont jamais le faire. Mais en fait, la différence entre eux et celui qui va le faire, ce n’est pas que l’autre est plus intelligent, Et c’est juste que l’autre, il l’a fait en fait, à un moment donné, c’est juste ça. Donc en fait, moi à chaque fois le conseil, le seul conseil que je dis, si je dis à chaque fois vous devez retenir une seule chose, c’est lance-toi aujourd’hui et surtout pas demain. Parce que si tu attends demain, peut-être que tu vas repousser après-après-demain, et après-après-demain, et dans une semaine tu n’y penseras plus peut-être, et après dans une ou deux semaines. Alors que si tu te lances aujourd’hui, tu fais un pas de souris, tu réserves ton nom de domaine ou juste tu te mets à faire une analyse et à choisir ta niche, Demain, tu te fixes un objectif, c’est de réserver ton nom de domaine, etc. Et tu fais des mini-objectifs comme ça, tu vas avancer beaucoup plus vite que la personne qui va se dire ouais, ok, j’y pense. Ouais, je vais encore écouter une vidéo. Ouais, je vais encore faire ci. Ouais, je vais encore faire ça. Mais en fait, tu peux écouter 10 milliards de vidéos. Si tu ne fais pas, ça ne sert à rien. En fait, bouge-toi le cul et fais-le, tu vois. Et moi, il y a plein de fois, je me dis Vincent, tu écoutes trop de vidéos là. Tu n’es pas assez dans l’action. Et en fait, il faut passer à l’action. Tu regardes n’importe quelle boîte et ça, c’est en dehors du web. Les personnes qui réussissent sont celles qui sont passées à l’action. Il y a juste 0% de personnes qui ont réussi sans passer à l’action. Ça n’existe pas. Ce n’est juste pas possible. Au pire, tu te plantes. Ce n’est pas grave. Tu en as appris sur le chemin. Tu essaies et tu apprends des choses. C’est exactement ce que je dis et tu vois, il y en a plein qui regardent un petit peu cet épisode et cette interview, c’est qu’il y en a trop qui cherchent la liberté financière. Il y en a trop qui cherchent à vivre à Dubaï, à vivre avec des Lamborghini ou quoi que ce soit. Et en fait, de plus en plus, je me rends compte que moi, personnellement, je ne me retrouve pas dans ces vendeurs de rêves, entre guillemets, parce que ce n’est pas du tout moi. La France, elle me convient parfaitement. Je suis dans le Nord-Est pour l’instant, peut-être avec un peu plus de soleil, je serais un peu plus heureux. Bordeaux me fait de l’oeil mais à voir et en fait ce que je voudrais simplement dire c’est que même si toi tu réussis pas en tant qu’entrepreneur le fait d’avoir fait toutes ces étapes de t’être lancé et d’avoir forcément avoir peut-être forcément des échecs tout ça punaise c’est valorisables sur ton CV et il y a peut-être des entrepreneurs qui recherchent ces compétences à t’embaucher. Donc, tu vois, il y a quelques jours, j’ai été au même mois, à titre perso, j’ai travaillé pour Recyclivre, où j’étais en CDI pour eux, et j’étais responsable de Marketplace. Donc, je m’occupais de tout le Marketplace, Amazon, Cultura, encore une dizaine de Marketplace. Et juste le fait d’avoir lancé mon propre business sur Amazon, j’ai été recruté grâce à ça et tu vois j’avais un bon salaire correct tu vois donc même si c’est pas et même si c’est la même chose pour toi tu vois tu as été salarié avec ton stage en SEO ensuite tu as été recruté et ensuite seulement tu as été lancé ton propre business donc il y a peut-être aussi un momentum à avoir et que si ça fail maintenant c’est que pas de problème, rentabilise tes échecs, rentabilise ce que tu as appris, rentabilise peut-être les formations que tu as achetées pour ton business, mais si tu ne me permets pas d’atteindre les objectifs et de vivre de ta passion ou de ton business, de ta société, peut-être que dans un premier temps, tu vois, tu peux clairement revenir en CDI, revenir en CDD ou revenir dans le salariat, mais dans le domaine que tu étais, tu vois, par exemple, tu étais électricien, tu as essayé de lancer ton business Amazon FBA ou SEO, blogging, etc. Ça n’a pas fonctionné, tu n’as plus envie de travailler sur les chantiers ou quoi que ce soit. Rien que le fait d’avoir une expérience, de savoir un petit peu de quoi ça parle, tu vas pouvoir peut-être gagner le même salaire qu’un électricien, peut-être plus, je n’en sais strictement rien, mais au moins travailler dans un bureau, travailler dans des conditions peut-être un petit peu moins complexes, un peu moins galères. Et ensuite, réapprendre de nouvelles stratégies de nouveaux trucs et ensuite de venir sur relancer ton propre business à un moment où ça sera ça sera possible et voilà donc il faut pas oublier que tu peux aussi faire de l’intrapreneuriat pour une boîte et clairement en fait des compétences tous les jours sur welcome to the jungle sur sur d’autres plateformes de job ça recrute ça paye des cdi il faut pas oublier qu’à l’heure actuelle si tu veux être propriétaire d’une baraque acheter, je suis désolé, mais c’est plus safe d’être en CDI que de lancer ton propre business et d’aller toquer à la porte pour faire un crédit même de 150 ou 200k. C’est toujours délicat, surtout de nos jours où c’est de plus en plus compliqué. Donc, il ne faut pas l’oublier et il ne faut pas être honteux, je pense, d’être salarié Et moi l’idée, tu t’es lancé comme ça, je ne le savais pas, et moi je me suis également lancé comme ça sur Amazon FB en fait, c’est que j’avais mon CDI, Pepper, je me faisais un petit peu chier, donc j’ai lancé un side business à côté, qui s’est transformé ensuite en quelque chose de plus gros, mais je pense que c’est le meilleur conseil qu’on pourrait donner à n’importe qui, c’est de commencer avec un filet de sécurité. C’est sûr et certain qu’au lieu de regarder Netflix, au lieu d’aller boire des bières et au lieu d’aller au golf, comme tu disais tout à l’heure, toi tu travailles sur ton business et tu travailles deux fois plus. Mais derrière, en fait, c’est pour le long terme et pour avoir un peu plus que tes potes, que tes anciens collègues peut-être. Et que pendant qu’eux seront toujours au boulot, dans la rat race comme on dit. Encore une fois, c’est des conseils qu’il faut adapter et il ne faut pas être honteux de revenir dans le salariat je pense à un moment donné et simplement se lancer, faire des erreurs et avancer tout simplement. Dis-moi. Oui, juste un truc par rapport au salariat. Pour moi, c’est une très bonne école aussi le salariat. C’est qu’en fait, cela te donne des process, cela te donne une visibilité que tu n’as pas quand tu lances ton business dès que tu sors d’école en fait. Et le salariat m’a apporté beaucoup de rigueur, de structure, etc. Et moi honnêtement, je n’exclus pas aussi un jour de si jamais ça plante ou quoi machin, de revenir salarié aussi. Si tu te dis, écoute, Je veux dire, ce n’est pas non plus horrible d’être salarié. Tu peux t’éclater dans le salariat. Pour moi, tu as très bien synthétisé le truc et je trouve que c’est une très belle conclusion de podcast-là. Honnêtement, c’est top. J’ai encore un million de questions pour toi concernant le SEO. Je pense qu’on pourrait parler comme ça pendant des heures et des heures, mais là, ça a fait un petit peu beaucoup, surtout pour le poids de la vidéo, pour le poids de l’audio sur les plateformes. Elles vont me détester, mon ordinateur aussi. On va refaire quelque chose dans quelques semaines, si tu le permets, pour aller beaucoup plus loin. Encore une fois, merci beaucoup de ta transparence, de ta franchise et de toute l’expérience que tu as pu apporté à travers ces 1h30, 2h de contenu. C’est vraiment top et j’espère que ça plaît aux auditeurs. On se donne rendez-vous dans quelques semaines ou dans un autre épisode pour les auditeurs où je vais un petit peu Essayer d’aspirer toutes tes connaissances en SEO, si tu le permets, et faire économiser une formation peut-être aussi à certains auditeurs, même si ça n’ira pas aussi loin que ce que tu as proposé dans ta formation. C’est comment elle va s’appeler ? Pro-Blogging Business. Pro-Blogging Business qui va sortir en 2024. Donc voilà. Encore une fois, merci beaucoup Vincent pour ton temps et tout ce que tu nous as partagé. Avec grand plaisir, merci à toi Jérôme pour l’invitation.